Role Du Langage Dans Phedre

Pour plusieurs auteurs de différents siècles, le but est de faire passer un message bien souvent social ou moral ou de critiquer la société en mettant en scène un spectacle, ou en éditant une œuvre. Dès l’antiquité, la comédie se voit attribuer un rôle moral et social : il lui appartient de « corriger les mœurs par les rires ». Molière reprend cette idée dans la préface de Tartuffe « le devoir de la comédie étant de corriger les hommes en les divertissant ». Il lui semble légitime « d’attaquer par

récit est d’abord un énoncé narratif, c’est-à-dire un type de discours, totalement ou partiellement confondu avec l’œuvre, qui se fixe pour but de raconter en écartant tout ce qui ne relève pas du narratif. Le fameux récit de Théramène à la fin de Phèdre (V, 6) en est un exemple fameux ; * Le récit est ensuite une série d’événements, d’épisodes réels ou fictifs considérés indépendamment de toute référence esthétique : le récit d’un fait divers dans la presse, ou un récit de voyage entrent dans

accentuations d’effets tragiques. Harpagon dans L’Avare de Molière étant cantonné à ce rôle, à cette caractéristique de l’avarice, il ne peut en sortir. Ce seul vice poussé à l’excès donne une pointe de tragique à la pièce. Les pièces dramaturgiques françaises sont donc toutes vouées, selon Constant, à une immobilité dans la destinée de l’œuvre : les effets tragiques. Chaque personnage devant s’en tenir à son rôle prédéterminé. Nous pouvons prendre un autre exemple : dans une autre comédie de Molière :

« cérémonie » la sc qu’elles viennent de jouer = terme relevant à la fois du voc sacré ( cérémonie religieuse) et par voie de fait du voc théâtral si l’on considère les origines religieuses du théâtre. Page 27, on apprend par Cl et S qu’elles changent de rôle : « Hier soir, qd tu faisais Madame ds la robe blanche, tu jubilais (…) » D’où spect comprend après coup pquoi S ordonne à Cl de porter le robe rouge ( ambiguïté des sentiments des deux sœurs l’une envers l’autre.)  Le dialogue ns informe aussi sur

tressaillent entendant, 35En paisible minuit que la ville surprise Ne leur permet de sauver rien plus que la chemise Texte 2 : Jean de la Fontaine, Fables, «  Les Obsèques de la Lionne », VIII, 14, 1678 S'inspirant des fabulistes anciens comme Esope et Phèdre, ou médiévaux comme Akstémius, La Fontaine met en scène des animaux auxquels il confère une valeur symbolique dans une perspective moralisatrice. La Cour n'échappe pas à son analyse critique des comportements sociaux. La femme du Lion mourut : Aussitôt

écriture d’argumentation Rédiger un article de presse à partir d’un fait tragique fictif d’une œuvre intégralement lue Pistes de travail : Parcours d’une œuvre théâtrale classique(le Cid) et des critiques de la pièce. Groupements de 3 textes : Phèdre et le tabou de l’inceste/ Roméo et Juliette/Ruy Blas pour la rupture romantique (dénouement) Lecture d’images fixes : femmes tondues pendant la guerre Comparaison d’adaptation et de représentation si on a le temps : Les différentes mises en scènes

(« Va, sors de mes États ; sors, barbare étrangère »), menace Médée de mort (« Tu périras, barbare ! au milieu des supplices »). Longepierre est le seul à introduire dans cette condamnation le thème de la purification[7], qui évoque la condamnation de Phèdre. Thomas Corneille n’allège pas la charge de Créon. Mais la figure du roi a perdu sa violence et la brutalité de son vocabulaire. Le glissement d’un genre à l’autre explique la disparition des vers forts et, avec eux, d’une brutalité verbale

dans son langage. A l’intérieur de la narration, Des Grieux s’exprime très souvent dans un registre tragique: il s’exclame : «Perfide Manon! Ah! Perfide! Perfide!» ; il multiplie les adieux déchirants ; les adjectifs tels que «funeste, cruel, affreux, mortel» ; il parle avec emphase : «adieu père barbare et dénaturé». Tout comme dans une tragédie classique, le héros existe à travers son langage : le drame, qui pourrait être, finalement, tout à fait silencieux, éclate dans les mots. Le langage du héros

Les notes sont signalées par un astérisque. Plan général du dialogue : * Préambule sur la transmission du récit [172a] * Arrivée de Socrate [174a] o Proposition d'Eryximaque [176e] + [178a] Discours de Phèdre + [179c] Discours de Pausinias (et intermède : Le hoquet d'Aristophane [185d]) + [185e] Discours d'Eryximaque + [189c] Discours d'Aristophane + [194d] Discours d'Agathon

PLATON Le Banquet - Préambule sur la transmission du récit - Arrivée de Socrate o Proposition d'Eryximaque § Discours de Phèdre § Discours de Pausinias (et intermède : Le hoquet d'Aristophane) § Discours d'Eryximaque § Discours d'Aristophane § Discours d'Agathon o Intervention de Socrate o Discours de Diotime - Irruption d'Alcibiade - Eloge de Socrate par Alcibiade Le Banquet (ou De l'Amour) APOLLODORE Je crois que je suis assez bien préparé à vous faire le récit que