Relativiste

dire que l’accord des interlocuteurs sur ces règles n’est pas explicite, mais le plus souvent implicite. On le verra en examinant une autre contradiction dont le relativiste est coupable. On s’aperçoit ainsi que le relativiste est coupable d’une autre contradiction, qu’on appelle une autocontradiction performative. Quand un relativiste dit : « Toutes les vérités sont relatives », la signification de ce qu’il dit est incompatible avec ce qu’il présuppose implicitement quand il s’engage dans une discussion

illusoire et inégale, termes péjoratifs. Conclusion : qui est le plus sauvage ? .Notion de relativisme : doctrine selon laquelle il n’y a pas de vérité absolue. Chacun a sa vérité, son point de vue. .Montaigne n’affirmera jamais rien car il est relativiste, il s’interroge beaucoup. II. Les cannibales : de bons sauvages. .Admiration de Montaigne pour les Indiens. .On assiste au mythe du « bon sauvage » mis en place par Montaigne. 1. Ouverture d’esprit et intelligence des sauvages. .Déplacement

jugement peut être altéré. On pourrait se demander s'il existe un critère universel pour évaluer les valeurs sur un même pied d'égalité ou s'il n'est pas préférable de s'abstenir de juger et d'accepter les diversités culturelles par une attitude relativiste. Enfin, on pourra observer que dans toutes les cultures, il y a des valeurs similaires que l'on peut comprendre, même si certaines pratiques ne peuvent être tolérer. Depuis des décennies, les hommes sont faces à des valeurs, à des cultures

[162a] n’est-ce pas s’engager dans un bavardage sans fin et s’égosiller pour rien ? » La recherche de la vérité par le dialogue perd toute crédibilité (« bavardage sans fin ») si l’on est relativiste comme le sophiste Protagoras.Par conséquent, être relativiste revient à considérer que ce que l’on enseigne ne peut être la vérité mais uniquement une méthode rhétorique pour emporter l’adhésion d’un auditoire. Pour le sophiste, peu importe qu’une idée soit vraie : ce qui compte

Fondation Nationale des Sciences politiques, dans l’article de revue „Esprit”: „Vers un universalisme pluriel?” parle de tendances vers lesquelles notre monde va. Aucune culture, aucune nation ne peut constater qu’elle est tout à fait universelle et relativiste en même temps, mais elle peut monter qu’elle aspire vers l’universalisme au point de vue éthique et vers le relativisme culturel. Le mot universalisme vient du latin universus qui signifie tout entier, universel, général. En général, c’est

une forme d’impérialisme Culturel. Il y a des positions extrêmes dans les courants universalistes comme relativistes. Chacun Essaie de remporter le débat en dénonçant l’autre position. Pour les universalistes, parler De la culture met en danger les droits de l’homme en permettant aux cultures qui ont Des pratiques nocives de diluer la notion de droits de l’homme. Pour les relativistes, admettre la notion D’universalité c’est accepter des valeurs étrangères; l’impérialisme occidental. Conclusion

dit pour le relativiste, la définition de la vérité est la suivante : « la condition est vraie si et seulement si la condition est acceptable pour un individu ou un groupe social ». Il définit ensuite l’acceptabilité comme : « la condition est acceptable pour un individu ou un groupe social si et seulement si la condition est issue d’une procédure conforme aux règles de justification définies par un individu ou un groupe social ». On comprend donc mieux le fait que pour le relativiste les vérités

apparemment insignifiants de la vie quotidienne. Ex : la mode, considéré par Durkheim comme insignifiant, prostitution, l’amour, coquetterie tous ces thèmes n’ont pas pour Durkheim de portés sociologiques. Ses ouvrages : * Mélange de philosophie relativiste 1912 * Sociologie et épistémologie 1881 * Les problèmes de la philosophie de l’histoire 1892 * Philosophie de l’argent 1900 * La tragédie de la culture 1889 * La philosophie de l’amour 1888 * Ouvrages sur le fait religieux

consensus contre des hypothèses rivales. Il s’agit d’une procédure visant à créer le consensus au sujet d’une affirmation, d’une hypothèse. → ! Si on définit la production de vérité de cette façon, on peut rapidement aboutir à une version complètement relativiste de la vérité : la vérité, c’est l’énoncé qui a réussi à créer un consensus, ou, dans la version plus simple, la vérité c’est ce que croit la majorité. Bruno Latour montre que l’expérimentation prend les formes des controverses juridiques. Il

d’anthropologie générale » (1995).Ces deux ouvrages servent donc de références théoriques dans la mesure où ils nous permettent de présenter entre autres les deux perspectives radicalement différentes, la perspective universaliste et la perspective relativiste qui expliquent les conceptions divergentes que l’on peut se faire de la diversité humaine. La vision de Claude Lévi-Strauss souvent cité par Todorov quant à la communication interculturelle perçue une menace envers la diversité fera l’objet d’une