Ricardo Contre Les Corn Laws

Il dit qu'il faut supprimer les impôts et, à la différence des mercantilistes, il pense qu'il faut d'abord assurer la demande de produits agricoles et non la demande industrielle. b) La liberté des prix et des marchés. Les mercantilistes étaient contre les exportations de produits agricoles, il fallait garder dans le pays tout ce qui était nécessaire à la survie. Pour Boisguilbert, il faut porter à son niveau maximum la production (d'abord la production agricole), il faut abolir les entraves aux

besoin d’un commerce international libre pour l’expansion industrielle. La GB a besoin aussi de matières premières énergétiques. La question pour Ricardo est comment réduire les coûts ? Et il a vu que le coût essentiel était la main d’œuvre. On ne pouvait pas réduire les salaires en sachant que ces salaires servaient aux ouvriers à se nourrir. Corn laws en 1775 va donc abolir les taxes sur le blé. Le libéralisme commercial va se traduire quelques années plus tard par une libéralisation financière

et l’argent. C’est ainsi que les princes s’appuient sur les marchands et favorisent l’essor industriel en vue d’améliorer le solde commercial. Très souvent, la mise en œuvre du mercantilisme débouche sur des choix protectionnistes (exemple : les corn laws en Angleterre au début du 19e mais à ne pas confondre avec l’autarcie). La diffusion du mercantilisme en Europe a débouché sur des formes variées de cette doctrine représentées, entre autres, par le bullionisme sacralisant les métaux précieux

s’est orientée très tôt vers un mercantilisme « commercialiste » qui consistait à exporter le plus possible au meilleur prix possible. Les tendances principales de ce type de mercantilisme furent la protection de l’industrie et de l’agriculture (Corn Laws) et l’appui à la colonisation. ( en France, le mercantilisme se met véritablement en place sous Colbert, qui instaure un mercantilisme « industrialiste ». Il consiste en une aide à la création d’entreprises comme St Gobain ou les Gobelins, en de

faut cesser de voir le commerce international comme un jeu à somme nulle. Cette vision est vue par Keynes et par les mercantilistes. I) Les bienfaits du commerce international En opposition aux mercantilistes, on a Adam SMITH et David RICARDO. Ces deux auteurs vont démontrer que le commerce est une source de bienfaits pour toutes les nations participantes. C’est une théorie du commerce. Il y une seule différence entre ces deux argumentations qui vient d’une situation initiale déterminé

la mauvaise. Elle ne rend pas justice aux autres approches que l'on peut qualifier d'hétérodoxe. Dans le meilleur des cas ces approches sont ignorées puisque ne conduisant pas à la théorie dominante et dans le pire des cas elles sont interprétées à contre sens et sont montrées comme des erreurs ou des impasses. Toute l'histoire de la pensée économique n'est pas purement rétrospective. La difficulté provient du fait que si l'on veut étudier la diversité de l'analyse économique c'est un travail colossale

que Droit naturel, comme valeur fondamentale des rapports sociaux, des échanges économiques et du système politique. Les libertariens se fondent sur le Principe de non-agression2 qui affirme que nul ne peut prendre l'initiative de la force physique contre un individu, sa personne, sa liberté ou sa propriété. De fait, ses partisans, les libertariens, sont favorables à une réduction, voire une disparition de l'État en tant que système fondé sur la coercition, au profit d'une coopération libre et volontaire

(pétrole, électricité) = Etats-Unis.Industrie (chimique, sidérurgique et métallurgique)= Allemagne.Au Japon, les grandes familles nippones (les Meijings) contrôlent les activités industrielles.Des lois sont donc créées au fur et à mesure, pour lutter contre les monopoles et les cartels. La rationalisation du travail : Apparition de nouvelles modalités de travail : on passe de la grande souplesse de la proto-industrie à la rigidité.Au XXème siècle, Taylor, fils d’avocat, ancien ouvrier devenu ingénieur

de limiter la pression que les emblavures en la substituant au blé. Le développement des légumineuses (Trèfles,…) permet la production d’azote essentiel à l’enrichissement des sols et peut aussi servir de fourrage pour le bétail, par contre ces plantes se diffuse très lentement en Europe. Enfin l’amélioration des instruments agricoles comme la fau est une avancé freinée par le prix des objets, ainsi l’agriculture reste assez peu productive. L’agriculture extensive

ricardienne, comme dans celle inspirée par Heckscher et Ohlin (HOS), les facteurs de production sont supposés immobiles au niveau international. En revanche, ils sont parfaitement mobiles entre les différents secteurs de l’économie nationale. Pour Ricardo, la nation est limitée économiquement par la zone dans laquelle les agents sont prêts à rendre leurs capitaux mobiles, refusant, en revanche, d’aller au-delà de cette zone, phénomène qu’il explique par la peur du risque et l’importance du nationalisme