Résolution 1973 du Conseil de sécurité des Nations unies

cas de la serbie, casques bleues ONU) L'ingérence, c'est un peu comme le principe de précaution Le droit d'ingérence, terme créé par le philosophe Jean-François Revel （francais）en 1979, est la reconnaissance du droit qu'auraient une ou plusieurs nations de violer la souveraineté nationale d'un autre État. En pratique, ce droit s'exerce dans le cadre d'un mandat accordé par une autorité supranationale (mandat qui peut cependant venir a posteriori). D'un côté, ceux que l'on peut qualifier de "libéraux-conservateurs"

définir les contours dans des débats houleux de 1923, débats abandonnés dès que les relations internationales devenaient plus tendues. Repris par les Nations Unies, le débat s’est poursuivi jusque dans les années 1970, décennie au cours de laquelle l’ensemble des Etats de la Communauté internationale sont parvenus, à l’unanimité, à l’adoption d’une résolution définissant l’agression, à la faveur de la détente. Si la notion est aussi controversée c’est qu’elle est liée au problème fondamental du

gens. Cette expression a été utilisé jusqu'à la fin du 18ème siècle pour designer le droit applicable dans les rapports entre sociétés politiques. A la fin du 18ème on a attiré l’attention sur le fait qu’il s’agissait en réalité d’un droit entre nations CAD de droit entre états. En France on a parlé de droit international public pour opposer le droit concernant les rapports entre états au droit international privé constitué par les règles de droit interne s’appliquant aux situations juridiques qui

Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), M. Ban Ki-Moon déclarait le 29 janvier 2009 au Forum économique de Davos que « Cette nouvelle époque exige de redéfinir la notion de leadership – de leadership mondial. Elle exige une nouvelle coopération internationale entre tous – gouvernements, société civile et secteur privé, travaillant ensemble pour le bien collectif du monde entier ». Cette intervention de l’actuel Secrétaire général de l’ONU intervient au lendemain de la

Internationale ), est concomitante de deux événements majeurs : 1. la fin d’un conflit mondial, 2. l'émergence d'une organisation internationale à vocation universelle. ► Au sein du Comité IV/1 des Juristes chargés de rédiger la Charte des Nations Unies, les représentants des États étaient divisés sur la nécessité ou l’opportunité de créer une nouvelle cour.  Certains délégués estimaient qu’il était souhaitable d’assurer autant que possible la con-tinuité des institutions judiciaires internationales

internationale, parce que le but du concert européen s’est d’essayer de conserver un équilibre entre les Etats et de maintenir la paix internationale. D’un autre côté, ce concert européen est dominé par un directoire de grandes puissances. (organe des Nations-Unies). A côté de cette tentative purement politique d’organiser les relations internationales à travers le concert européen, notre XIXe siècle de l’historien est également caractérisé par le développement des premières organisations internationales

La Marche verte – Maroc (6 novembre 1975) Cette "Marche verte", ainsi nommée d'après la couleur sacrée de l'islam, exprimerait "le vœu unanime" du peuple marocain et imprimerait "en lettres d'or une nouvelle page de gloire" dans l'histoire de la nation. Le roi s'engagea à prendre la tête des marcheurs qui auraient pour seule arme le "Livre Sacré d'Allah". L'organisation que supposait le transport à travers le désert de 350.000 personnes venues des quatre coins du Maroc, le ravitaillement

pays vont progressivement rejoindre la ligue : la Libye (1953), le Soudan (1956), le Maroc et la Tunisie (1958), le Koweït (1961), l’Algérie (1962), le Yémen du Sud (1967), le Bahreïn, le Qatar, les Emirats Arabes Unis et Oman (1971), la Mauritanie (1973), la Somalie (1974), L’Organisation de Libération de la Palestine (1976), Djibouti (1977) et les Comores (1993). La ligue est la première des grandes alliances internationales créées après la deuxième guerre mondiale, plus vieille que l’ONU, elle

Chapitre  III  :  Fondement  du  droit  international   Fondements  extérieurs  au  droit  positif  ;  propres  au  droit  positif     Chapitre  IV  :  La  Charte  des  Nations  Unies  et  le  système  juridique  international     Le  droit  international  selon  la  Charte  ;  la  Charte  comme  traité  international  ;    comme  fondement  d’une  institution

ambiguïtés, lesquelles sont caractéristiques de ce concept. Dans le but d’en faire l’analyse, cet article aborde en premier lieu la reconnaissance normative de la légitime défense dans la Charte des Nations unies, puis présente différentes pratiques d’emploi de la force faites par des États ou par le Conseil de sécurité, chacune fondée sur la légitime défense. La nature particulière de la légitime défense dans le cadre international sera également étudiée. Une réflexion s’impose ensuite : l’usage de cette