Res communis

(préf.) achever => persequor eris i secutus sum acquérir => comparo as are avi atum acquitter => solvo is ere solvi solutum acteur => actor oris m actif => impiger gra grum action => facinus facinoris n., actio onis f. actions => res gestae umarum f. pl. activité => diligentia ae f., occupatio ionis f. addition => ad- (préf.) adjoindre => adjungo is ere junxi junctum admettre => admitto is ere misi missum administrateur => dispensator oris m. administrer => administro

accès aux données le concernant et qui peut s’opposer à leur traitement). – L’entreprise qui collecte des données ne doit les collecter que dans un but commercial. – L’entreprise doit s’assurer de la sécurité du stockage des données. SYNTHÈSE Les o!res de produits et de services gratuits, que le consommateur obtient sans contrepartie fi- nancière, se multiplient. Il existe au moins cinq modèles de gratuité qui obéissent à des logiques irrationnelles en matière de fixation du prix. On parle de logique

d’entre eux Français, puisqu’il représente 37 % de la consommation (20 %) possède ou a possédé un ou plusieurs blogs média hebdomadaire, mais également le premier • 12 % sont abonnés à un flux de syndication (RSS) moyen de communication avec 37 % des communi- • 64 % sont inscrits sur au moins un site communautaire cations entre Français, devant le téléphone mobile (32 %) • 17 % ont déjà écouté au moins une émission en et le téléphone fixe (31 %). baladodiffusion (« podcasting »). Cependant, cette grande

Le tribunal a dit au législateur qu’il devait créer la notion de res nullius. La réaction du législateur est l’art 714. Mais cet article ne vise pas les res nullius mais les choses communes dont la nature n’est d’appartenir à personne, même pas à l’Etat. • questions Des questions se sont donc levées : l’appropriation est elle de dt ?, quelle est la relation entre la res nullius et la res communis ? la res communis n’appartient elle effectivement à personne ou, eu contraire, est

....................................... . . . 6 5 c o m m U N iQ UER EN TEm Ps R éEl a vEc lEs iN TERN aUTEs ..................................................... . . . 6 9 m ET T R E E N Pla cE UNE Pla TE-fo R m E dE saTisfacTioN ET dE sERvicE aP RÈs-vEN TE .......... . . . 7 4 a N a l Ys ER lE TR a fic dE sEs siTEs .. ............................................................................... . . . 7 8 G l o s s a i R E . . . . . .........................................................

occurring together, or in close succession, tend to grow together, or cohere, in such a way that when any of them is afterwards presented to the mind, the others are apt to be brought up in idea.” — Alexander Bain, 1872 iii Table des mati`res e Introduction Chapitre 1 Personnages autonomes en environnement virtuel 1.1 1.2 L’animation comportementale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les agents virtuels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ds la composition des patrimoines des français. Ils ont été décrit par le Professeur Catala. En 1804, la société était rurale. Quant à la fortune elle était pratiquement foncière. Un très gd nb de règles concerne la propriété immobilière car “Res Mobilis, Res Villis”, càd les choses mobilières sont de peu de prix. Aujourd'hui, la France des campagnes recule et la fortune des ménages qui était auparavant exclusivement immobilière, foncière s'est diversifiée dans ces supports, elle devient aujourd'hui

u el f t uipéi àl cnt co ds ot qi vcl m r ls te ot e a q’ r d a osut n e pn , u ae e ual e l r i l se r i s s ie s pr s e v l fn pre e coe d i s“ar s ( sacræ), il « fait le pont » entre les hommes et les dieux : ’ t ot ds ie ot a ids hss i n ,sc e” res e ls t ve é ne s c psdal r l rl d l “ l i ”d « e a ’ lus e ô e a r i o e relier » (religere) ed i e l u a ?A at ’ r u j r epp,e ie e eg n l i n t’ m i v h n vn dê e n o l ae l t u “ovr n ote et asa o e n qee o pil m e u ( .e ua td d lm na dA gs , S

Table des mati`res e Pr´face e xxi A I 1 2 Introduction ` la pile ARPA a R´seaux locaux e Pr´ambule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e G´n´ralit´s - LANs . . . . . . . . . . . . . . . . . e e e 2.1 G´n´ralit´s . . . . . . . . . . . . . . . . . e e e 2.2 Mod`le de communication OSI . . . . . . e R´seaux locaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e 3.1 Qu’est-ce qu’un LAN ? . . . . . . . . . . . 3.2 WAN - MAN . . . . . . . . . . . . . . . . 3.3 Communications inter-r´seaux .

transfert de propriété de la chose. La vente est devenu un contrat consensuel synallagmatique parfait de bonne fois. Ses grande division : - res manicipi = un procédé archaïque : les choses qu’ils ne peuvent se transférer que par le procédé de la mancipacio. Cela concerne tous les immeubles en Italie et tous les animaux se domptant par le cou. - Res nec mancipi= choses qui ne se remettent pas par mancipacio mais par tradicio : toutes les petites choses : une poule, un œuf. Ce sont aussi les