Rouge-gorge familier

chimiques. Ces découvertes permettent d’obtenir des fibres de meilleure qualité et donc d’augmenter les vitesses de production. Personnages Lieu Quand Chapitre 13 Baumgartner,Ferrer,Le Flétan 18ème arrondissement de Paris, rue de Suez, Station château rouge, boulevard Exelmans 06/22/15 Chapitre 14 Baumgartner, Le flétan Rue Michel-Ange, 16ème arrondissement de Paris, Clos Zéphyr, résidence des Meulières, l'hotel Abbuzia Chapitre 15 Ferrer , Jean Phillipe, Raymond, Sonia, Martine Delahaye, Bruno La galerie

LA Dînr chez ValenodLe dîner chez les Valenod 1 « Jamais Julien n'était allé » Courte analepse. Tout le § va être centré sur le point de vue de Julien, son passé, ses impressions L'analepse permet d'insister sur le fait que c'est pour le héros l'occasion d'entrer dans un monde nouveau, une nouvelle épreuve 2 « cet homme » L'usage du déterminant possessif est à consonance péjorative Le sentiment qui prévaut est sans doute le mépris ce que confirme l'information suivante

que ce soir je puisse dormir pour un nouveau matin. …Pars pour Paris dans deux heures… Reviens ce soir… Je n’entends plus le clapotis de mon propre chant, celui qui fait agir en conscience et en actes posés, celui qui aspire à sortir d’une gorge profonde, celui qui rompt l’effet du poison canaille. …Me voilà… Deux heures devant moi… assise pour préparer le voyage et parfaire cette quête étrange… une quête toute tracée… une quête de l’Absolue. ********** La plume tapote le carnet

là encore, Meursault nous évoque des sensations olfactives, auditives et visuelles (on a déjà vu que Meursault est un être fait de ces sensations). L'émotion est exprimée également par le participe passé « assailli ». L'expression « remonté a la gorge » est l'expression d'un sanglot ou d'une nausée devant l'absurde, devant ce monde qu'il ne comprend pas. L'avocat bâti un nouveau personnage de Meursault qui soit acceptable. En fait, Meursault a besoin de retrouver sa solitude dans sa cellule parce

petit berger sur Goliath). Les Richaud sont devenus les Goiraud dans une étape intermédiaire. Enfin Zola s’arrêtait, pour le patronyme aux Rougon qui, inversant la structure précédente, évoquait dans ses sonorités l’âpreté morale et surtout la couleur rouge. On n’y pouvait manquer de repérer la connotation du sang baignant tout le cycle, tant sous les espèces de la guerre que de la physiologie et de l’hérédité. L'image symbolique sur laquelle va reposer tout l'édifice des Rougon-Macquart est la fameuse

chanter. J’ai vu chanter un rossignol sous la lune, un rossignol libre et qui ne se savait pas épié. Il s’interrompt parfois, le col penché, comme pour écouter en lui le prolongement d’une note éteinte… Puis il reprend de toute sa force, gonflé, la gorge renversée, avec un air d’amoureux désespoir. Il chante pour chanter, il chante de si belles choses qu’il ne sait plus ce qu’elles veulent dire. Mais moi, j’entends encore à travers les notes d’or, les sons de flûte grave, les trilles tremblés et cristallins

J’ai vu chanter un rossignol sous la lune, un rossignol libre et qui ne se savait pas épié. Il s’interrompt parfois, le col penché, comme pour écouter en lui le prolongement d’une note éteinte… Puis il reprend de toute sa force, gonflé, la gorge renversée, avec un air d’amoureux désespoir. Il chante pour chanter, il chante de si belles choses qu’il ne sait plus ce qu’elles veulent dire. Mais moi, j’entends encore à travers les notes d’or, les sons de flûte grave, les trilles tremblés et cristallins

inquiétant du lieu : Importance de l’obscurité : le décor est décrit « le soir » (début du paragraphe), « grandes ombres », « vaguement éclairée », « ombre » Rôle des termes connotant la peur, la répulsion : « aspect sinistre d’un véritable coupe-gorge » Gradation avec l’idée de mort : « on dirait une galerie souterraine », « lampes funéraires » Humidité : « des souffles humides viennent de la rue » (p.20), « les boiseries d’un vert bouteille suaient l’humidité » (p.21) → Ce décor a déjà tous les

inquiétant du lieu : Importance de l’obscurité : le décor est décrit « le soir » (début du paragraphe), « grandes ombres », « vaguement éclairée », « ombre » Rôle des termes connotant la peur, la répulsion : « aspect sinistre d’un véritable coupe-gorge » Gradation avec l’idée de mort : « on dirait une galerie souterraine », « lampes funéraires » Humidité : « des souffles humides viennent de la rue » (p.20), « les boiseries d’un vert bouteille suaient l’humidité » (p.21) → Ce décor a déjà tous les

MAUPASSANT I Quand la caissière lui eut rendu la monnaie de sa pièce de cent sous, Georges Duroy sortit du restaurant. Comme il portait beau, par nature et par pose d'ancien sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d'un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux