Role Du Langage Dans Phedre

A Acte Division externe de la pièce en parties d'importance sensiblement égale, en fonction du déroulement de l'action. Pavis 1987 Acte de langage Unité de parole définie dans sa capacité d'influencer ou d'orienter l'agir. L'énoncé est : locutoire en ce qu'il est une prise de parole, production d'une séquence verbale sonore et organisée; illocutoire quand il établit ses conditions de réception et influence les relations entre participants; perlocutoire quand il indique l'effet recherché. On peut

critiques ? 3. Boîte à outils Elle sert à construire les sous-parties, ou les parties elles-mêmes. Il convient de penser à - la structure les règles du genre l’espace et le temps Les personnages L’intrigue La dimension sociale Le langage, l’écriture, les images, les métaphores (svt en troisième partie) Le symbolique (svt en troisième partie) Portée universelle (svt en troisième partie) Le renouvellement du genre La rupture avec la tradition L’évolution du genre ou cours des

classiques qui impose des interdits dans le théâtre et la poésie. Nous allons donc passer à la lecture... Nous pouvons donc poser la problématique... Nous évoquerons tout d'abord la façon dont Hugo utilise une image pour décrire le classicisme, puis son rôle en tant que poète révolutionnaire de la langue. I. Evoquation imagée et critique du classicisme  : 1. Métaphore et personnification : Hugo utilise un métaphore qui permet d'assimiler les règles du classicisme avec les ordres de l'ancien

suis, d’autant que je ne cesse de jouer différents personnages. Ce jeu est souvent dicté par les autres qui aussi s’emparent de moi, deviennent les auteurs de mes actes dont je ne suis plus que l’acteur, condamné à jouer un rôle auquel rien – ou presque – ne me destinait, un rôle étranger à ma personne, et dont je ne peux plus sortir. Dans quelle mesure puis-je unifier ces personnages qui me sont, pour une part, étrangers ? Duquel suis-je le plus proche ? Difficulté à répondre sincèrement à cette

grandes légendes: Hercule ect... La tragédie montre les rapports entre les hommes et les dieux, la justice. Trois auteurs connus : Eschyle (Prométhée enchainé); Sophocle (Œdipe roi); Euripide (Médée). Plus tard à Rome c'est Sénéque qui continuera (Phèdre). C) Rappel historique de la comédie : Elle est née en Sicile (Italie), le mot vient des "Komoi", qui sont des processions burlesques (genre de carnaval où les gens se déguisent pour faire la fête). C'est toujours un culte voué à Dionysos

dont la réputation n’était plus à faire au XVIIème siècle, à l’époque où la cour entière était suspendue à sa plume. Cette affirmation mériterait cependant d’être fortement nuancée : beaucoup de connaisseurs s’accordent aujourd’hui pour dire que le langage théâtral est à la fois verbal et non verbal. Ainsi, faut-il nécessairement assister à une représentation pour apprécier la richesse des textes de théâtre ? La représentation théâtrale apporte-t-elle toujours plus d’éléments au spectateur que la lecture

vers impair qu'il trouve plus musical, donne du prestige au vers impair). C) Evolution de la langue poétique: 1. Constitution de la langue noble: Thomas, Essais sur les Eloges, 1823: « la langue poétique est un espèce de langage qui est et doit être séparé du langage ordinaire » (dans le post-class. du 18eme l'évolution vers la langue noble va se durcir et se scléroser jusqu'au 19eme. L'abbé Batteux fait d'ailleurs une séparation stricte de la langue vulgaire et la langue noble ). 2.Problème

fait précéder d’un « Avertissement » dans lequel il explique avoir « cherché d’autres enrichissements » et avoir « étendu davantage les circonstances de ces récits ». Ainsi, si dans le premier recueil il avait encore beaucoup emprunté à Esope et à Phèdre, ses modèles antiques, ici il va chercher son sujet chez Pilpay, un sage indien, dont le Livre des lumières avait été traduit en français en 1644, mais surtout c’est sa propre personnalité que nous découvrons davantage. Le récit du voyage

ses erreurs et chercher à les justifier (saint Augustin, J.J. Rousseau). Journal intime : l'auteur confie au jour le jour à ses carnets anecdotes et réflexions (A. Gide, J. Green). Mémoires : l'auteur est conscient d'avoir joué dans l'Histoire un rôle digne d'être rapporté (Chateaubriand : Mémoires d'outre-tombe) et décide de fondre son "misérable tas de secrets" dans ce par quoi il rejoint les mythes universels (A. Malraux : Antimémoires). Il choisit au contraire de dénoncer sa légende (J.P. Sartre

pour redéfinir les règles de l'éloquence sont-ils inséparables de la conscience des conditions morales et politiques dans lesquelles elle s'exerce (de saint Jérôme à la noblesse de robe française des XVIe et XVIIe s.). Or, depuis Platon (Gorgias, Phèdre), une question fondamentale domine les débats sur l'éloquence : faut-il la confondre avec la sophistique et donc l'opposer à la philosophie et à l'expression sincère d'une vérité profonde ? L'orateur, comme Lysias, ne sait ni raisonner rigoureusement