Répartition Chez Les Neoclassiques

concurrents pour faire des cartes de groupes stratégiques : soit recherches en continu ou des études ponctuelles Où ? Proviennent de la presse, du net, mais aussi parfois de méthodes pas toujours étiques (les poubelles, espionnages industriel, stagiaires chez les concurrents.) Benchmarking : se comparer avec les concurrents puis analyser leurs méthodes et succès : instaurer un processus continue d’évaluation des produits des services et méthodes. Étalonnage, consiste à recueillir infos sur les concurrents

bâtir l'économie plutôt que la penser. Globalement, on fait du commerce (c'est le début des premiers marchés). Ces deux peuples prospèrent grâce à la guerre et à l'esclavage mais ne s'intéressent pas encore à la question de la production et de la répartition des richesses. Xenophon est l'inventeur du terme « économie », oikonomia en grec, ce qui se décompose en oikos (foyer) et nomos (gestion, administration). L'économie est alors la façon de bien gérer l'argent du foyer. L'économie est donc limitée

fonction de consommation. 2. La fonction d’épargne. 3. La fonction d’investissement. 4. La demande de monnaie. II. Les modèles macroéconomiques : 1. Le modèle macro-classique. 2. Le modèle IS-LM. 3. Le modèle keynésien général ou la synthèse néoclassique. Bibliographie introductive 1- Ando, A. et F. Modigliani, “The Life-Cycle Hypothesis of Saving: Aggregate Implications and Tests”, American Economic Review 53; p.55-84, 1963 2- Blanchard O., Macroeconomics, London etc.. 1997; 2nd ed. 2000 3-

macroéconomique du taux d’intérêt 1. Taux d’intérêt débat théorique Taux d’intérêt est il une variable réelle ou bien une variable monétaire ? Il s’agit là d’un débat principal qui oppose les deux grandes écoles : l’école classique et néoclassique d’une part et l’école keynésienne de l’autre. Le taux d’intérêt est le prix de la renonciation : * à la consommation pour les classiques; * à la liquidité pour les Keynésiens; Analyse classique : la conception réelle du taux

sur la nature fondamentalement rythmée du capitalisme. Schumpeter définit le capitalisme par trois aspects : - propriété privée des moyens de production (comme chez Marx) - mise en œuvre d’innovations par des entrepreneurs qui prennent des risques - possibilité d’emprunter le capital (économie d’endettement, comme chez Keynes). L’évolution résulte de ce qui s’oppose à la routine : l’innovation, définie comme « l’exécution de nouvelles combinaisons ». Par innovation, Schumpeter entend

Les problèmes économiques fondamentaux * Le problème de l’allocation des ressources (cad déterminer l’emploi de celles-ci en fonction de plusieurs productions possibles) * La répartition des ressources (cad déterminer les agents éco qui recevront les fruits de la croissance et comment se fait la répartition) L’objet des sciences économiques est de tenter de diminuer l’écart qui peut exister entre nos besoins illimités et les biens économiques qui sont le résultat du travail de l’homme et

le capital est la plus faible. La relation Etat / Marché nationale est remis en cause. 4 L3 AES Fondement de l’économie plurielle Chapitre 1 : pourquoi des dépenses publiques ? Dans ce chapitre, nous allons étudier les fondements néoclassiques de l’économie publique non marchande. Economie publique non marchande (EPNM) : ensemble des activités économiques de l’Etat et des différentes collectivités publiques décentralisées qui ne donnent pas lieu à la perception d’un prix. Il s’agit donc

sens de la dynamique de l'équilibre. 8 Typologie des théories de la croissance - Les néoclassiques mettront en évidence les ajustements de Cr par substitution entre les facteurs de production : le capital et le travail. - Les néo-keynésiens mettront au contraire en évidence un mécanisme d'ajustement de l'épargne à l'investissement à travers un ajustement de s dû à une modification de la répartition. - D'autres auteurs étudieront les possibilités d'ajustement de n. B. Le second problème

I. Définition et objectifs de la macroéconomie 2 II. Quelques notions et conceptions nécessaires à l’analyse macroéconomique 2 III. Histoire stylisée des victoires et déboires des différentes approches théoriques 4 IV. Keynésiens et néoclassiques 5 Chapitre 1.2 : Revenus, inégalités, prélèvements obligatoires, redistribution 7 I. Revenus et distribution des revenus 7 II. Principes de redistribution 9 III. Les principes de la fiscalité 9 IV. Le système fiscal français 10

III) Les groupes semi-autonomes 33 IV) Conclusion 34 Chapitre 5 : l’école néoclassique (1955) 35 I) Théories et pratiques 35 II) Quelques chefs de file 35 1) Sloan et le concept de décentralisation 35 A) L’auteur 35 B) Le pragmatisme de Sloan 35 C) Une structure divisionnelle 36 2) Gélinier 36 3) P. F. Drucker 37 4) Chandler et l’histoire des entreprises (dans la logique de l’école néoclassique) 38 III) Postulat et principes 39 1) Les postulats 39 2) Les principes