Roman Réaliste Imaginaire

Dissertation : Le roman Intro : Comme le disait Marthe Robert : « Le roman se distingue de tous les autres genres littéraires, et peut-être de tous les autres arts, par son aptitude non pas à reproduire la réalité, comme il est reçu de le penser, mais à remuer la vie pour lui recréer sans cesse de nouvelles conditions et en redistribuer les éléments ». Ainsi « Un bon roman nous fait réfléchir sur nous-même et le monde qui nous entoure. ». Partagez-vous cette conception du roman ? En premier lieu

COMMENTAIRE LITTÉRAIREGerminal - Emile Zola p. 390-392Introduction  : Émile Zola est un grand écrivain naturaliste du 19ème siècle, né en 1840 et mort en 1902. Son roman, Germinal, écrit en 1885, retrace les conditions de vie et de travail des mineurs ainsi que la grève ouvrière durant la révolution industrielle. Le passage étudié pages 390/392 reprend la manifestation des ouvriers. Cela fait alors 2 mois que la grève a commencée

particuliers à ces descriptions à travers l’échange des différents points de vue, tantôt extérieurs, tantôt intérieurs. Mme Arnoux : un pur objet du regard Une longue observation La description occupe la place la plus importante du texte, description réaliste. importance du réseau lexical de la vue : « apparition », « distingua », « l’éblouissement que lui envoyèrent ses yeux », « il la regarda », « il affectait d’observer », « jamais il n’avait vu », « il considérait », « leurs yeux se rencontrèrent

Le roman au 17ème Introduction : Effort constant de la production romanesque d’un point de vue matériel Spéculation des libraires, les romans coûtent de plus en plus cher Public d’élite, noblesse, bourgeoisie, lectorat de femmes (elle sont considérées comme des dédicataires et ont une place de choix) La littérature populaire est méprisée des élites, colportage oral comme les romans de chevalerie Bibliothèque Bleue de Troyes[1] Divorce entre le goût mondain et le goût savant, les détracteurs

cet humanisme profond qu’exprime la philosophie exaltée par le conte en tant que genre littéraire le plus proche de l'homme indépendamment de sa culture, de son vécu et de son savoir intrinsèque. La fable use des animaux comme des personnages imaginaires pour établir la distance entre la réalité et la fiction, toutefois aussi, elle se sert d'animaux comme alibi dans un élan de dérision et d'humour. La fable est une critique sociale. La vérité masquée est souvent une de ses raisons d'être. Le conte

Littérature courtoise  élégance et affinité envers femmes (+ important que Dieu) Inconnu : Tristan et Iseult Inconnu : Légende du roi Arthur Littérature populaire & bourgeoise Narrative : Inconnu : Les fabliaux (on veut faire rire) Inconnu : Le roman de Renart Dramatique Inconnu : La Passion (du Christ) Inconnu : Farce de maître Pathelin Poésie lyrique  auteur parle de ses sentiments intimes, parle d’amour, de mort, de pouvoir, de nature, etc. Rutebeuf : La complainte de Rutebeuf (1 des 1ers

fiction afin de délivrer son message et de dresser une critique de la société propre à son époque. De même, « Voyage au bout de la nuit » de Louis-Ferdinand Céline propose une dénonciation marquante de la Grande Guerre et de ses horreurs. Dans un roman complètement fictif, Céline parvient à faire passer une critique forte de l’homme à travers un pessimisme omniprésent, jusqu'à qualifier la guerre d’ « abattoir international en folie ». Ces auteurs parviennent à dresser une critique de la société

« profond de quinze mètres », « immense trou ». Commentaire : L’amplification épique : INTRODUCTION : Le registre épique repose sur une amplification de la réalité. Il donne aux actions une grandeur extraordinaire, il s'oppose au registre réaliste, qui cherche une représentation fidèle du réel. L’amplification a donc pour but de renforcer le propos. On retrouve beaucoup le registre épique dans une des scènes de Germinal : La description du Voreux, écrit par Emile en Zola en 1885. En quoi

fondée sur des faits imaginaires. Pour envisager une fiction, l’auteur dispose d’un large éventail de possibilité entre deux extremes : il peut dissimuler sa part d’invention par une illusion réaliste et ainsi n’avoir recours qu’a des faits vraisemblables, tout comme il peut déployer librement son imaginaire créant ainsi un univers surréel. Cependant, tous les faits qu’une fiction présente ne sont pas nécessairement imaginaires, c’est le cas, par exemple, de romans historiques. Ces derniers

l’écrivain à un créateur, un démiurge, et exclue donc de sa définition les auteurs réalistes, pour qui la mimesis du réel, c’est-à-dire la retranscription la plus fidèle possible du monde réel, est l’objectif ultime.Cependant, un écrivain doit aussi s’assurer qu’il est compréhensible par ses lecteurs. Or, sans aucun appui sur le réel, il paraît impossible d’établir une communication. La théorie de la communication du linguiste Roman Jakobson parle bien de la nécessité d’un référent, c’est-à-dire de références