Rita Hayworth

L'Opinion publique, 1923 Le Voleur de Bagdad, 1924 Ben-Hur, 1925 La Ruée vers l'or, 1925 Le Chanteur de Jazz, 1927 Le Mécano de la « General », 1927 De l'âge d'or hollywoodien des années 1930 aux difficultés de l'après-guerre[modifier] Rita Hayworth, une des grandes actrices du cinéma américain des années 1940 Ingrid Bergman et Gary Cooper dans « Pour qui sonne le glas » Grâce à l'arrivée du cinéma parlant, l'industrie cinématographique subit sans encombre le début de la Grande Dépression

là est né l’érotisme, qui contrairement à la pornographie, éveille par sa lenteur et ses mystères un désir souvent plus ardent qu’un dévoilement complet, qu’une nudité totale considérée comme vulgaire, voire choquante. Ainsi dans le film Gilda, Rita Hayworth entre dans la légende, en réalisant un «strip-tease» sur la chanson Put the blame on Mame, atteignant l’apothéose de l’érotisme cinématographique. Son bustier noir semble vaciller sur sa poitrine , mais il tient bon. Seules ses épaules sont dénudés

 mais  menée  avec  souplesse.  Quelques  longueurs.  Dialogue  vif.  Interprétation  inégale.       GILDA   É.-­‐U.  1947.  Comédie  dramatique  de  Charles  Vidor  avec  Rita  Hayworth,  Glenn  Ford  et  George  Macready.  -­‐  Un  gérant  de  casino  épouse  la  femme  de  son   patron  après  le  suicide  apparent  de  celui-­‐ci.  -­‐  Scénario  compliqué

adapte Carmen dans l’une des premières grande production du cinéma muet français. – Le cinéma parlant : en 1943, Jean Marais interprète Don José dans la version de Christian-Jacques ; en 1952, Carmen redevient américaine et prend les traits de Rita Hayworth. Des années 50 aux débuts des années 80, les productions inspirées par ce mythe se multiplient : Carmen fille d’amour de Scotese, Carmen Jones d’Otto Preminger, Carmen de Granada de Micheli, Carmen 63 de Gallone avec Lino Ventura… Un nouveau tournant

louant son nom pour griffer des articles fabriqués en gros par des industriels qui lui reversent des royalties. Il ouvre des bureaux de relations publiques à travers le monde. Il est le couturier des stars, dont les américaines Olivia de Havilland, Rita Hayworth, Ava Gardner, Marylin Monroe, Lauren Bacall, ou Liz Taylor. Marlène Dietrich, qui ne porte que du Dior, l'impose à ses producteurs de ses films : « No Dior, no Dietrich ». En onze ans, son activité s'étend dans quinze pays et assure l’emploi

limitées du tournage dues au matériel, obligèrent la majorité des réalisateurs à cesser d’œuvrer dans cette voie. Aux États-Unis, le procédé révolutionne le cinéma, et des cinéastes connus tournent avec, comme John Wayne, Jerry Lewis ou encore Rita Hayworth. Dans le reste du monde, peu de cinémas ont encore adopté ce procédé de projection. Ce récent essor du cinéma en relief fut initié par l’industrie du cinéma pour faire face à la concurrence de la télévision et du piratage. L’IMAX, bien que développé

“la femme et le pantin”. En 1946 Lana Turner dans “le facteur sonne toujours deux fois”; Linda Darnell dans “Ambre” en 1947. Ava Gardner dans “Pandera” en 1951, En 1953, Marilin Monroe dans “Niagara”. En 1955, Martine Carol dans “Lola Montes”. Rita Hayworth dans “Gilda”(8). Au XXIème siècle, ce genre se développe, les femmes fatales sont en force… En 2002, Brian de Palma réalise le film “Femme fatale”. Ce Réalisateur nous montre bien l’exemple d’une femme fatale. En effet Laure incarne bien cette

faisant allusion à l'androgynie [51]. Dans le troisième cliché, maquillé, coiffé, habillé en femme et doté d'accessoires féminins stéréotypés (bracelets, fleurs…), il se présente travesti en stars telles que Gene Harlow, Arletty, Greta Garbo et Rita Hayworth [52].       Michel Journiac, Piège pour un travesti (juin 1972) Série de trois photographies d'un homme se travestissant en Greta Garbo, plus un miroir.     En synthétisant en l'espace de trois images, le travestissement progressif, le passage

imprimés réalisés à l'encre sur soie rendent hommage aux chimères et aux couleurs de l'Asie, découvertes lors d'un voyage en pagode sur le fleuve Amour. ProenzaSchouler, Dries Van Noten et Barbara Bui Années 50 Audrey Hepburn, Grace Kelly, Rita Hayworth ou Lauren Bacall... les icônes des années 1950 sont à l’honneur des collections automne-hiver 2012-2013. Epaules douces, tailles fines, hanches arrondies et décolletés généreux, la silhouette en sablier de la décennie d'après-guerre fait des émules

cinématographique de la Splen- deur des Amberson (The Magnificent Ambersons) en 1942. À la suite de cette expérience, il rompit son contrat avec la R.K.O. En 1948, bien que tiraillé par des pro- blèmes d'argent, il réalisa, avec dans le rôle principal Rita Hayworth, la Dame de Shanghai (The Lady of Shanghai), film extraordinaire qui fut toutefois mal reçu du public. Il se retira alors en Europe, jouant la comédie et expérimentant différentes formes cinématogra- phiques. À partir de cette période, Welles