Rhinocéros Métaphore

(sous-entendu la deuxième fois) avec des verbes d’action centrant le propos sur une salve d’actes : - un acte fondateur, “je dégomme”, action brusque pour la toute première occurrence du je (ligne 5) ; - un retour sur le sens de cet acte avec la métaphore “[je] sors des abîmes” ; - un saut chronologique vers les conséquences métaphoriques sur l’adversaire : “j’amène œdèmes” (ligne 6) ; - une autre traduction métaphorique, plus proche des réalités musicales : “je rétame des riddims”15 ; - un retour

comme un signe d’une amitié sincère sous une apparente froideur. Le tutoiement, « mon Du Périer » et « injurieux ami » prouvent la réelle amitié qui lie les deux hommes. La comparaison entre la jeune fille et la rose est empruntée à Ronsard. La métaphore de la strophe 4 fait référence à l’éphémère. Ce poème révèle également une musicalité, notamment grâce à la strophe 4 qui reflète l’ensemble de la construction du poème. Dans ce poème, on peut relever chiasme, antithèse mais aussi alternance singulier/pluriel

mécanisme compliqué…comme une horlogerie dont le ressort est la pesanteur d’une masse donnée de vapeur en précipitation　». L’approche est originale et très imprégnée de détails scientifiques cependant le lyrisme du texte riche en comparaisons et en métaphores rappelle sans cesse le lecteur à la prose poétique. La pluie mène l’action, c’est le principal sujet du texte, mais il y a un détachement et un refus de la subjectivité complets. Le sujet du texte est d’emblée précisé dans le titre et repris

source de tous les dangers : « T’es tell’ment [...] belle / Un cadeau de la mort » (l. 15-16). La métaphore de la ligne 16 montre bien le doute qui germe dans l’esprit du narrateur. Cette femme, trop bien pour lui, n’est-elle qu’un mauvais présage, un cadeau empoisonné? Le mot de vocabulaire appréciatif « cadeau » s’oppose en quelque sorte au mot « mort » qui annonce un danger. En ce sens, cette métaphore peut aussi être considérée comme un oxymore symbolisant la dualité de la femme, cet être remarquable

projet total de la CH. B justifie son travail descriptif légitime en le présentant comme 1 exploration des domaines sociaux jamais abordés avec le présent de vérité générale + montrer « les monstruosités » que renferment Paris complexe et infinie (métaphore filée de l’océan(vaste, ample, renouvelé), variété grâce à accumulation l 38 39 avec antithèse entre perle (bleu) et monstre (laid) comme P et la pension + lexique de l’inconnu abondant l 34 40) caractère novateur de B et ambition de son projet

« touffes » (v.1143) ; nouvelle métaphore végétale (rappelle le lierre de II, 8), qui insiste sur la propagation du sentiment amoureux. - v.1441 - 1477 = tirade exaltée dans laquelle le Gascon s’emporte ; mais sans doute la plus sincère de la pièce, car elle révèle les contradictions de personnage (amoureux devant dévoiler l’amour d’un autre). - Cyrano ne parvient pas à se défaire de la préciosité qui teinte son discours : métaphore du « nom/grelot » (v.1445) et comparaison-métaphore « clarté/chevelure »

l a dernière strophe l’olfaction complète l’image de la femme. « Et des pieds jusques à la tête, Un air subtil, un dangereux parfum, Nagent autour de son corps brun. » Le chat, ou la chatte, est une comparaison . Le chat est aussi une métaphore dans ce poème sensuel. D ans la poésie de Baudelaire le chat 6 est une image de la femme (Tideström : p. 255). Le chat est un symbole plein de contradictions , un symbole ambigu et susceptible de différentes interprétations. Il symboli

Dans le texte de Victor Hugo, ce dernier choisit de mettre en lumière un personnage précis et non le peuple en lui-même, qui plus est un enfant au caractère bien trempé. Il fait apparaître sa vivacité et son enthousiasme par des énumérations et des métaphores « tourbillonnement », « mouche » et montre comment s’on ubiquité incessante permet au peuple de s’unir un peu plus. A travers lui, il fait partager le point de vue et les émotions du peuple qui se bat pour sa liberté. La volonté dont fait preuve

"ciel"(v.9), "le monde entier"(v.14). Le premier vers par sa longueur (en alexandrin) met l'accent sur deux thèmes importants du poème: "les yeux" et "le cœur". Les yeux et le regard sont au centre du poème, ce qui est justifié par la métaphore filée de l'œil dont les témoins sont les suivants: "courbe", "tour"(v.1), "rond"(v.2) donne la figure géométrique du cercle; "berceaux"(v.3), "feuilles"(v.6), "ailes"(v.8), "bateaux"(v.9), qui sont à peu près en amande, donne l'image des paupières

le sexe est associé au peuple : il vient du peuple et de ses femmes subissant un « détraquement nerveux de (leur) sexe de femme » du fait de leur lourde hérédité : le sexe est « pourriture » mais « pourriture » ou encore « ordure » sont aussi des métaphores du peuple dans l’article ou plus exactement sont en rapport de métonymie avec lui (cf : « elle avait poussé dans un faubourg, (…) ainsi qu’une plante de plein fumier » et la mouche à laquelle elle est comparée est « envolée de l’ordure ») : la