Respecter Les Méchants

risque de récidive suicidaire. Je demande à Mme B ce qui se passe, pourquoi nous la trouvons dans cet état, s'il y a eu un facteur déclenchant. Elle me raconte une conversation qu'elle a eu avec son ex-belle-mère la veille, me dit que c'est une « méchante femme », qu'elle a été odieuse avec sa fille (la fille de Mme B). J'ai du mal à m'y retrouver dans ses explications. J'essaie de la faire parler un maximum. Mme B s'excuse en permanence de « nous déranger ». A chaque fois je la rassure en lui expliquant

à la fois incompréhensible, et insupportable. Fait-on le mal parce que l’on est essentiellement un « méchant », un pervers, un monstre, un démon ? Y a-t-il une volonté diabolique ? I) On ne peut faire le mal que si on est ignorant A quelles conditions ne pourrait-on pas vouloir le mal volontairement ? Platon disait « nul n’est méchant volontairement ». Le méchant serait ainsi méchant par accident, inconsciemment, il croirait poursuivre un bien: il confond le mal avec un bien: il est impossible

quelles sont elles ? Rire de tout peut être critiqué et ne pas être accepté par tous. En effet, certains sujets ne sont pas aptes à accepter le rire. Tout dépend de l’intention que l’on aura pour aborder un sujet : l’intention peut être gentille, méchante, moqueuse, ironique etc... Ainsi, notre réaction ne sera pas la même si l’on sait que l’intention est gentille. De plus, rire de tout dépend des personnes avec lesquelles l’on rit. De fait une blague émanent d’un humoriste ne sera pas interprétée

T°S1 PHILOSOPHIE SUJET : Pour être juste, suffit-il de respecter le droit ? D’après l’idée de Montesquieu : « Une chose n'est pas juste parce qu'elle est loi. Mais elle doit être loi parce qu'elle est juste. », on peut comprendre qu’agir conformément au droit peut suffire pour être juste, mais ce droit doit être lui-même conforme à ce qui est juste. On se demande donc s’il suffit de respecter le droit pour être juste. Tout d’abord il faut obéir aux lois pour

sens ou nous l’entendons. Aux yeux de l’autre vous n’existez, d’abord, que par la raison qui vous a amené à partager son ordinaire. Mieux vaux être un escroc, un dealer, ou quelqu’un qui a battu sa femme à mort plutôt qu’un violeur. Un dealer sera respecté parce qu’il appartient à la plus grande famille de la population carcérale. Un « voyageur » ne sera jamais seul, entouré de ses cousins qui ne manqueront pas d’être aussi dans la prison. Pour les autres, il faudra très vite montrer que la peur n’est

la ferme Il courtise d’ailleurs la nièce de son patron, Madelon 4 ) la fiancé de Landry, Madelon est une tres jolie jeune femme tres respecté dans le village, elle est grande et toujours bien habillée Cependant , au cours du roman , son caractère se révèle exécrable Nous remarquons, notamment dans la scène où elle discute avec Fadette qu’elle est futile, méchante et stupide et surtout tres superficielle 5 ) Physiquement, la petite fadette et Madelon sont totalement opposées, la premiere est mal

consternent. La solitude farouche qu'il choisit à la fin du Misanthrope paraît donc aux philosophes des Lumières le signe flagrant d'une malhonnêteté : on ne peut fuir les hommes que pour leur faire du mal (ce que recouvre à l'époque l'adjectif "méchant") ou pour expier quelque faute. - On sait que Rousseau se sentait proche d'Alceste et considérait pour cela la comédie de Molière comme une apologie du mensonge. La phrase sur laquelle on se propose de disserter lui parut ainsi une allusion malveillante

« Nul n’est méchant volontairement » Analyse du sujet à la loupe Remarquons d’abord que la formule se présente comme une vérité universelle. Dans sa formulation, elle appuie ses prétentions à l’exhaustivité et prétend avoir fait le tour du problème. Elle prend la forme d’une sentence Nul c’est-à-dire « aucun », quels types de sujets ( capables d’être méchant) sont-ils rassemblés derrière ce pronom ? Nul homme (psychopathe, tyran), nul animal ( prédateur), nul Dieu ou ange ( déchu)…

mort. Elle n’avait pas pensé aux conséquences et au mal qu'elle peut causer aux gens qui l'entourent, comme son fiancé, sa sœur et sa nourrice. Nous remarquons qu’Antigone est irréfléchie. Antigone choisit d’être morte comme un enfant au lieu de respecter les lois de son oncle. En dernière lieu, Jean Anouilh démontre qu’Antigone représente la naïveté et l'innocence. Elle n’accepte pas de vivre dans un monde de réalité, mais elle préfère plutôt de garder son univers à elle et de s'éloigner de celui

classique:Le théâtre classique est assez strict, en effet en 1635 l’Académie Française établit des règles et des codes propres aux pratiques théâtrales.On peut citer la Vraisemblance, la Bienséance et la Règle des Trois Unités. La tragédie se doit de respecter ces codes, visant à faire du théâtre tragique un art prestigieux de rétrospection mettant en œuvre la lutte éternelle de l’Homme contre le destin inéluctable. L’Art étant encore sous l’influence de l’Eglise, la bienséance était primordiale, et les