Renan Scientisme

La foi nouvelle de l’humanité. Avec un certain nombre de courant philosophique Auguste Comte qui prétend découvrir à l’aide de la raison l’ensemble des connaissances. Etat de positivisme. Développement d’une forme de scientisme développé à la fin du 19ème siècle par Ernest Renan. Le Littré et le Larousse. Faire découvrir les connaissances au grand public. Vulgarisation qui se retrouve dans le roman Jules Verne, mais va vulgariser les sciences à travers le roman par des voyages extraordinaires

Flaubert experimente-t-il la betise comme fascination. Nietzsche parlerait, a propos du meme sujet, de <<pesanteur>> et de <<lourdeur.>> De meme a-t-on pu parler de <<cloaque, de boue, d'ocean>> chez Flaubert et Renan (Ader 90). << Il est difficile de decrire ce fond, et a la fois la terreur et l'attrait qu'il suscite. Remuer ce fond est l'occupation la plus dangereuse, mais aussi la plus tentante dans les moments de stupeur d'une volonte obtuse, >>

autre Néerlandais. Rainer Maria Rilke fut le secrétaire du sculpteur Rodin; par ailleurs, ce fut en France qu'Oscar Wilde vint se réfugier à sa libération de prison en 1897, et c'est au Père-Lachaise qu'il est enterré. La philosophie positiviste de Renan et de Taine, je l'ai noté au chapitre 5, rayonnait dans le monde entier; en revanche la révolution darwinienne, qui commença sous le second Empire et toucha aussi bien la biologie que l'anthropologie et l'Histoire (pour le meilleur et pour le pire

développement technique mal maîtrisé, un matérialisme utilitariste trop accentué, une notion de progrès inéluctable bien discutable... NODIER (inspiré sans doute de l'écrivain monarchiste Jacques CAZOTTE ?76) apparaît comme l’ironique détracteur d’un scientisme, voire d’un positivisme aveugle, qui sont en train de se développer. Il brocarde également une naïve foi au progrès technologique. Ce sont vraisemblablement les saint-simoniens qu’il prend en ligne de mire. Les philosophes ratiocineurs et bavards

métissage qui permet peu à peu l’émergence de la science politique. 2. Le déclin inéluctable de la philosophie politique ? La deuxième moitié du XIXème siècle, dans l’Histoire des idées, est marquée par un idéal qu’on appelle scientiste. Le scientisme est une foi dans le progrès technologique qui doit permette de régler tous les problèmes des hommes ; les problèmes techniques, les problèmes de santé mais aussi les problèmes moraux. Dès lors, la religion et la philosophie même, perdent leur légitimité

Ferry, héros incontesté de l'école laïque. Il fallait balayer tous les obscurantismes, musulmans ou animistes, et faire accéder les colonisés ( sans trop se presser toutefois ) aux incomparables lumières de la démocratie parlementaire et du scientisme athée. Au traité de Versailles, on vola à l'Allemagne son relativement petit domaine colonial sous prétexte d'incapacité administrative, ce qui signifiait la non-intervention allemande dans les cultures indigènes ; non-intervention qui lui avait

l’introduction le texte souligne avec force la distinction entre les lois de la nature physique et les lois morale de la cité humaine ce qui condamne le positivisme qu’il s’agisse du déterminisme des théories économiques libérales ou qu’il s’agisse du scientisme marxiste. La base de la morale naturelle c’est le respect de la personne humaine d’où l’idée « l’autorité n’est pas supériorité, mais service ». Autrement dit, l’état est au service de la réalisation des droits de l’homme dans la ligne de la déclaration

l’administration et les grandes entreprises, notamment les compagnies de chemins de fer. Héritiers de la tradition des Ponts et chaussées qui pratique depuis des années le calcul économique, il ont une idéologie, le saint-simonisme, une philosophie, le scientisme, et des outils : les mathématiques. Ils appartiennent à ce qu’on appelle la bourgeoisie de capacités. Sélectionnés pour leurs compétences intellectuelles, ce sont des enfants d’une bourgeoisie assez riche pour payer les études (l’école est alors

métaphysique en philosophie, l’encyclique en vient à mettre en garde contre une philosophie qui s’enfermerait dans des recherches la vidant finalement de sa dimension métaphysique : tel est le danger que recèlent l’éclectisme, l’historicisme, le scientisme, le pragmatisme et le nihilisme. Les tâches actuelles de la théologie (§92–99) Une double tâche incombe à la théologie aujourd’hui : d’une part, renouveler ses méthodes pour servir plus efficacement l’évangélisation ; d’autre part, viser audacieusement

évidemment tous les citoyens qui composent le pays. La nation ce sont non seulement les vivants mais aussi les morts, les disparus. C'est le passé, mais aussi la manière dont l'ensemble des citoyens envisagent l'avenir et un philosophe du XIX Ernest Renan a défini la nation comme "un rêve d'avenir partagé". La nation est fondée sur des valeurs. En d'autres termes, la nation ce sont des valeurs politiques, sociales, humaines qui sont partagées par l'ensemble des citoyens sur un territoire. Cette