Ronflement

JUILLET 2010 CAP santé PAGE deux sommeil à l’HDF comme « forte suspicion de syndrome d’apnées du sommeil », l’association d’un ronflement habituel à une somnolence diurne et/ou à des apnées fréquentes observées par l’entourage. En effet, le ronflement est un signe quasi constant du SAS et le diagnostic de SAS est souvent porté suite à une histoire de ronflements devenus irréguliers et entrecoupés d’apnées[9]. L’existence d’une somnolence diurne excessive est également un des critères cliniques

accentue l’admiration envers la machine. À l’inverse, le narrateur dénonce l’alcoolisme symbolisé par la machine. Il dresse le portrait de l‘Alambic comme celui d’un animal monstrueux, tapi insidieusement. En effet, l’emploi des mots « cornue », « ronflement », « sueur » donne un aspect bestial. Le coté monstrueux de l’animal se reflète au travers des mots : « énorme », « forme étrange », « enroulement sans fin » , « se répandre » et « inonder le trou immense ».Le danger de ce monstre semble d’autant

soldat s’y abandonne et ‘’dort’’ (répétition du mot trois fois), il sourit même. A la fin du poème, nous comprenons que le soldat est décédé par l’expression « Il a deux trous rouges au côté droit ». L’allitération en « r » ne signifie non pas le ronflement ou le rêve comme nous pourrions le penser au premier abord, mais bien le râle et la mort. Finalement, le mot ‘trou’ renvoie au ‘trou de verdure’ du premier vers, en nous le présentant comme une tombe. En observant de plus près, nous remarquons que

L'escargot a laissé son ruban de nacre » • La musicalité de cette poésie en vers libres peut être étudiée ✓ à travers l'étude d'allitérations évocatrices : « Un crissement de freinage dans la descente un ronflement d'hélicoptère entre les cimes » ✓ par le rythme vivant et dynamique de l'ensemble de l'oeuvre rendu possible grâce à une syntaxe minimaliste des strophes (allant de la simple juxtaposition de GN à des phrases simples et courtes

la voix rauque du chauffeur m’a fait sursauter. Toujours perdu dans mes pensées, je bafouille, et lui donne quelques billets. Me voilà au pied des tours… Levant les yeux, je réalise leur écrasante hauteur. Un calme apaisant m’entoure. Au loin, le ronflement des autoroutes. Mais dans les alentours, un curieux silence, ponctué du bruit des rares voitures. J’imaginais une fourmilière, grouillante de vie, bruyante, et me voilà perdu dans cette foret de fer et de béton. Quelques passants traversent une

lions : ‘’ils se servaient de la planchette dont le centre est ronflé et à bords coupants. Elle est trouée sur un des côtés pour permettre d’y passer une ficelle. Ils la font tournoyer comme une fronde, la planchette coupe l’air et produit des ronflements tout semblable au rugissement du lion’’. Plus tard, il vécut une autre épreuve plus inquiétante que celle des lions, une épreuve vraiment menaçante cette fois où le jeu est absent : la circoncision. Il était en dernière année d’étude. Après quoi

intestins, à un ventre, et nous reconnaissons là un fantasme de Zola repérable aussi bien dans le titre Le Ventre de Paris que dans la topographie des galeries de mine de Germinal ou dans le tunnel de La Bête humaine, d'où le "souffle intérieur", le "ronflement souterrain" avec les jeux de sonorités qui imitent une respiration humaine ou animale ou digne d'un monstre : d'une sorte de Minotaure enfermant son labyrinthe dans son ventre. L'idée d'une force obscure et obstinée est exprimée aussi bien par l'allusion

mais la condition humaine, et il se livre à une méditation sur le destin de l’espèce et le sens de la vie.] Et je poursuivis mon voyage parmi ce peuple dont le sommeil était trouble comme un mauvais lieu. Il flottait un bruit vague fait de ronflements rauques, de plaintes obscures, du raclement des godillots de ceux qui, brisés d’un côté, essayaient l’autre. Et toujours en sourdine cet intarissable accompagnement de galets retournés par la mer. Je m’assis en face d’un couple. Entre l’homme et

« disparaissent » : « On entendait un sifflement perçant au milieu de chaque détonation, les coups secs et violents des balles dans la terre, et aussi des claquements sourds et mous suivis de geignements, d’un petit cri et, soudain, d’un gros ronflement de dormeur qui s’est élevé puis a graduellement baissé » (p. 245-246). En regard de ces brèves notations, qu’on lise les deux pages où l’on peut, après l’engagement, dénombrer et détailler les blessures (p. 247-248). On se dit alors : « Comme

« disparaissent » : « On entendait un sifflement perçant au milieu de chaque détonation, les coups secs et violents des balles dans la terre, et aussi des claquements sourds et mous suivis de geignements, d’un petit cri et, soudain, d’un gros ronflement de dormeur qui s’est élevé puis a graduellement baissé » (p. 245-246). En regard de ces brèves notations, qu’on lise les deux pages où l’on peut, après l’engagement, dénombrer et détailler les blessures (p. 247-248). On se dit alors : « Comme