Renonciation du pape

On est dans une période économique qui est de peu d’essor, qui n’est pas très prospère. (Jusqu’en 1492). D’autre part la forte prégnance de la religion chrétienne joue en faveur de la prohibition, Jésus « prêter sans rien espérer en retour ». le pape Léon en 444 dit que le prêt à intérêt est un péché mortel. Aristote ajoute un élément de logique en faveur de la prohibition : « aussi bien les produits se reproduisent, aussi bien l’argent ne produit rien ». L’argent ne doit pas porter d’intérêt,

Cependant, lors de cette cérémonie, Philippe VI fait consigner que l’hommage n’est pas prêté pour les terres qui ont été détachées du duché de Guyenne par Charles IV le Bel (en particulier l’Agenais). Édouard considère que son hommage n’implique pas la renonciation de la revendication des terres extorquées61,Note 3. Intrigues et déclaration de guerre [modifier] La tension monte entre les deux souverains d'autant que la noblesse pousse au conflit. Elle débouche inévitablement sur une déclaration de guerre

laïques et ecclésiastiques mais jamais ensemble les trois ordres. Or, la réunion de ces trois ordres est essentielle pour que l’on puisse parler d’Etats généraux. Ceux-ci apparaissent véritablement en 1302, lorsque Philippe le Bel en conflit avec le pape Boniface VIII convoque à Paris des représentants des trois ordres. On peut voir dans cette réunion les premiers Etats généraux. Paragraphe 1, la composition des Etats généraux… En 1302, les Etats généraux possèdent encore un caractère essentiellement

b – La protection par le Roi Protection par le roi ensuite, c’est l’obligation que Philippe Auguste et ses successeurs ont fait au prévôt de respecter le privilège du clerc. Dès lors, le pape en accord avec le roi confrère à l’université des statuts. Échange de bons procédés, le roi obtiendra du pape l’interdiction de l’enseignement du droit romain à l’université de Paris. Pourquoi ? Parce que ce droit romain est considéré comme un instrument au service de la supériorité de l’empereur, du SERG

puissance de l'Église et même la toute puissance de l'Église. -La richesse de l'Église ne plait pas, et la constituante considéré que c'est richesse est abusive et va donc réguler cela. -la dépendance au pape ne plait pas non plus à la constituante, la constituante souhaite couper le lien avec le pape ou du moins diminuer la dépendance. Les rois de France ont développé l'idée de galicanisme. Pour les Constituants ils faut couper les liens Ces 3 défauts de l'Église d'AR vont être examiné par le comité

d’un questionnement qui porte sur l’Europe, la papoté a été un élément essentiel de cette époque du moyen âge. Autorité du pape : spirituelle et temporelle. En réalité l’analyse au moyen âge est que tout pouvoir quel qu’il soit procède de la volonté de dieu ce qui permet au pape de revendiquer une autorité temporelle sur les princes (titulaires de l’autorité politique). Le pape vient ainsi en concurrence avec une autre autorité qui réclame également un pouvoir politique supérieur à caractère fédératif :

impériaux en orient.  morcellement en multitude d’empires barbares. Ms très vite chrétiens et nicéens (mm foi que concile de Nicée).  unité : roi de Fr refuse autorité de l’empereur germanique / Pape s’impose / empire byzantin « seul dépositaire de l’autorité sur l’occident » (représentants auprès du Pape) / Islam s’étend. b) - droit des gens. Relations entre corps politiques apparaissent. Fondées sur pluralité de règles : ordre féodal / Église (trêve de Dieu, droit d’asile…)  Jus gentium = droit

point de vue politique, est morcelé en de nombreux royaumes barbares. Au moment où l'empire disparaît, l'Eglise va assurer la relève de la romanité. Son organisation se calque sur le modèle romain, avec un chef, le pape, qui est d'ailleurs installé à Rome. D'une certaine manière, le pape apparaît comme le successeur des Césars, des empereurs. Les cadres territoriaux de l'Eglise sont repris de ceux de l'empire romain, et son droit - le droit canonique- va s'inspirer des techniques et des formes romaines

l’armée : le roi a besoin d’avoir une armée permanente royale et il a donc besoin d’une fiscalité régulière. La monarchie a marqué son indépendance vis-à-vis de l’église. Il y a eu des conflits violents à l’époque du roi Philippe le Bel qui s’est opposé au pape Boniface VIII. La pragmatique sanction de Bourges de 1438 est une décision qui reconnaît au roi de France le pouvoir de nommer les évêques. A partir de la « crise intellectuelle » du 16e siècle, ce sont les bourbons qui vont être les artisans de l’édification

les membres Du Sénat. C'est pourquoi le premier siècle fut marqué par de grands senatus-consultes ayant force législative (entre autres le Macédonien, annulant les engagements du fils de famille, et le Velléien, faisant l'objet de nombreuses "renonciations" dans la pratique médiévale parce qu'interdisant à la femme de garantir les engagements de son mari). En fait le Sénat ne faisait qu'approuver la volonté impériale. C'est la raison pour laquelle l'oratio (discours dans lequel l'empereur présentait