Regalia

veut magnifier/célébrer l’identité nationale et veut glorifier l’institution monarchique contre l’église et l’empire. Cet ouvrage défini l’autorité royale sur 2 registres : * Positif : l’énumération des droits régaliens que détient le roi « les regalias ». * Négatif : le refus de toute subordination, le rejet de l’autorité pontificale et de l’universalisme impérial. 40/ Machiavel (1469-1527) C’est l’empirisme au service du pouvoir. Né à florence (ville de Dante). Sous le régime aristocratique

dépôt de neige) - «pani» (eau) - «papelitos» (petits cigares) - «payllo» (qui n’est pas un gitan) - «peseta» (monnaie espagnole) - «petalli» (fer de cheval) - «presidio» (bâtiment administratif, président) - «réaux» (le réal, monnaie espagnole) - «régalia» (cigares) - «rom», «romi» (mari, femme) - «romalis» (danse gitane) - «romani» (nom que les gitans donnent à leur langue) - «sierra» (chaîne de montagnes) - «turon» (espèce de nougat) - «venta» (auberge de grande route) - «Vingt-quatre» (magistrat

politique (Ifé, Oyo, Ijébu, Egba). Les traits communs sont d'abord l'existence d'une hiérarchie de chefs à 3 degrés : les rois oba, desecndants à caractère sacré du héros civilisateur, Odudua, les oloja, et enfin les bale, ces derniers ayant des regalia beaucoup moins élaborés. Le caractère sacré de l'oba se marquait par les cérémonies très complexes du couronnement (sacrifices humains, manducation du coeur de son prédécesseur...) et par l'étiquette sévère qui l'entourait d'un réseau d'interdits

Marne, puis à Rome mais ces discutions échouent sur un problème de définition au sein même des temporalia (biens matériels et pouvoirs politiques exercés par les évêques), entre certaines temporalia désignées comme des régalia et les autres. Du point de vue du roi des romains, les régalia devraient englober toutes les temporalias, devraient être considérées comme tenues du roi des romains. A l’inverse, le papa considère que toutes ces terres, tous ces droits, tous ces revenus qui s’accumulent de génération

Ils suivront le cortège du roi en tenue rouge. Pour montrer qu’il n’y a pas de rupture, derrière le cortège du roi, on a l’habitude sous l’ancien régime de symboliser la perpétuité avec une effigie de cire qui est revêtu des attributs royaux (Les Regalia). Indivisible: La République Française est une et indivisible. C’est un choix politique d’affirmer que la République doit être indivisible. La souveraineté ne peut appartenir qu’a un seul organe. On aura une rupture qui nous amènera vers la monarchie

Francs (rex Francorum), par exemple. Quelques-uns de ces rois sont sacrés (le roi des Wisigoths, le roi d'Angleterre, le roi des Francs à partir de 752), ce qui les place au-dessus des autres seigneurs ; tous sont couronnés et portent des insignes (regalia) symbolisant leur autorité et leur mission. Et surtout, le souverain médiéval gouverne en étroite collaboration avec le clergé chrétien. Dans les États pontificaux, le pape renforce sa puissance et devient un véritable monarque au XIIIe siècle ; il

est élu par des quartiers qui sont répartis entre éligibles et électeurs. L’élection du wang-son peut également se faire au sein de son propre clan. Le go entérine alors le choix par un rituel, et procède à l’intronisation. Le wang-son dispose de regalia ; en général : couteau de jet, chasse-mouches en lanières de cuir, sac contenant de l’ocre provenant de Doré. Il peut aussi avoir le couteau de jet en bois, que l’on jette à terre après une querelle pour en marquer la fin et prévenir toute récidive

une cérémonie politique, moment où le pouvoir se transmet, où le pouvoir prend sa réalité. On est encore dans les symboles, dans tout ce qui va permettre de symboliser les pouvoirs royaux. On va le symboliser par les regalias, ce sont les insignes du pouvoir ; la remise des regalias commence par la remise d’un anneau (alliance entre lui et le royaume), on lui remet ensuite le sceptre (bâton de commandement, commander en justice), puis remise de la couronne (cercle parfait qui n’a ni début ni fin) :

depuis Lothaire jusqu’à Hugues Capet et ses successeurs montre le roi en majesté, de face, assis sur son trône. C’est une rupture avec les rois carolingiens qui se faisaient représenter avec des armes. Sur le sceau ottonien, le roi figure avec les regalia de son sacre : sceptre, couronne, globe. Lothaire l’imite dès 966. Evolution avec Otton III qui se fait représenter avec les symboles de son pouvoir en majesté. Il crée ainsi une identification de l’empereur à la figure christique. Ce type est repris

- L’onction : le roi est placé à genoux aux pieds de l’archevêque et l’archevêque (=prélat) verse l’huile sainte (le saint chrême) sur le front, la nuque et les épaules du roi. - La remise des insignes : lors de cette étape, on remet au roi les regalia qui sont les symboles de la mission royale. Tout d’abord, on remet au roi un anneau en or qui est le symbole de l’alliance entre Dieu, le roi et son peuple. Puis, a lieu la remise du sceptre qui est le signe de puissance, de majesté. Certains vont