Respecter Les Méchants

« O monstre! » → « ô le plus scélérat de tous les hommes » 3)Un dialogue qui progresse => un dialogue polémique : -polémos: la guerre en grec - par les dénominations utilisé: insultes: « Barbare » « Scélérat » - « en interrompant »: non respect de la parole de l'autre ; opposé au caractère de Zadig - verbe déclaratif très fort = ton agressif: « cria », … - « Qui te l'a dit ? » → Tutoiement de l'ange, changement d'attitude => une dialogue didactique: -mise en scène de la relation:

n’est pas égale, et d’emblée le titre de la pièce associe Don Juan et celui qui le punira. En quoi peut-on dire que Don Juan est « un grand seigneur méchant homme » ? La présentation que Sganarelle fait de Don Juan en « grand seigneur méchant homme » met en avant la noblesse du personnage (« grand seigneur« ) et l’indignité de ses actions (« méchant homme« ). Don Juan, de fait, est un aristocrate. Il en a les manières (voire par exemple la description de l’habillement du personnage tel que le perçoit

d’abréviations et de symboles (flèches, tirets…) dans ma copie. 15. J’utilise des connecteurs logiques pour établir un lien entre mes idées et assurer la progression de mon texte. 16. J’utilise un niveau de langue courant dans ma copie. 17. Je respecte la ponctuation. 18. Je soigne l’orthographe, la présentation et la lisibilité de ma copie. 19. Je fais un alinéa de deux carreaux lorsque je change de paragraphe. 20. Je n’utilise pas la première personne du singulier (« je ») dans mon commentaire

jamais critiqué, jugé, caricaturé un groupe ou une seule personne ? La violence et la méchanceté sont-elles naturelles à l’homme ou bien un effet pervers de la civilisation qu’il serait possible de corriger ? L’homme est-il méchant comme un loup ou est-il devenu un être plus méchant que le loup lui-même ? Ce sujet demande que l’on s’interroge sur les paradoxes de ces relations humaines. Nous sommes tous d’accord sur le fait qu’il existe différentes races. Nous, hommes blancs, prenons la notre pour

égorgés => teintes de votre sang (cause=> résultat) LA COLONISATION ET L'ESCLAVAGE Diderot résume avec vigueur les méfaits et la fausse légitimité de la colonisation - identité et caractérisation des colonisateurs : hommes ambitieux et méchants - désacralisation de la religion => moyen d'oppression intellectuelle/morale : le morceau de bois + et le fer - absurdité des prétentions de possession : le titre de notre futur esclavage <= le titre de propriété. la lame de métal enfoui

l'essence même de la vie d'un religieux : les habitudes // avec les heures d'un moine dans un monastère. « l'habitude de lire, l'habitude de parler, l'habitude d'écouter, l'habitude de respecter ses supérieurs » lire = lire les Ecritures, les textes religieux parler = prêcher écouter = les confessions respecter ses supérieurs = la hiérarchie religieuse, représentée dans le texte par le RP Wang => personnage en souffrance qui n'aime pas ce qu'il fait. Le mal-être de M. l'Abbé est récurrent :

carte. Par contre, si l’on ne réussit pas l’activité l’animateur nous donne un indice pour trouver le bout de papier dissimulé dans la salle de l’activité. Déplacement : Chaque animateur recevra un horaire pour son groupe. Les animateurs DOIVENT respecter leur horaire. Il n’y a pas de signal de fin de jeux cependant les animateurs ou plutôt les aides-animateurs qui font les activités ont un horaire et savent quand commencer et terminer le défi. Défi et salles : 1. RÉPONDS-MOI OU JE TE TRANSFORME

l’homme ait des biens (terre). Il faut qu’il ait de l’argent. La promesse de mariage = promesse de sécurité et d’avenir. Le mariage est un "piège pour attaquer les femmes". " Un grand seigneur méchant homme". Le seigneur est celui qui doit protéger ses hommes; villageois. Méchant homme c’est le méchant qui ne protège pas les faibles. Et si c’est "un grand seigneur" il a du pouvoir et il va se servir de son pouvoir pour la méchanceté. II) Portrait de Sganarelle "Internos", Sganarelle

entravé dans notre liberté et on se réglera aux normes. La politesse fait partie de ces normes : il s’agit en montrant du respect à autrui de faciliter les échanges, et malgré la réticence à se montrer engagé certaine fois, il faut faire preuve de gentillesse, de cordialité, pour ne pas offenser autrui. Les valeurs de bien et de mal se fondent sur les valeurs de morale : le respect de ces valeurs correspond au bien, l’on « fait le bien » si on agit correctement, en accord avec ces règles imposées ;

Dom Juan Acte I Scène 1 Introduction Le Mythe + Circonstances d'écritures Puis: Molière a appelé sa pièce «comédie», mais avec la dernière scène, on est plutôt dans une tragi-comédie, qui ne respecte pas les règles classiques. On est très proche du genre baroque et plus particulièremt du libertinage. Les règles classiques ne sont pas respectées: le lieu change à chaque acte, l'action dure 36 h. La règle d'action reste cohérente, même si on compte de nombreux récits secondaires. Mais la