Res Publica

rue de Séville" à "cent lieux de Madrid" le "matin" Puis on apprend que le comte attend Rosine "qu'il n'a jamais vu". Il est très amoureux, il fuit la cour. Il est interrompu par figaro et se cache donc pour ne pas être dérangé. 2- "In medias res" ---> au milieu des choses Tous les éléments avant cette rencontre entre le compte et sa bien-aimé ne sont pas cités ---> on laisse parler notre imagination Quand Figaro entre il est déjà en train de chantonner ---> on a l'impression de rentrer

omniscient (il sait tout « si, en entrant à Verrières, le voyageur demande (…) on lui répond avec un accent traînard : « Eh ! Elle est à M. le maire » ») à l'inverse de Nathalie Sarraute qui met en place une instabilité narrative et une entrée in medias res entrant ainsi la gène et la confusion du lecteur il assiste à une conversation privée sans savoir qui parle (« oh écoute, tu es terrible, tu pourrais faire un effort… j'étais horriblement gênée... »). De plus Stendhal donne de nombreuse informations

in media res. -fonction dramatique : met en marche l'histoire. -phrase-seuil : première phrase d'un roman. Formes : -statique : très informatif, avec de nombreuses descriptions (perso, décors, contexte…). Il met l'action en suspend et fait attendre le lecteur. C'est un procédé récurent dans les romans réalistes, ex : Balzac -progressif : donne peu à peu des informations mais ne permet pas de répondre à toutes les questions que peut se poser le lecteur. -dynamique ou in medias res : jette le

l’enterrement de sa mère. -Les personnages : Notamment le personnage principal qui est représenté par le narrateur qui s’exprime à la 1Ps. C’est un narrateur homodiégétique. (Il appartient au monde qu’il décrit) Cet incipit est « in medias res » (au milieu des choses = Action + Présentation). Nous débutons la lecture du récit lors de la mort de sa mère. Cet incipit est étrange, à cause du style télégraphique qui reflète le style pathétique. Le héros semble étranger au mode dans lequel il

romantique royale. Contexte dans la naissance de la république de Rome que l’on va inventer le mieux ce Jus que l’on distingue de la parole de Dieu. SECTION 1 : Fondation de Rome et naissance du Jus. La res publica : la république la chose qui appartient à tous. Paragraphe 1) Naissance de la Res publica. Lorsque Rome est fondé il s’agit d’une cité (Polis) c’est une royauté mais la conception que l’on va faire des affaires de la cité va favoriser la naissance de la république. I. Fondation de Rome

SKOUMA NOOR La seule vraie justice vient de DieuPrincipe fondateur de la cité repose sur le respect de Dieu La res publica Christiana = corps social, corps de l’Eglise Le prince exerce un minestarium = pour finalité général du populas christiPour le salut de la chose publique et pour la sainte utilité de l’Eglise Le bon prince chrétien sert l’Eglise La Res publica de l’an 1000 ne désigne ni l’église ni le royaume mais une certaine conception de l’ordre du monde marqué par l’inclusion organique ou

TD 2 : Restauration de la Res Publica et l’empire carolingienCicéron : « L’Etat ou la République est la chose du peuple », « Le peuple est rassemblement multitude indiv qui se sont associée en vertu d’un accord sur le droit et d’une communauté d’intérêt ». · Idée souv pop· Etat dispose intérêt général avec pvrs ++ imperium · Les organes de gouv soumis au droit Concept res publica va pas durer car chute empire romain occident 476 (invasion barbares) peuples germaniques mettre en place système familial

loi humaine définissant les deux autres c’est à partir d’elles que se fondent la « Res publica » (I) et l’altération visible de cette dite « Res publica » (II). I. La « Res publica » fondée sur deux lois « Pour que la Res publica jouisse de la paix tranquille de l’Eglise, il est nécessaire de l’assujettir à deux lois différentes », lignes 1 et 2. Dans cette phrase on définit le fondement de la Res publica qui repose sur deux lois différenciables celle de la loi divine (A) et celle de la

C’est un sens très politique du terme.  • Au sens plus étroit : l’état est l’ensemble des personnes qui exerce le pouvoir politique.    L’Etat n’a pas été inventé par nous. Ce sont les romains qui l’ont inventé. A Rome, l’Etat est la res publica. La res publica est la chose publique. Jusqu’au Romain, le pouvoir est toujours personnalisé, incarné donc c’est toujours une personne qui le détient. Il généralement incarné dans la personne d’un roi. A partir des Romains, on va dissocier le pouvoir et

stabilité. Cette idée est très présente dans le terme d'Etat. Il est ce qui est fixe, stable, immuable. Il ne change pas, il survit aux crises, aux événements, aux décès de ses gouvernants. Les Romains connaissaient cette idée mais l'appelaient la res publica (la chose publique). C'est un synonyme d'Etat. Paragraphe 2 : Aux origines de l'Etat A) L'Etat pendant l'Antiquité L'idée d'Etat est présente chez un certain nombre de penseurs antiques et surtout grecs. Platon s'intéresse à la question de