Romantisme italien

CRISI PENITENZIARIA E DIRITTI UMANI1     Patrizia Ciardiello  Prima pagina venti notizie ventuno ingiustizie e lo Stato che fa si costerna, s’indigna, s’impegna poi getta la spugna con gran dignità  F. De Andrè', Don Raffae'      Nella lunga storia del penitenziario, il ricorso a parole come crisi o emergenza non costituisce  una novità: i progetti di riforma del carcere sono coevi dell’avvento del carcere stesso e la  discrasia fra funzioni dichiarate e funzioni svolte, l’inadeguatezza qualitativa e quantitativa 

sa transition démographique : la population a augmenté, donc moins d'emplois étain disponibles. Il y aussi eu une misère (maladies, mauvaises conditions de vie...) parmi les agriculteurs. Ces deux facteurs ont poussé une partie de la population italienne à émigrer. La population était aussi incitée à émigrer par des représentants de compagnies de navigation ou de pays en quête de main-d'oeuvre, et par la publicité. Ces représentants organisaient des départs vers les Etats-Unis, le Brésil

besoin de reconstruction et le manques de main d’œuvre incitent l’état français et les entreprises à recruter à l’étranger. Une politique d’appel a la migration est alors mise en place. Des affiches françaises sont publiées, invitant, par exemple, les italiens à venir travailler en France. Doc 2 P44 * Entre 1945 et 1975 le secteur d'activité le plus " côtoyer" correspond a l'industrie. En effet, au début des 3o glorieuses, environ 1 million d'étrangers travaillent en temps que ouvriers de l'industrie

grippe. De plus, cela est dû à leurs conditions hygiéniques-sanitaires déplorable, ce qui débouche éventuellement sur des infections. Par ailleurs, malgré les dire alarmant de l’Extrême Orient, les italiens ne changent pas leurs habitude et continue d’acheter autant de viande qu’auparavant (9 italiens sur 10 ne changent pas leurs habitudes alimentaire). De plus, cela est dû au fait que le syndicat national de l’aviculture et des volailles en Italie est dit que l’Italie n’avait pas importé de volaille

lequel nous vivons alors nous avons une chance de le changer. Si on vit replié sur soi, à la poursuite de ses minuscules plaisirs quotidiens, le monde peut changer et peut être un jour nous menacer et nous broyer. Comme il a broyé les allemands, les italiens, les russes, les chinois, citoyens de pays passés sous un régime totalitaire, où les vies individuelles n'ont plus de prix. C'est à cela que fait allusion le titre "Matin brun" car le brun est la couleur des fascistes allemands et des SA qu'on appelait

terribles, aujourd’hui si ravissants, sont presque déserts ! les Italiens les connaissent à peine ! on n’en parle nulle part ; les préoccupations mercantiles sont si fortes parmi les habitants de ce beau pays qu’ils ne s’intéressent aux plus magnifiques spectacles de la nature qu’en raison des rapports qu’ils peuvent apercevoir entre eux et les questions industrielles dont ils sont agités jour et nuit. Voilà pourquoi l’Etna n’est pour les Italiens qu’un grand trou rempli d’eau dormante, et qui ne peut servir

l'importance sociale du repas : échange, plaisir… On retrouve aussi sur toute la Terre certaines croyances bien ancrées, comme les propriétés aphrodisiaques de certains plats ! Quelles sont les habitudes alimentaires selon les pays ? On associe les Italiens aux pâtes, les Chinois au riz, les Allemands aux saucisses, les Français à la baguette et au vin rouge. Les aliments et les boissons sont en fait des "marqueurs culturels" ! Si les clichés abondent en la matière, la réalité n'est pas si éloignée

Les langues romanes Les langues romanes dérivent du latin vulgaire - langue utilisée pour la communication - étant parlées au Nord-Ouest de l’Europe, espace nommé Romania et qui regroupait l’ancien Empire romain d’Occident et l’Empire romain d’Orient. Les utilisateurs des mots romans et Romania, provenant du latin (de l’adjectif latin romanus), parlaient une langue née de celle des Romains à différence d’autres langues de l’Empire qui appartenaient à d’autres familles comme celle germanique

placet sur Tartuffe, Molière cite la formule comme étant du poète Jean Santeuil (dont Hyacinthe Rigaud a fait le portrait, actuellement au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux). Elle aurait été la devise des comédiens italiens (déjà du temps de Molière ?), en tout cas c’est chez les Italiens que Marivaux l’aurait trouvée et faite sienne, paraît-il (cf. Trivelin dans L’Ile des esclaves, sc. 2). Mais on lit aussi que la citation serait... de Horace. 
Après vérification, la formule n’apparaît pas chez Horace

Pionnier de l'observation participante, il a vécu quatre ans dans une communauté italienne de Boston, dans Norton street qu’il nome Cornerville. Pendant ce temps, il étudiait également à Harvard dans le but d'analyser l'organisation sociale des gangs du North End. Bill Foot Whyte va réussir à être accepté dans la bande de Doc, un jeune Italien (gars de la rue). Par la suite, il rencontre Chick Morelli, un autre italien (étudiant) ; celui-ci a la volonté de s’élever socialement et de réussir politiquement