Ricardo Contre Les Corn Laws

produire une quantité donnée de travail augmente. Les effets de l’échange sont ainsi très similaires à ceux du progrès technique. David Ricardo, qui fut le premier à la mettre en évidence, exprime cette idée de la manière suivante : "on ne peut échanger le travail de cent Anglais pour celui de 90 autres Anglais; mais le produit du travail de 100 Anglais peut être échangé contre le produit de 80 Portugais, de 60 Russes ou de 120 Asiatiques". b. c. d. Il faut souligner que ces conclusions sont

les quantités produites. À partir de cette base commune, les classiques vont évoluer sur l'analyse de la valeur, et diverger sur celles de la croissance et de la monnaie. Concernant la valeur, un consensus se dégage autour de l'analyse de David Ricardo (1817, Principes de l'économie politique et de l'impôt) qui met en évidence que la valeur n'est pas fonction de la seule quantité de travail dépensée à la production, mais également du montant des capitaux engagés, de la règle d'uniformité du taux

de la main invisible (l’intérêt individuel entraîne l’intérêt général) et de la division du travail (source d’efficience et de dextérité et donc d’une meilleure productivité) appuient cette orientation. Le classique David Ricardo, ardent défenseur de l’abrogation des Corn Laws, insistait sur la libéralisation du commerce extérieur dans le but de corroborer la croissance économique. Pour réaliser cette croissance économique, il faudrait favoriser l’accumulation du capital et de l’épargne. Pour que

système féodal qui bloque les améliorations techniques qui pourraient développer l'agriculture dû à un problème de distribution des richesses → Il y a trop de taxes qui ne profitent qu'à l'Eglise. Métayage : Le seigneur qui loue sa terre aux paysans contre une partie de sa récolte. Primogéniture : Le fils ainé qui hérite de la totalité des terres. Ces 2 éléments n'incitent pas les agriculteurs à augmenter leurs rendements. La croissance des villes permet : Les villes, en se développant, deviennent

les facteurs? le développement de la production la révolution industrielle et les innovations dans le domaine des transports. Certains pays s'industrialisent: on peut faire référence à une certaine spécialisation de chaque pays. Cf Ricardo et Smith. La révolution des transports: la navigation maritime est marquée par des progrès: le steamer. Sur terre: les canaux et la révolution ferroviaire. Le creusement des canaux: canal de Suez, canal de Panama. Grâce à tous ces progrès

Adam Smith et formalisée par David Ricardo. Ainsi, le libre-échange est il préférable au protectionnisme? Nous verrons dans un premier temps que les avantages procurés par le libre-échange le font préférer au protectionnisme. Dans un second temps, nous montrerons que cependant le protectionnisme a des effets bénéfiques qui permettent de pallier les inconvénients du libre- échange. Au début du 19e siècle, les arguments présentés par David Ricardo, qui complètent ceux initialement avancés

du processus d’internationalisation des échanges. Ce lien permet de rendre compte du passage du commerce national au commerce international et les bienfaits qui en découlent, ainsi que les lois qu’impose le marché et les moyens existants pour les contrer. Le libre-échange peut donc apparaître comme étant un élément persuasif de la croissance et endogène au capitalisme ayant connu son âge d’or au XIXème. De plus, il peut être considéré comme antinomique à la notion de protectionnisme. De ce fait

Théories et auteurs 4. Repères historiques La croissance économique dans le monde est-elle mieux assurée par le libéralisme des échanges ou par le protectionnisme ? Notions de base Le libre-échange est une théorie développée par Adam Smith et David Ricardo selon laquelle les échanges commerciaux doivent se développer sans obstacle entre les pays afin de favoriser leurs croissances mutuelles. Le degré ou taux d’ouverture mesure l’importance du commerce extérieur dans l’économie d’un pays. Il se calcule

lequel elle est relativement efficace dégage des surplus et chacun gagne à l’échange. Dit autrement, en se spécialisant les quantités produites sont plus importantes que si chaque économie produisait les deux biens. Ricardo défend cette position en promouvant l’abolition des Corn Laws en Angleterre qui protégeaient les propriétaires terriens de la concurrence continentale, accroissant leur rente. Plus encore, l’économiste britannique craignait que la croissance s’épuise (état stationnaire) en raison

situation pour tous qui est dû aux mécanismes du marché qu'il appel « une main invisible » permettant de concilier l'intégral individuel et général. Il ne faut donc pas d'intervention de l'État pour laisser jouer les mécanismes du marché. Et David Ricardo (1772-1823) avec la loi des coûts comparatifs, elle montre que le libre échange est le meilleur système pour tous les pays et qu'il permet d'éviter l'État stationnaire et donc la croissance économique. Robert Malthus pour sa théorie de la population