Risque Fraude Tresorerie

Exposé Enron 20101 ABSALON Aurélia TOTH Esther L’AFFAIRE ENRON2 SOMMAIRE Introduction...……………………………………………………………………………..3 Scandale Enron : la plus grande fraude financière de l’Histoire des Etats-Unis………….3 A. Présentation du groupe…………………………………………………………….3 B. Facteurs externes…………………………………………………………………..4 C. Facteurs internes…………………………………………………………………...5 Enron à l’origine d’une prise de conscience……………………………………………….8 A. …De la règlementation financière…………………………………………………8 B. …Aux mesures

supervision : AMF…) les acteurs des marchés de capitaux effectuent 3 grands types d’opérations qui sont : - Les opérations d’arbitrage - Les opérations de couverture - Les opérations de spéculations Qui reflètent leur différent comportement face aux risques. I. LES MARCHES (article les échos) * Définition de la banque ? Les banques sont des intermédiaires entre les investisseurs et les entreprises ayant un besoin de financement. * Autre nom pour le marché boursier Marché des titres

Sommaire Introduction générale Dans le cadre de ses relations commerciales, une entreprise est généralement amenée à accorder à ses clients des délais de paiement plus en moins importants, pour répondre à ses contraintes de trésorerie, pour se démarquer de ses concurrents, ou encore pour se conformer à des pratiques sectorielles ou géographiques particulières. En proposant ce délai de paiement, l’entreprise accorde un crédit à ses clients au même titre qu’une banque accorde

accepte le jeu questions-réponses : l'audité. * L'audit est-il une inspection, un contrôle ? L'inspection s'apparente au contrôle du gendarme sur le bord de la route. Si tout va bien, tant mieux... Si l'automobiliste a enfreint la loi, il risque la sanction... qui peut être cinglante. L'audit est un constat partagé, il ne préjuge pas des solutions à mettre en oeuvre pour améliorer la confiance. Il ne propose pas de sanction. L'audit n'est donc pas une inspection. L'audit est-il un contrôle 

1.3 Les composantes du risque opérationnel  Selon la définition communément admise par « Bâle II », le risque opérationnel se décompose en quatre sous ensembles. * Le risque lié au système d'information : Ce risque se traduit par une défaillance matérielle au niveau des moyens (installations immobilières, matériels, systèmes informatiques ou dispositifs techniques ...) nécessaires à l'accomplissement des transactions habituelles et à l'exercice de l'activité, pannes informatiques résultant d'une

LE CONTRÔLE INTERNE 1. Définition du concept de contrôle interne Le contrôle interne est un processus intégré mis en oeuvre par les responsables et le personnel d’une organisation et destiné à traiter les risques et à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation, dans le cadre de la mission de l’organisation, des objectifs généraux suivants: •La réalisation des opérations:Exécution d’opérations ordonnées, éthiques, économiques, efficientes et efficaces; •La fiabilité des informations

Maroc Faisant partie des Big Four de l’audit et du conseil, KPMG est un réseau mondial de cabinets membres offrants des services en audit, conseil et fiscalité. KPMG offre à ses clients différents services et expertises pour les aider à atténuer les risques et à saisir les opportunités. Les cabinets membres sont repartis sur plus de plus de 150 pays dont le Maroc. Réunis, ils comptent plus de 150 000 employés dans différents domaines de prestation. Ainsi, ce chapitre va s’intéresser à la présentation

financièreLes objectifs ?Maîtriser les éléments économiques et financiers d’un client professionnel et les risques possibles relatifs à un projet de financement pouvant incomber la banque. Mener une analyse sur le plan économique et financier permettant d’appréhender la faisabilité d’un dossier de financement et de se positionner en tant que financeur potentiel en prenant en compte le risque pour la banqueLundi 24 octobre : Partie 1Partie 1 : Appréhender l’environnement économique et

: Le Price Earning Ratio (Valorisation / Résultat net) permet de vérifier que la valorisation de l’entreprise est cohérente avec sa rentabilité au moment de la cession. D’un point de vue financier, ce critère est déterminant dans l’appréciation du risque des opérations. La profession bancaire considère généralement que la valorisation de l’entreprise reprise ne doit pas excéder 7 fois son résultat net. On remarque que le niveau discriminant pour les opérations accompagnées entre 1997 et 2001 se

contrôle pour une efficacité dans la gestion. La Cellule de Contrôle de Gestion et de la Prévention des Risques Elle est chargée de : l’assistance à la Direction Générale dans l’organisation, le pilotage et l’amélioration des performances ; l’organisation et l’animation du système d’information management et du processus budgétaire ; l’administration des contrats d’objectifs ; la détection des risques inhérents aux activités de la SBEE et notamment la protection juridique du patrimoine de l’entreprise ;