Respecter Les Méchants

L’hyperbole « qu’il avait jeté au hasard sur le papier » amplifie l’idée que les pensées de Pascal étaient des brouillons qu’il aurait peut-être « lui-même corrigé beaucoup de ses Pensées ». Selon Voltaire, Pascal « s’acharne à nous peindre tous méchants et malheureux ». Le pronom personnel « nous » renvoie à la société du XVIIe siècle et l’hyperbole « peindre » amplifie la volonté de Pascal de renvoyer l’image de la société de façon véridique, selon lui, tel un tableau. Ensuite, l’auteur critique

allitérations, anaphores, ... B) Un personnage ridicule Mise en valeur par des majuscule pour mieux être dévalorisé après Oxymore "un peu trop fière" : montre sa prétention la façon dont elle parle des hommes : péjoratif -> personnage prétentieux et méchant question rhétorique : qui peut tout avoir : tout le monde connait la réponse sauf elle -> perso inculte, exigeant car demandant la perfection II) A travers une argumentation solide un raisonnement qui part d'un cas général pour aller à u cas

homme mourut peu après. Tout changea pour la fillette. Sa belle-mère n'aimait que ses deux filles, Anastasia et Javotte, égoïstes, laides et méchantes. Sa belle-mère qui était fort méchante, lui confia des tâches les plus rudes, la faisait coucher au grenier et la malmenait sans cesse. Les filles de la méchante femme traitaient Cendrillon sans aucun respect. Un jour alors que Cendrillon s'ennuyait, le roi dit à son majordome, il est grand temps que le Prince, mon fils, se marie, nous allons organiser

Exemples dans le texte pour illustrer ces critiques  : a) Education donnée par les premiers précepteurs négative, puisque Gargantua n’apprenait rien (prières apprises par cœur). Il travaillait une « méchante demi-heure par jour »…(ou éducation humaniste positive parce que ouverture aux sciences et appel à la raison – Ponocrates) b) Le comportement de Frère Jean des Entommeures qui se bat pour défendre le vignoble, et non pas

lui. Développement : I. Le portrait moral d’un maître par son valet. a) Le portrait d’un individu complexe : - formule pour figer une image : « un grand seigneur méchant homme » ( deux aspects : - le grand seigneur, celui qui a le pouvoir et devrait protéger les faibles dans la tradition. - le méchant homme, celui qui est foncièrement mauvais. - c’est une « ébauche du personnage pour en achever le tableau, il faudrait bien d’autres coups de pinceau » ( métaphore filée du

qualifier Don Juan. Comparaison inhumaine Épouseur à toutes mains : Sganarelle exagère dans le non respect du mariage par Don Juan : Il épouse un homme, des animaux, des personnes d’autres catégories sociales. Sganarelle montre le caractère blasphématoire de Don Juan qui transforme le sacrement en quelque chose de malfaisant.« un grand seigneur méchant homme » Sganarelle associe grand seigneur et méchant homme montrant ainsi que Don Juan utilise sa position social pour dominer et faire le mal. (Critique

menti. » « Tu me dis qu’il a épousé ta maîtresse, crois qu’il aurait plus fait pour sa passion, et qu’avec elle il aurait encore épousé toi, son chien, et son chat » Sganarelle trace l'esquisse de la conception que Dom Juan a du mariage. Ne pas respecter le mariage est contraire au fondement de cette société. C'est une formule de généralisation, c'est un être d’excès. C'est un mélange de genre: mélanger les humains et les animaux est incompatibles comme « chiens et chats ». Dom Juan a une manière

plaisir qu'ils donnent, et non leur utilité, qui la détermine.” Dans le texte A, on comprend que la comédie peut faire rire les hommes ; seulement, le rire provoque le plaisir, et ainsi, l'objectif d'instruire les spectateurs sur eux même n'est pas respecté. De même le texte C, de Racine ; la tragedie de Phèdre accentue toutes les reactions ce qui engendre une peur du public qui ne se sent plus concerné par les défaults énoncé ; cela sort du réel. Et donc la volonté de purger les passions et d'instruire

l’application et le respect des lois et quels éléments permettraient de bâtir une société juste et accompli sans avoir à se prêter à des pratiques religieuses préétablies et restrictives? Nous savons tous que ce qui nous démarque des animaux est sans aucun doute notre intelligence et c’est cette même intelligence qui nous permet de reconnaître ce qui est moral, immorale, bon, mauvais, beau et laid. Socrate à dit : « Nul n’est méchant volontairement » le philosophe veut dire ici que le méchant est ignorant

aussi connu sous le nom de rire jaune - Le fou rire = rire incontrôlable - Le rire idiot = rire jugé stupide - Le rire ironique = désagréable pour celui qui en est la victime - Le rire nerveux = souvent quand on est stressé - Le rire mauvais = méchant, déplaisant. Ce ne sont que des exemples, il en existe encore beaucoup d’autres. Faire rire : un métier Certaines personnes font du rire leur métier = humoristes. Ils peuvent être seuls, en duo, plus souvent des hommes que des femmes. Ils sont