Sacre Et Religion Royale

révoltes marque une brutale réaction face à la montée de l’autorité monarchique en France commencée sous Henri IV et Louis XIII puis renforcée par la fermeté de Richelieu. Après la mort de Richelieu en 1642, puis celle de Louis XIII en 1643, le pouvoir royal est affaibli par l'organisation d'une période de régence, par une situation financière et fiscale difficile due aux prélèvements nécessaires pour alimenter la Guerre de Trente ans, par l'esprit de revanche des grands du royaume, domptés par la poigne

ces pouvoirs ne viendraient pas d'en haut, d'une dissociation terri. mais ils viendraient d'en bas, si les seigneurs ont pris le pouvoir ce n'est pas tellement à la suite d'une usurpation au détriment du roi mais à la suite d'une carence du pouvoir royale a la fin de l'époque carolingienne. Chaque fois que un pouvoir qui est constitué en droit décline et ne remplit plus sa fonction, il émerge un pouvoir de fait qui est nécessaire au maintient de l'ordre sociale. Le régime seigneurial c'es ainsi formé

nouvelle politique qui répondra à un programme de pénitence, de purification que ce soit de l'ordre moral et de l'ordre religieux et qui affectera l'ensemble de son royaumes et de ses sujets. D'ailleurs ça sera le principal instrument de la politique royale suite à la 7ème croisade de Louis IX, les ordonnances vont prendre une place importante dans la politique de Saint Louis et on va en avoir une série qui vont s’enchaîner dans les années suivant cette Grande Ordonnance de 1254. La multiplication et

suzerainetés concurrentes. Le roi est un roi seigneur, qui domine la féodalité, le primus inter pares, le seigneur des seigneurs. Le roi reste radicalement au-dessus de toutes les hiérarchies selon les légistes il est « sires de la loy » que les officiers royaux imposent à travers tout le royaume et ce jusqu’à la Révolution. Il y a cependant des entraves à l’unité. Au début du XVIème siècle, les hommes du souverain font en sorte que les grands féodaux perdent l’essentiel de leurs droits régaliens. Ils exigent

Charles IX en 1561, son père Antoine de Bourbon l'amène vivre à la cour de France. Il y côtoie le roi et les princes de maison royale qui sont de son âge. Il est l'un des objets du conflit qui oppose ses parents en désaccord sur le choix de sa religion, sa mère désirant l'instruire dans le calvinisme et son père dans le catholicisme. Durant la première guerre de religion, Henri est placé par sécurité à Montargis sous la protection de Renée de France. Après la guerre et le décès de son père, il est

pays n’a pas forcément été une catastrophe. §I : Le roi. La res publica, inventé par les romains, est l’état. Il se trouve que la période mérovingienne connait plutôt un creux. Voyons la conception mérovingienne du pouvoir royal. A. La nature du pouvoir royal. A première vue la différence entre la conception mérovingienne du pouvoir et la res publica romaine peut paraitre flagrante. On accuse souvent les rois mérovingiens d’avoir causé la disparition de la notion d’état. C’est quoi

signification majeure, tant pour les contemporains de Clovis que pour leurs descendants. Le baptême est un sacrement qui efface le pêché originel marquant l’entrée du baptisé dans l’Eglise. Il est un sacrement. Il ne s’assimile pas pour autant à un sacre. Le symbole renvoie à un signe figuratif, être animé ou chose, qui représente un concept, qui en est l’image. La portée, quant à elle, correspond aux conséquences, aux répercussions d’un acte dans le futur, capacité qu’il représente à produire un effet

la physiocratie. C’est dans le cadre de cette doctrine qu’un secrétaire d’Etat au département de l’agriculture mène son action entre 1763 et 1780 : Bertin. Il est sans doute le 1er physiocrate qui va tenter de faire mettre en œuvre par le pouvoir royale une doctrine économique fondé sur la physiocratie. Bertin, comme les physiocrates s’élève contre un certain nombre de pratique agricole ancestrale qui selon lui réduise a néant le dynamisme agricole. En effet, l’agriculture du royaume est caractérisée

roi) § 1. La conception du pouvoir royal (théorie) A. Le poids de la tradition germaniqueLes francs sont les membres d’un peuple d’origine germanique, au milieu de cette période troublée ils vont être utilisés comme des alliés des empereurs romains En revanche les coutumes des peuples germaniques ont laissé peu de traces contrairement aux coutumes romaines Influence de la tradition germanique reste très forte sur la conception du pouvoir royal Tradition germanique dont on retrouve

siècle apparaissent de grandes principautés territoriales dirigées par des dynasties d’anciens agents royaux devenues autonomes et qui se transmettent leur pouvoir de manière héréditaire. Le domaine sur lequel il exerce effectivement son pouvoir est réduit a un territoire exigu entouré de principautés qui lorsqu’elles ne lui sont pas hostiles lui sont autonomes. Ils étaient jusque la des agents royaux, mais ils gouvernent maintenant pour leur propre compte puisque le roi n’est plus capable de leur appliquer