Rémunération Des Dirigeants

revenus aux différents acteurs économiques B) Répartition de la richesse créée (valeur ajoutée) en fonction d’intérêts divergents La valeur ajoutée réalisée doit permettre la rémunération des différents acteurs ayant participé à sa réalisation : salariés (rémunérations), banques (intérêts), État (impôts, taxes, cotisations sociales), apporteurs de capitaux propriétaires de l’entreprise (dividendes aux actionnaires par exemple), l’entreprise elle-même (épargne des bénéfices

audit social. Il faut faire le point avec la direction sur la situation sociale de l’entreprise et faut voir sur le terrain la réalité de la situation. Les points abordés au niveau de la direction : Sur le climat social : c'est-à-dire comment les dirigeants voient il l’ambiance. L’image  Les tensions : Existe-t-il des tensions ou des désengagements des salariés Des dégradations : Absentéismes, accidents, pannes, instabilité de la qualité, la productivité, des instabilités de délais, monter des réclamations

présence. Pas de rémunération versée.Cumul avec un contrat de travail  possible à condition que le contrat est antérieur au mandat d’administrateur. que le salarié occupe un emploi effectif et que le nombre des adm. liés à la société par un contrat ne dépasse pas le tiers des adm. en fonction. * Le président du conseil d’administration :-Nominé par le CA à la majorité.-personne physique-limite d’âge à 65 ans selon la loi.- max 5 mandats.Rémunéré par des jetons de présence+ rémunération spéciale fixée

hommes apparaît depuis le Traité de Rome (1957) et la réduction de l’écart de rémunération fait partie des objectifs de la Stratégie européenne pour la croissance et l’emploi. De plus, de nombreuses directives européennes portant sur l’égalité entre hommes et femmes dans la vie professionnelle ont été ratifiées par les États et transposées dans les droits nationaux. Malgré cet arsenal législatif, les écarts de rémunération persistent. En France, de grandes avancées ont été réalisées ces dernières

à l’IR. Quid sur le plan juridique/responsabilité personnel du dirigeant : Il y a deux types de personnes : personnes physiques et personnes morales (les sociétés SA, SARL) qui ont la personnalité juridique. L’entreprise individuelle n’est pas une personne morale. Seules les sociétés ont les attributs de la personne morale et parmi celle-ci c’est d’avoir un patrimoine qui leur soit propre distinct du patrimoine de son dirigeant, de ses associés. Deux exceptions : - la première tient aux

réflexions concernant les organisations se développent au début du 20em siècle avec l’accélération de l’industrialisation et l’apparition de la grande entreprise dans laquelle le capital (détenu par les propriétaires) et le pouvoir (entre les mains des dirigeants) sont dissociés. Ces réflexions correspondent à une approche empirique, ou par observation, des industriels, des ingénieurs (Taylor, Fayol), vont analyser de manière normative l’organisation et en rationaliser fonctionnement. On donc va expliquer

produits imposables. Toutefois, des règles spécifiques s’appliquent aux primes d’assurance vie. Cas 1 : La banque de l’entreprise a exigé que le dirigeant de l’entreprise souscrive à une assurance vie. Pour garantir un emprunt. Alors dans ce cas, la prime versée (charge d’assurance versée) est déductible (On parle de l’assurance vie sur tête du dirigeant). Cas 2 : L’entreprise a souscrit à une assurance vie sur homme clé (personne jugée indispensable pour l’activité de l’entreprise, autre que l’exploitant) :

Sociétés en participation 3 II - Sté créée de fait 3 III - Groupement d’Intérêt Economique 3 IV - Syndicats 3 V - SCS / SCA 4 VI - Sté d’exercice libéral 4 VII - SARL 4 (A) Les CAC 6 VIII - SA 7 (A) Dirigeants 7 1) SA à Conseil d’Administration 8 2) SA à Directoire et Conseil de Surveillance 8 Introduction : Le propos général restera autour des sociétés commerciales. Elles ne sont pas seulement régies par le Code de commerce

, leur expérience de vie ou de travail n’ont pas forcément les compétences qui leur permettent d’assumer les charges de dirigeants. Chacun doit pourtant pouvoir accéder à ces responsabilités pour respecter l’idéal démocratique, placé au cœur de l’identité associative. Cet accès de tous aux fonctions de direction est aussi nécessaire pour éviter une pénurie de dirigeants bénévoles sans lesquels les associations ne peuvent exister. Sommaire ▲ Les associations se dotent en principe des

ouvriers spécialisés Que reste-t-il du taylorisme dans les techniques de management d’aujourd’hui ? Organisation scientifique et optimale du travail (OST) Classification des salariés en fonction de leur statut Un des piliers du système de rémunération : justice et équité Un des piliers du système de motivation/incitation/fidélisation : le salaire au rendement, le salaire au mérite Des outils de management ou de GRH : organigramme, fiches de poste, procédures qualité... B