Résumé La Divine Comédie

ancré au sein du pouvoir (père La Chaise), plus organisé. Le pape et le pouvoir royal vont prendre parti contre les jansénistes, les persécutions vont se multiplier, et finalement, en 1710, l'abbaye sera démolie sur l'ordre de Louis XIV. La Grâce divine Pour les jésuites, l'homme est libre de son destin et il détermine lui-même la direction que doit prendre sa vie. Pour les jansénistes, Dieu accorde sa grâce par avance, à ceux qui la mériteront. La liberté de l'homme existe encore, mais est très

être montré au théâtre. I. Résumé de l’œuvre – Acte l – Acte II – Acte III – Acte IV – Acte V II. Présentation des personnages principaux – Horace – Camille – Curiace – Sabine – Le vieil Horace III. Axes d’analyse de l’œuvre – L’origine sanglante de Rome – La prééminence de Rome dans la pièce – L’héroïsme d’Horace – Le sens politique de la pièce I. Résumé de l’œuvre Acte l Une guerre

L’orthographe a) Les lettres parasites : huile, pour qu’on ne lise pas vile. b) Les copistes font des fautes : sautent un mot, une ligne. Modifient ce qu’ils ne comprennent pas. Adaptent l’orthographe à leur prononciation. Les enluminures a) petite image qui résume le chapitre. b) influence la lecture. Le public Avant le XIIe siècle : les clercs. a) car les premiers textes médiévaux sont en latin. b) Puis des traductions sont offertes à un public moins cultivé. Les langues en France À partir du Ve siècle 

l’ordre, la discipline, l’équilibre. Style qui touche tous les arts. 1) Le Théâtre. Le théâtre classicisme; l’Age d’Or du Théâtre. Le XVIIe siècle est apparenté à l’âge d’or du théâtre. Tous les grands genres y sont représentés, tragédie, comédie, tragicomédie et tous ont des auteurs particuliers. Cet âge d’or du théâtre s’exprime grâce à sa place dans le milieu social et politique. C’est la naissance et l’évolution du spectacle proprement dit. On doit l’évolution du théâtre au XVIIe siècle

rapport à ses fonctions : Communication avec le divin, simple amusement, création artistique. I – Petit historique des pratiques sociales de la danse I.1- Les danses à fonction religieuses : Les danses sacrées où ? Cérémonies, lieux de culte, cultures étrangères à la nôtre peintures rupestres des sites préhistoriques d'Europe ( sorte de danse codifiée existait déjà à l'époque du paléolithique. Pourquoi ? - Communiquer avec le divin : Sociétés primitives, danse = mime du rapport de

règles établies, les dogmes (dont la croyance en Dieu), mais également qui s’adonne aux plaisirs charnels. D’ailleurs, le latin Libertinus fait référence à un esclave libéré. Sganarelle C’est un personnage fondamental de la pièce, le valet de comédie. Peut-être est-ce pour cela d’ailleurs que Molière le jouait lui-même sur scène ! On peut voir en lui un double de Dom Juan, un peu à la manière de Sancho Pança aux côtés de Dom Quichotte. Il est d’abord un homme du peuple, à travers son langage,

les procédés de style et caractéristiques d'expression. 2. Cas particulier de l'essai argumentatif. l'analyse du libellé de la question vous indique à quel niveau on vous incite à entrer dans le débat. -rendre compte: observer, reformuler, résumer. Vous ne vous impliquez pas personnellement, vous paraphrasez le texte dans son contenu, vous en modifiez la forme. -prendre en compte: rechercher des arguments, étayez...Vous ne vous impliquez pas personnellement, car vous approfondissez les propos

adaptation moliéresque de la légende faisait donc office d’œuvre provocatrice dans la lignée du Tartuffe. Un sonnet témoigne des attaques extrêmement virulentes auxquelles Molière fut confronté . De même, Conti dans L’Avertissement de son Traité de la Comédie et des spectacles, selon la tradition de l’Eglise , s’en prend au Dom Juan moliéresque, et à L’Ecole des femmes, les considérant comme « une école d’athéisme ouverte ». D’Aubignac, dans sa Pratique du théâtre , estime que la pièce a « donné beaucoup

lui, d’une condition ou encore d’un état, mais d’un acte. Il relève d’un « faire » humain, si l’on en exempte tout être surnaturel ou divin. Il s’agit de la transgression des lois morales qui définissent ce qu’est le bien, la norme du comportement. Dans un langage religieux, nous parlerons de « péché », puisque le mal moral consiste alors à transgresser les lois divines. Dans le langage technique de St Thomas d’Aquin (cf. Somme théologique, question 48, ad 1 et 2) reprenant Aristote (cf. Catégorie

dans la Poétique d'Aristote de l'antiquité. (Boileau fait la synthèse de ces théories classiques dans l'Art Poétique) : ils en font un argument d'autorité. Les genres prestigieux sont ainsi valorisés : l'épopée ; dramatique : la tragédie, puis la comédie. Le roman reste un genre sans légitimité : il y a un déficit de statut, il n'a pas d'existence théorique. L'académie conserve un prestige et une influence sur les hommes de lettres qui au 18e qui n'ont pas les moyens de vivre de leur plumes : ils