Rythme circadien

cette introduction succède un morceau instrumental mesuré et obéissant à un schéma rythmique fixe qui est toujours binaire. Alternent ensuite des passages vocaux puis instrumentaux ; l’évolution rythmique est marquée par la présence de rythme ternaire et de rythme à cinq temps. L’orchestre est formé d’un Oud (luth), d’un Rebab (rebec), d’un Naï ( flûte oblique), d’un Tar (disque à membrane pourvu de cymbalettes) et d’une Darabouka ( tambour à membrane en forme de cruche). Il existe 24 noubas différentes

partir, et le pot de fer tente de le convaincre de venir avec lui. La troisième partie est constituée d’une série de vers au présent de narration, ce qui rend le récit (qui tend déjà vers la fin) plus vivant. Il y a ainsi une nette accélération du rythme ; l’effet dramatique est renforcé, le pot de terre clopinant vers son destin. Cette petite excursion est racontée en heptasyllabes. Ce vers impair se prête bien au récit de la progression sur trois pieds des pots : Pot de fer son camarade Se met

négation incomplète. Brutalité qui convient bien à la leçon de Queneau. Abomination des sons que l’ont fait subir à la langue ‘’xa va’’ au lieu de ‘’que cela va’’. Cette rapidité du langage va s’accentuer avec l’enjambement successif ce qui donne un rythme rapide.

œuvres poétiques que vous connaissez, vous vous demanderez si la poésie ne fait qu'exprimer l'affectivité. » I) Une fonction lyrique A. L'expression des sentiments intimes de l'individu B. La traduction d'émotions intenses C. L'importance du rythme musical II) La poésie comme événement public - l'engagement du poète A. L'expression de la vision du poète, un véhicule d'opinion B. Une forme de dénonciation C. Un appel à la lutte III) La poésie comme création artistique A. Une transfiguration

départ : La chevelure, métonymie de la femme. Musicalité, effet rythmique : Répétition de verbes, rythme ternaire : Émotion : Échos sonores : Allitération en :       - « m » > douceur.       - « f » > mélanges.       - « p, b » > bercements. Paronomase : rapprochements sonores. Par sa structure fluide mais organisée à laquelle s'associent des effets de rythme et de musicalité, ce texte apparaît bien comme un poème en prose. Le poète est sans cesse à la recherche d'une

-tercet: 3 vers -quatrain: 4 vers -quintil: 5 vers -sizain: 6 vers -vers libre: marqué par un retour à la ligne, ne se définit que par son rythme propre, les accents sont variables et la rime n'est pas obligatoire. -le verset: ensemble de longueur variable, marqué par un alinéa, l'unité est à chercher plus dans la sonorité que la syntaxe. -rythme: retour d'un même phénomène à intervalle de temps réguliers. -accentués: reçoivent une inflexion de la voix particulièrement appuyé. -accent tonique:

pour faire naître ultérieurement le souvenir. Le présent s'il est le préalable au souvenir est difficile à saisir car il repose sur la difficulté de fixer un instantané dans le cours général du temps qui nous échappe et fuit, coule sans cesse. Le rythme du poème, malgré les alexandrins est vif, surtout dans les deux premières strophes, sans points avec peu de coupes, à l'image du temps qui s'écoule trop vite lorsqu'on souhaiterait qu'il s'écoule lentement pour en fixer le plus d'instantanés. III-

le présent et le passé. L’imparfait insiste sur la durée des actions et le passé simple sur les actions brève comme la mort par contre, le présent fait naitre le souvenir. Cette notion insiste sur l’impossibilité de l’homme à fixer le temps. Le rythme est vif, notamment dans les deux premières strophes, il y a absences de points et peu de coupes. Il y a des enjambements dans les vers 3, 4, 7, 8, ce qui rallongent les vers. Pour conclure, le poème est une réflexion sur le temps et une obsession

d'invention et de création verbale en exploitant toutes les ressources de la langue. La poésie est un travail sur les mots, un art du langage qui en explore toutes les ressources et vise à exprimer ou suggérer quelque chose, en jouant sur les sonorités, le rythme, la musicalité. A l'origine, la poésie était chantée accompagnée d'une lyre, ce qui a donné naissance à la notion de poésie lyrique. Chaque auteur révèle une partie de lui-même dans son œuvre, fait partager ses sentiments et ses émotions. Certes,

Pour moi la poésie c'est un subtile mélange entre les rythmes, les sons et les images. avec ces outils que sont le mots, le poète chercher à donner un souffle nouveau au langage. Il arrive donc a faire passer ce qu'il voit, entend et sent comme par exemple le poème "Charleroi" de Paul Verlaine. avec ce poème, on arrive a savoir ce que l'auteur voit, ce qu'il sent ou encore ce qu'il entend comme par exemple "les gares tonnent" pour l'ouïe au vers 14 ou encore " parfums sinistres!" pour l'odeur au