Relations Intergroupes Conflits

attribution de soi) niveau 2 : processus interpersonnels (perception d'autrui, attraction interpersonnelle) niveau 3 : interaction entre individu et groupe (conformité au groupe, facilitation sociale) niveau 4 : relations intergroupes (compétition et échange intergroupes) Dans son ouvrage, « Les concepts fondamentaux de la psychologie sociale », Gustave Nicolas Fischer explique l'émergence de la psychologie sociale depuis ses débuts et selon plusieurs auteurs : Comte | Tarde

sont appuyés sur des approches classiques (organisation scientifique et administrative du travail, relations humaines, bureaucratie...) pour tenter de mieux faire comprendre ce qu'elles sont. Ensuite, la théorie des organisations a vu s'imposer d'autres concepts comme l'analyse symbolique. Cette discipline étudie les thèmes majeurs qui concernent les organisations à savoir, le pouvoir, les relations et les rapports sociaux, l’analyse des configurations et l’analyse de la communication dans les groupes

travaux associés à l’école des relations humaines. Ces sociologues considèrent que l’analyse des relations entre les membres d’un petit groupe ne peut pas se faire indépendamment des structures organisationnelles plus large dans lesquelles il s’inscrit. Ainsi le comportement des individus dans l’entreprise s’explique moins par leur motivation personnelle que par le système de rôle qu’ils ont à remplir. Selon les sociologues de la bureaucratie, l’approche des relations humaines ne tient pas compte

comprennent une analyse des formes administratives et s’intéressent à la façon dont les hommes gouvernent à travers l’autorité légitime. Il évoque ainsi trois types d’autorité : L’autorité traditionnelle où l’obéissance est fondée sur des relations personnalisées et le droit est un droit coutumier dont les dispositions sont transmises par le temps. Exemple : le père. On retrouve ce type d’autorité dans les entreprises familiales. L’autorité charismatique dépend des qualités

• Enfin Vallerand (1994) ajoute « l’influence des stimuli sociaux et l’influence de nos propres composantes psychologiques sur nos comportements ». • Plusieursniveauxderechercheapparaissent: intra-individuel, interindividuel, intragroupe, intergroupe. 2. Les perspectives de recherche - Voilà donc un champs de recherche avec de nombreuses questions : 
 - Le contexte influence l’apparition (l’occurrence) de tel ou tel comportement 
 - Puis-je donc agir librement? 
 - Dans quel mesure ce contexte

en math obtiendra des résultats supérieurs si le test est présenté comme un jeu). Face à cette menace, l’entitéiste aura une réaction fataliste alors que l'incrémentaliste cherchera à faire évoluer la situation (Aronson 2002). Pour ce qui est des relations sociales, l'entitéiste se montre timide devant certaines interactions parce qu'il les croit figées tandis que l'incrémentaliste sera toujours prêt au changement. Les transitions importantes (passage dans le secondaire) permettent de distinguer le

névrotique, mit au coté des troubles anxieux, cela concerne donc des aspects de la psychopathologie analytique BSM : classification à théorique fonctionne par symptômes, le trouble somatophorme constitue une catégorie à part entière, abandonne la relation entre les troubles somatophormes et la névrose. La psychanalyse et la théorie de l’évolution La théorie Elle décrit les processus par lesquels les espèces se modifient au cours du temps et donnent naissance à de nouvelles espèces.

la notion de d’organisation se substitue à la notion de bureaucratie, associée à dysfonction. C’est ainsi que M Crozier élaborera une théorie nouvelle des formes bureaucratiques établissant les corrélations entre le système bureaucratique et les relations de pouvoir. Donc, comme première partie nous allons essayer de définir la bureaucratie en général et plus précisément pour l’économiste Max Weber. Dans une deuxième et troisième partie, nous évoquerons les cercles vicieux de ce concept établies par

notion d’organisation se substitue à la notion de bureaucratie, associée à dysfonction. C’est ainsi Michel Crozier élabore une théorie nouvelle des formes bureaucratiques établissant notamment les corrélations entre le système bureaucratique et les relations de pouvoir. 2 THÉORIES DES CERCLES VICIEUX DE LA BUREAUCRATIE | THEORIES DES ORGANISATIONS Première partie : flash-card sur la bureaucratie : C’est quoi la bureaucratie ? Etymologie : du français bureau et du grec kratos, pouvoir, autorité.

capacités, aptitudes, mécanismes, instruments, etc…, que possède le sujet et qu’il peut modifier et utiliser à son profil pour accomplir la tâche » JP Famose 1986 ; dossier EPS n°1 (Def plus spécifique à l’EPS à prioriser)Plusieurs typologies mais relation dynamique entre elles : · Programme du CAPEPS (2016) : ressources d’ordre physiologique, motrice, neuro-informationnel, psychologique, psychosociologique Exogène  : l’individu s’appuie mais