Relativisme

scepticisme Quand on affirme que quelque est bien ou mal, cela dépend des habitudes que l'on nous a transmis. Pour un sceptique il n'y a pas de vérité absolue. Il y a aussi la vérité relatif : dépend du contexte, des points de vue, culture. Il y a le relativisme moral : c'est affirmer que le bien et le mal n'existent pas, il ne commence jamais une phrase en disant « c'est bien de .. » « il faut.. » Un philosophe sceptique, n'a pas d'avis constructif, aucun conseil et aucun projet. III. Qu'est ce qu'une

« la connaissance est le produit d'une construction qu'elle ne saurait pour cette raison être tenue pour objective, et un relativisme culturel affirmant que les normes et les valeurs sont propres à chaque « « culture » ou « sous-culture » et qu'elles ne peuvent par suite être considérées comme fondées objectivement » . Dans le texte Pour un monde meilleur, grâce au relativisme la personne défend la position que le relativiste culturel est utilisé comme argument dû au fait que toutes les idées sont

ne nous permet pas d’atteindre la vérité. Les lecteurs subtils distinguent ce relativisme du scepticisme : Montaigne ne croit pas en rien (il n’est donc pas sceptique) mais il change constamment d’avis. Le relativisme de Montaigne exprime donc l’idée fondamentale que tout change. Le monde est en perpétuel devenir, rien n’est fixe. Chaque chose est différente des autres, donc unique ; donc difficile à connaître. Relativisme culturel et critique de l’ethnocentrisme. Nous ne sommes pas meilleurs que les

lors lui-même à quelques contrées exotiques – les mœurs, les conditions et la vie de la société française du XVIIIe siècle. Le « regard étranger », dont Montesquieu donne ici un des premiers exemples éloquents, contribue ainsi à alimenter ce relativisme culturel qu'on devait voir ensuite illustré chez d'autres auteurs du XVIIIe siècle. Mais ce roman par lettres vaut aussi en lui-même, en outre par sa peinture des contradictions déchirant le personnage central d'Usbek : partagé entre ses idées modernistes

ce danger, il faudrait chercher l’universel dans chaque culture. Autre vision : si la culture fait entièrement l’humanité, il est impossible qu’elles communiquent mutuellement, puisqu’il existerait au fond plusieurs humanité (On parle alors de relativisme culturel : tout, dans l’humanité, se définirait relativement aux cultures et à leurs différences. Il y aurait des chinois, des arabes, des européens, etc, mais pas d’ « humanité » en tant que telle). Alors nous pouvons être prisonniers. Conclusion

Doit-on préférer la liberté à la vie ? Par ailleurs, quand pouvons-nous avec certitude dire qu'un être humain est là ? A la formation de l'oeuf, après 10 semaines, à la naissance ? Comment trancher ? Avons-nous besoin culture universelle ? d'une Le relativisme culturel entraîne régulièrement de violents conflits entre les sociétés, parfois au sein même de l'Etat. Il est donc dangereux de laisser les cultures s'enfermer dans le communautarisme et dans une méconnaissance les unes des autres. Cependant,

de laisser une place à la religion. La philosophie de Montaigne est par ailleurs profondément humaniste, ce qui se manifeste notamment dans sa conception de l’éducation. Contemporain des grandes découvertes, Montaigne est aussi le fondateur du relativisme culturel, dont les héritiers seront Rousseau et Lévi-Strauss. Septicisme : Avant d’être une doctrine, le scepticisme est une attitude intellectuelle qui consiste à se demander si une véritable connaissance des choses est possible ou non. Son scepticisme est

fonder l'idée d'une appartenance commune de tous les hommes? Qu'est ce que l'Homme? La Culture, c'est la négation de la Nature, de nos pulsions. C'est aussi une façon de s'élever spirituellement. II- L'humanité en question: ethnocentrisme et relativisme culturel 1) Texte de Lévi Strauss Le texte dénonce le rejet de la diversité culturel sous sa forme la plus radicale. *Barbarie: - ce qui n'est pas civilisé (étym.) --> descriptif - comportement que l'on juge indigne d'un homme -->

qu’une illusion ethnocentrique, ou l’expression d’un rapport de force. La vision que propose Lévi-Strauss n’est pas sans conséquences, ni critiques. On peut par exemple lui reprocher le relativisme auquel elle conduit : Un relativisme total et sans partage qui pousse à déduire le relativisme moral du relativisme culturel. Si toutes les cultures se valent, peut-on affirmer que toutes les valeurs se valent ; Ou faut-il considérer que les cultures ne sont que l’expression différentes de valeurs universelles 

s’accorder sur des vérités morales ? A priori, non. Or, le fait d’accepter les choix d’un individu, serait ce plus ou moins une vérité morale ? Ainsi, on se permet de poser l’hypothèse : « Peut t’on s ‘accorder sur des vérités morales ? » Le relativisme culturel est le privilège de l’utilité, le succès de la modernité et le fait de respecter son peuple et s’approprié le droit de juger autrui. Montaigne disait : « Nos croyances morales, déterminées par une coutume particulière, nous semblent au