Relativisme Et Ethnocentrisme

préciser sa conception de la diversité des cultures et des rapports entre les cultures. Il le fait en prenant à son compte la doctrine du relativisme culturel qui, depuis les années 1960, dans le monde intellectuel comme dans l’opinion publique, ne cesse de refléter, justifier et exalter les revendications identitaires de tous bords. C’est au nom du relativisme culturel que nombre d’orientalistes et d’africanistes se posent en zélés défenseurs de « l’authenticité » dont

theory, which has both influenced and been influenced by architectural theory. In fact, architects were among the first to utilize the term "postmodernism." By "postmodern theory,” I have in mind positions that on the one hand criticize Western ethnocentrism, metaphysical foundationalism, centered subjectivity, and the idea of progress, and on the other hand celebrate the Others who have allegedly been dominated and/or excluded by the practices and attitudes of Western colonialism. Multiculturalism

détachement de sa propre culture afin d’analyser objectivement les mœurs d’une autre culture, seulement, peut-il s’en défaire ? Pour Lévi-Strauss il faut agir avec relativisme, il n’y a pas de culture supérieure à une autre, il faut apprendre à accepter la diversité de l’homme. Le racisme n’est que le prolongement de cet ethnocentrisme. Un exemple grave des conséquences qu’a eu l’ethnocentrisme, de façon extrémiste certes mais réelle, a été l’extermination des juifs par les nazis durant la seconde

l’ordre et les règles d’un système de valeur. Tout ça va constituer le cadre mental de notre vie. La culture nous structure, il parait tout à fait naturel de considérer notre culture comme LA culture. Celle qui doit servir aux autres cultures. Etre ethnocentrisme c’est considérer sa culture comme supérieur aux autres. Levis Strauss dit que le véritable barbare c’est celui qui applique à l’autre cet explicatif. Toutes les cultures se valent car elles sont toutes une expression de l’humanité. Cette diversité

entre des valeurs qui passent pour universelles et des normes relatives, des « opinions », des « usages » qui ne sont nôtres que parce qu’ils sont pratiqués dans « le pays où nous sommes ». Montaigne dénonce ici ce que nous appelons aujourd’hui ETHNOCENTRISME. • L’argument est alors suivi d’exemples où pointe l’ironie, lisible dans la répétition du mot « parfaite » et dans la GRADATION presque hyperbolique du dernier segment : « parfait et accompli usage de toute chose ». • Montaigne aborde ensuite

Lévi-Strauss : Race et histoireQuestions : 20lignes/questions 1. Définissez les termes ou distinctions suivantes : ethnocentrisme / histoire cumulative- histoire stationnaire. 2. Quelle est la manifestation la plus fruste de l’ethnocentrisme ? Quels présupposés sont véhiculés par l’appellation « sauvage », rapportée à un homme ? (Chap. 3) 3. Pourquoi peut-on être conduit à penser qu’il y a

empirique : pour l’anthropologue qui se fait passer pour un clown, un enfant, etc. car il ne connait pas la langue, les langages sociaux ou qu’il soit mis sur un piédestal par ses interlocuteur, il y a un risque qu’il soit perçu avec méfiance. → Le relativisme culturel : 1. Prendre en compte le point de vue de l’auteur 2. Comprendre les différences (qui résultent de la culture et méritent le respect) 3. Un antidote contre l’ethnocentrisme 4. Un principe méthodologique ⇨ Malinowski :

comme « une petite philosophie à l’usage des fonctionnaires internationaux », l’ouvrage est conçu comme « un essai d’interprétation de la diversité des cultures » qui a pour ambition de chercher « le moyen de réconcilier la notion de progrès et le relativisme culturel. » Ce travail est à la fois une synthèse des thèses développées par Claude Lévi-Strauss, une analyse et une explicitation des arguments qu’il présente ainsi qu’une critique de l’œuvre. I.Contexte de l’écriture de l’œuvre et notion

Le courant culturaliste : Le culturalisme trouve son origine aux Etats-Unis. Les Etats-Unis n’avaient pas de colonies. La doctrine développée par ce pays ne recherchait aucunement d’appui sur la tradition colonisatrice. Ici, l’on parle plutôt de relativisme culturel. Les problèmes à l’origine de ce courant de pensée étaient issus de la situation interne aux Etats-Unis. Il s’agissait des problèmes d’intégration des indigènes, les grèves à répétition, la criminalité, etc. C’étaient des problèmes qui

par les ethnologues et ce depuis le début de l’ethnologie. Pour bien comprendre en quoi consistent ces erreurs nous allons voir l’exemple que l’on pourrait appeler : Une double erreur : le mythe du bon sauvage ou le cannibale. Rappel : Ethnocentrisme : dès que l’on essaye de penser les autres, on va attribuer à cet autre des raisons d’agir qui sont en fait les nôtres. On explique les autres en fonction de soi-même (car cette différence choque, on essaye de la réduire en ramenant tout à soi)