Résistance aux antibiotiques

gonorrhoeae aux antibiotiques ont conduit les praticiens à rectifier les recommandations thérapeutiques. On a assisté d’abord en 1957 à l’apparition de souches faiblement résistantes à la pénicilline (résistance de bas niveau de type chromosomique) [20] puis, en 1975, de souches productrices de pénicillinases hautement résistantes à la pénicilline enfin, en 1985, de souches hautement résistantes aux tétracyclines [3]. Il est possible d’évaluer l’évolution des profils de résistance en France depuis

800 millions d’euros par an) • 1/3 du budget des antibiotiques hospitaliers. • Social : • indemnités journalières • coût des préjudices 9 LES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS (IAS) D. CAUSES DE L’INFECTION: 1) Méconnaissance des problèmes infectieux nosocomiaux. (Manque de formation sur mode de transmission, prévention). 2) L'hôpital : • concentration • de micro-organismes pathogènes résistants (utilisation des Antibiotiques) • de gens fragilisés. • Difficulté d'isoler les

celui de la santé. Pour obtenir un OGM, il faut tout d'abord identifier le gène d'intérêt qu'on souhaite appliquer à un organisme, dans ce cas présent, à une plante (pour pouvoir par exemple, modifiés les caractères de qualité nutritionnelle, la résistance à certains insectes, à certaines maladies etc). Le gène d'intérêt peut provenir de tout organisme vivant puisqu'un code génétique est universel. Deuxièmement, on intègre ce gène dans un code génétique puis la construction est par la suite clonée

D’ANTIBIOTHERAPIE ET PREVENTION DES RESISTANCES BACTERIENNES EN ETABLISSEMENT DE SANTE ............................................... 5 ANTIBIOTHERAPIE DE PREMIERE INTENTION................................................... 11 ANTIBIOPROPHYLAXIE ......................................................................................... 64 ANTI-INFECTIEUX................................................................................................... 96 UTILISATION DES ANTIBIOTIQUES AU COURS DE LA GROSSESSE

connaissances minimales en biologie – Facile à modifier (inclusion de caractères de résistance) • Méthode de diffusion – Par voie aérienne • aérosol (avec dispersion importante, Sverdlovsk) • Poudre contaminée (contamination de surface, enveloppe) • Potentiel épidémique – Nul (pas de contamination inter-humaine) • Taux d’attaque – 25 à 50 % Bacillus anthracis • 2 formes – Spores : • 2 à 5 µ, Forme de résistance, peut survivre > 100 ans dans les sols – Bacille à Gram positif après germination

 1 Ref : « Prescription des antibiotiques en odontologie et stomatologie ». Recommandations et argumentaire, AFSSAPS juillet 2001 en odontologie et stomatologie (ce chapitre doit être abordé après avoir pris connaissance du texte introductif précisant la notion de sujets à risque) 2 Ref : « Prescription des antibiotiques en odontologie et stomatologie ». Recommandations et argumentaire, AFSSAPS juillet 2001 A-Indications deP la’athnotilboigotiheésr apAie nsytisbtéiomtihqéurea

désinfectants, antibiotiques STRUCTURE BACTERIENNE Paroi:     Enveloppes (2) assure la forme (cocci, bacille) est différente pour les gram + et les grampeut avoir un rôle dans l’antigénicité. est la cible de certains antibiotiques Membrane cytoplasmique:  membrane trilamellaire formée de phospholipides  barrière osmotique,  contient systèmes de transfert (perméases) qui assurent la pénétration sélective de différentes substances (nutriments, antibiotiques)  le mésosome

des variétés locales d'Amérique latine ont permis à la population de survivre après le mildiou de la pomme de terre (pénurie) qui a frappé l'Irlande autour de 1840. Aujourd'hui, ces plantes aident souvent à améliorer la tolérance au climat et la résistance aux maladies. Elles pourraient disparaître si des variétés génétiquement modifiées les remplaçaient. · Impact sur les oiseaux, les insectes et les organismes du sol: Les risques potentiels pour les espèces non ciblées, comme les oiseaux, les

virale (toux, écoulement nasale…). Parfois mortelles. Elles peuvent être traitées par des antibiotiques. Virus : Vaste famille de microorganismes responsables d’infections, ils ne peuvent pas se multiplier à l’extérieur des cellules de l’organisme qu’ils ont infectées La cellule bactérienne : La cellule bactérienne est entourée par une enveloppe rigide (la paroi) qui lui garde sa forme, lui donne sa résistance et entoure une autre enveloppe plus mince, la membrane cytoplasmique. Les bactéries :

Chlorure de lithium (7 g/l) o Glycine (1 g/l) o Pyruvate de sodium (3 g/l) o Agar (12 g/l) o Eau o Ph = 7,4 ± 0,2 • La gélose Mueller-Hinton : milieu de référence pour l’étude de la sensibilité des germes aux antibiotiques et aux sulfamides. Composants : o Hydrolysât acide de caséine (17,5g/l) o Infusion de viande (2 g/l) o Amidon soluble (1,5 g/l) o Agar (17 g/l) o pH = 7,3 ± 0,2 • La gélose MacConkey : contient des colorants