Relativisme

La vérité est définie comme une connaissance conforme au réel, ce à quoi l’esprit peut donner son assentiment. Elle exprime une correspondance exigée entre la réalité et ce que l’on affirme. La vérité appartient au langage, c’est-à-dire à la façon dont l’esprit rend compte de son rapport aux choses. On peut se demander si la vérité est vraiment libératrice, ou bien au contraire, si elle est contraignante. Nous verrons que la liberté est contraignante car elle est une peine morale, puis l’analyse

Depuis l’utilisation du langage, l’être humain a toujours été porté à donner des opinions sur différents types de sujets. C’est à dire, donner des points de vue et des jugements qui ne relèvent pas d’une connaissance vérifiable sur un thème précis. Au 6e siècle avant J-C, l’apparition de la démocratie en Grèce a permis à l’homme de s’exprimer librement devant une assemblée. Selon les sophistes, tout est relatif, toutes les opinions se valent parce que l’être humain est incapable d’atteindre une vérité

Il ne faut pas opposer raison et croyance, car si la croyance est vraie, la vérité de la croyance ne peut pas s'opposer à la vérité de la raison. La vérité étant "une" elle ne peut s'opposer à elle-même:Croyance et raison aboutirons à la même vérité.Dans ce cas il faut les distinguer, et les regarder chacune dans leur domaine propre. Ce qui n'empêche pas bien-sûr qu'il y ait des croyances fausses, et dans ce cas là ce qui est considérer comme vrai par la croyance, et ce que la raison donne pour

Ce document est un condensé de la partie traitant du scepticisme grec dans l'ouvrage La philosophie pour les nuls. Le scepticisme : tout est relatif !  Les origines Pyrrhon est le fondateur de cette pensée. Mais comme Socrate, Pyrrhon n’a jamais rien écrit (sauf un poème dédié à Alexandre). Pyrrhon a par ailleurs accompagné Alexandre jusqu’en Inde, où il découvrit les « gymnosophistes » (=les sages nus, de gumnos, qui est nu, et sophiste, sage), i.e les ascètes, qui stupéfiaient les Grecs

Montaigne Des Cannibales 1er texte "Or je trouve [...] par le dernier" Problématique : - De quelle manière Montaigne remet-il en cause la notion de barbarie ? Plan : I) L'évocation des barbares, une narration efficace. a) Définition : - Montaigne utilise les mots "barbares" et "sauvages" pour les désigner; barbare désigne un homme débrouillard, et qui parle une langue étrangère; et sauvage désigne un homme de la forêt, mas renvoi à ce qui est rude, violent et cruel. - La première définition

Regina Duran Lezama Groupe 6100 TAP Que veut-t-on dire par « connaissance »? D’où vient la connaissance? Est-elle inné ou l’acquiert-on avec le temps? C’est des questions de sens qu’on se pose depuis longtemps et dont trois écoles de pensée différentes leur ont trouvé des réponses de sens. Le problème ici est que ces écoles de pensée s’opposent. Tout d’abord, nous avons l’empirisme qui dit que toute connaissance provient des informations qui nous livrent les sens. Rien ne peut exister dans la

Expliquer pourquoi affirmer que « Tout est relatif » est une contradiction. Dire que « Tout est relatif » signifie que chaque chose est dépendante d’une autre. On cherche à appliquer cette phrase, sur elle-même en premier lieu. A quoi est-elle relative ? Elle serait relative à l’humain, à sa vision du monde. Or, si l’on part de ce principe, on peut tout rapporter à l’humain et à sa vision, sa représentation du monde. On dit que le soleil est un astre, c’est relatif à l’homme puisque c’est lui qui

les dangers de cet "acceptation de tout appellé " relativisme culturel" et aussi que ce n'est pas toujours aussi simples et que certaines pratiques de certaines cultures peuvent amener au rejets de celles-ci et même jusqu'à la haine entre cultures appellé "éthnocentrisme" . Et enfin dans une dernière partie nous essairons de trouver des solutions pour que les différentes cultures puissent vivre ensemble sans pour autant tomber dans ce "relativisme" qui pourrait amener à l'extinction de la diversité

humanistes à placer l’homme au centre de toute chose. Plan : Dans un premier temps, nous verrons que l’émergence du relativisme induit à un nouveau type de cité qui diffère de celle que dépeignaient Platon et Aristote. Dans un deuxième temps, nous nous pencherons sur la juste mesure que la vision anthropocentriste tend à établir. 1) Relativisme culturelle Le relativisme culturel est une thèse peu défendue avant le XIXe siècle. Il peut se retrouver, d'une certaine façon, chez Hérodote, en

à l’unité du genre humain. Puis dans une deuxième partie nous verrons que la diversité des cultures peut-être favorable à l’unité des peuples. Le relativisme culturel est une volonté de s’ouvrir l’esprit et de tolérance face à une culture différente de la nôtre et qu'on pourrait difficilement juger. C’est pourquoi on peut dire que le relativisme culturel pose un obstacle pour l’unité des peuples car cela reviendrait à tolérer ce qui est inacceptable dans une culture. Par exemple peut-on tolérer