Réflexion Le Misanthrope

d’actes et d’événements qui nous donne, insérées l’une dans l’autre, l’illusion de la vie et la sensation nette d’un agencement mécanique . » En quoi ce jugement peut-il éclairer votre lecture du Misanthrope  ? BibliographieDe nombreux ouvrages à la bibliothèque sur la méthode de la dissertation littéraire, par exemple : Axel Preiss, La dissertation littéraire , Armand Colin, coll. « Cursus »

temps en montrant son importance vis-à-vis des messages qui peuvent êtres diffusés par le dramaturge avant de nous attacher au cas de l'accroche du spectateur pour finir sur son utilité pour la catharsis. Tout d'abord, le conflit peut servir la réflexion par rapport à un problème éthique ou social. On peut prendre l'exemple de Molière qui a écrit un grand nombre de pièces sur les problèmes sociaux de son époque et qui reprenait l'expression de Plaute "Castigat ridendo mores" c'est à dire, "qui corrige

Le misanthrope Introduction : * "Le Misanthrope" est une pièce de Molière écrite en 1666. Elle met en scène un personnage excessif : Alceste, qui déteste ses semblables et ne leur pardonne rien (misanthrope a une racine grecque : "mis" qui signifie haïr, et "anthrope", homme). Il lui oppose Philinte, son ami, qui lui est mesuré et sage, c'est un "honnête homme". * Les personnages excessifs sont fréquents chez Molière : Tartuffe, Arnolphe... A chaque fois, Molière met en opposition un personnage

principal est un roturier. Les nombreuses didascalies et les alexandrins correspondant aux grands sentiments témoignent du caractère romantique de la pièce. Ces différents éléments montrent donc bien que Ruy Blas appartient au drame romantique. Le Misanthrope de Molière, écrit en 1666 correspond à l’époque de la comédie, associée aux XVIIe et XVIIIe siècles. Comme toujours dans ce genre théâtral, l’intrigue est légère. La pièce corrige les Hommes par l’intermédiaire d’Alceste qui se dit « ennemi du genre

laissant même parfois l’impression au lecteur que sa réflexion est plus déterminée par ses sentiments que sa raison. Un critique moderne a ainsi écrit que c’est justement « cette curieuse liaison entre le sentiment, la littérature et le politique qu’il faut dévoiler ». Analyser l’œuvre à la lumière de cette affirmation reviendra donc à cerner ces trois sortes d’influences et analyser de quelle manière Rousseau les imbrique dans sa réflexion. On verra ainsi tout d’abord en quoi il s’agit véritablement

lentement vers Ruy Blas sans être vu » (lignes 35-36) et enfin le coup de théâtre « Ruy Blas reconnaît don Salluste » (lignes 38-39). Dans le cas où les didascalies sont absentes, il peut y avoir des didascalies internes tout comme dans « Le Misanthrope » de Molière où aucune didascalie n’est utilisée mais le personnage Alceste passe tous ses sentiments et émotions par sa parole. Dans « Ruy Blas » encore, à l’acte III scène 4, on peut également repérer la présence de didascalies internes : « cet

conduit à l’interdiction de la pièce. Seule la protection de Louis XIV procure à l’auteur l’occasion de succès comme L’avare, Le Misanthrope ou encore Don Juan où il règle de nouveau ses comptes avec les dévots. Molière meurt à la fin de la 4eme représentation du Malade Imaginaire, le 17 février 1773. Oeuvre : (Acte IV, scène 3) Nous étudions un extrait Du Misanthrope, écrit par Molière en 1666. Nous sommes au début de la scène 3 de l’acte IV. La scène 3 de l’acte IV est une scène très longue

simplement méditer n'est pas résolument misanthrope car à ce moment la présence des autres, surtout si elle est indiscrète et indélicate, peut déranger. A ce moment-là on ne fuit les hommes que dans la mesure où ceux-ci nous privent de mener à bien nos projets et réflexions. Essayez d’écrire un roman, peindre un tableau ou encore composer une musique dans un café avec vos amis, il vous sera impossible de vous concentrer. Et ce qui peut nous rendre activement misanthrope, c'est justement le fait de sentir

mariage contrarié ; celui qui s’oppose au mariage est aveuglé par ses vices et ses défauts et l’action a pour but de mettre en relief les conséquences fâcheuses de son caractère et de ses passions. Mais généralement tout se termine bien sauf dans Le Misanthrope et dans Dom Juan. Le couple est soutenu par des personnes raisonnables qui réussiront par la ruse et le bon sens à faire triompher l’amour. Chaque pièce a sa spécificité : exemple : Alceste, pessimiste, grognon, en guerre contre l’hypocrisie sociale

de représentation. Une réflexion morale en découle : La Bruyère fait un tableau satirique de ce petit théâtre du monde dont il montre les vices. Suggestion de problématique : En quoi ce texte est-il un portrait satirique de l’individualisme, de l’homme égocentrique et insensible ? Suggestion d’annonce de plan : Dans cet extrait des Caractères, La Bruyère dresse le portrait de Gnathon, un personnage égocentrique qui ne supporte pas les hommes, un asocial, un misanthrope, qui suscite le dégoût