Représentation régulière

personne est dans son intériorité. Le corps peut être parlé, il peut y avoir une sensation qui vient dans l’après coup du mouvement de la chair. Ces sensations nous permettent de nommer le corps et par ces paroles nous avons ainsi accès à une représentation de notre chair. Ce qui nous permet ainsi de nommer quelque chose d’innommable étant donné que nous n’avons accès à notre corps que de manière partielle. Nombre de personnes travaillent avec la danse de manière intuitive donc sans visée thérapeutique

non. * « La carte n’est pas le territoire qu’elle représente » : (La carte : notre perception du monde. Le territoire : la réalité). Il y a autant de perception différentes de la réalité qu’il y a d’individu. Il faut éviter d’avoir des représentations hâtives d’autrui. * « Il n’y a pas d’échec, seulement de l’information en retour » : suppose que toutes les expériences vécues, qu’elles soient réussies ou non, sont des étapes vers le progrès. On doit donc se servir de toutes ces expériences

une table des matières et une page consacrée aux références intertextuelles et des auteurs mentionnés tout au long de l’ouvrage. Le chapitre 1 s’intitule Les représentations, plusieurs sous parties structurent ce chapitre : La conviction de l’acteur ; la réalisation dramatique, l’idéalisation, la cohérence de l’expression, la représentation frauduleuse, la mystification et enfin réalité et simulation. Les chapitres 2, 3 et 4 n’ont pas de sous parties. Le chapitre 2 s’intitule Les équipes, le chapitre

lèvres et de la bouche), le traitement visuel susceptible de permettre, par exemple, la discrimination de visages non familiers, la génération des noms et la reconnaissance des visages familiers. Cette dernière suppose l’existence d’unités ou représentations stockées en mémoire (les unités de reconnaissance faciale ou URF) correspondant à ces visages. L’activation de ces unités conduit à l’identification de la personne, cette dernière pouvant être suivie d’une recherche du nom dans un « lexique de

qui a seulement pour fonction de l »habiller », afin de la transmettre selon un ensemble de « conventions » reconnaissables par une communauté concernant la conscience humaine, peut on dire que celle ci « habille » une pensée, un ensemble de représentations, qui existe indépendamment d'elle? La conscience n'est elle qu'un moyen pratique, un truchement commode? 2 objections s'imposent aussitôt: il existe différentes consciences du monde: y aurait il donc autant de mondes? Si la pensée est indépendante

communauté ? Source : la société incivile, S. ROCHE (1996) Document 2 : Incivilité et délinquance. Les incivilités n’ont pas de définition juridique précise. Il s’agit d’une notion sociologique avant tout, qui renvoie aux perceptions et aux représentations des gens. Essayons de situer les désordres par rapport à la délinquance. Les incivilités ont des incarnations très anodines, tout du moins en apparence et à court terme, comme par exemple le défaut de politesse, voire l’agressivité verbale, ou

bâties en matériaux fort peu durables, tels que la brique, le pisé ou le bois. De là vient qu'il nous reste à peine quelques ruines d'habitations égyptiennes. On peut néanmoins se rendre compte de ce que pouvait être une maison égyptienne par les représentations que nous en donnent les peintures sépulcrales et même par quelques minuscules spécimens qui sont parvenus jusqu'à nous. Dans les demeures d'une certaine importance, les chambres étaient disposées quadrangulairement autour d'une cour assez vaste

QUESTIONS D’ICONICITÉ DANS LA  REPRÉSENTATION DE LA VILLE EN PEINTURE    Francesca Caruana  Artiste­plasticienne  Enseignant­chercheur à l’Université de Perpignan      Résumé    Depuis  que  la  perspective  a  symbolisé  l’espace  environnemental,  sa  perception  et  sa  représentation  en  ont  été  modifiées  au  point  de  constater une  inversion du  schéma  territorial.  Si  comme l’indique Daniel Arasse dans son Histoire de peinture, l’espace territorial était initialement  segmenté 

Bilan de stage Après 16 semaines de stage effectuées en hôpital de jour auprès d'enfants et pré-adolescents polyhandicapés, mes représentations de ce public ont évolué. Tout d'abord malgré une dépendance totale de nombreuses activités peuvent leur être proposées (activités manuelles, musicales, éveil sensorielle…) tout ceci dans un but précis propre à chaque enfant afin de correspondre à son projet personnalisé. Leur participation peut être variable, ils peuvent être plus ou moins actifs

on expérience. Ce ne sont pas les événements eux­mêmes qui posent problème, mais la représentation qu'il s'en donne et la représentation qu'il se fait dorénavant de lui­même.  A la différence du langage courant, le langage de l'humour a l'avantage de pouvoir tout dire et, comme le dit Freud, « tout même la vérité ». L'humour que l'éducateur pratique à son égard ne détruit pas . Il déconstruit des représentations qui le détruisaient subrepticement. L'humour opère une mise à distance et une remise en cause des