Sacre Et Religion Royale

dessus de la mêlée. Il est un conflit permanent de valeurs, d’intérêts et de passions, il est une recherche incessante de la justice et de la paix. Le droit n’est pas neutre, nous non plus.» → laïcité = 1905 en France, émancipation du droit de la religion → finalités droit = éviter l’anarchie et assurer la sécurité au sens large (organiser la vie en société, éviter l’insécurité), + justice que ordre→ Imaginer société sans droit = Jean de Meun, poète français, Roman de la rose (1268 – 1278), utopistes

(823-825) : Extraits d’un capitulaire de Louis le Pieux. Problématique : Comment Louis le Pieux, à travers ce capitulaire, affirme son pouvoir dans un empire troublé après la mort de Charlemagne ? I) Ministère royale a) Louis le Pieux propose une définition du ministère royale Lignes 5 et 6 « ce ministère réside en notre personne, on sait cependant qu’il a été réparti, par l’autorité divine et l’ordre humain, de manière que chacun de vous participe en son lieu et sa place (ordo) à notre

fils du roi des francs mais quelqu’un choisie dans une autre famille car il aurait était désigné comme étant d’avantage charismatique. On parle à ce sujet de monarchie élective. Le roi franc possède également une légitimité religieuse, la famille royale était considéré comme étant entretenue, un rapport privilégiés avec les dieux, puis avec le Dieu lorsqu’ils sont devenues chrétiens. Ce rapport privilégié accorde au roi les qualités nécessaire pour remplir sa fonction. Cette légitimité ce matérialise

France. En effet Clovis, 1er roi mérovingien, inaugure la politique d’alliance entre le pouvoir royale et l’église catholique. Cette union entre le pouvoir temporelle et spirituelle est l’union du trône et le l’autel. Pilier essentiel du pouvoir royal jusqu’à la révolution. A la fin du 5ème siècle, entre 496 et 499, Clovis, un des rois barbares de la Gaule, prend la décision de se convertir à la religion chrétienne et se fait baptiser en même temps de ses guerriers (3000) par l’évêque de Reims, Rémi

La religion aux XVIIème et XVIIIème siècles : les Protestants, les Quiétistes, Les Jésuites, Les Jansénistes et les Molinistes : définitions et principes de foi. La religion désigne l'ensemble déterminé de croyances et de dogmes définissant le rapport de l'homme avec le sacré (dogmes: Opinions données comme certaine, intangible et imposée comme vérité indiscutable ). Cette ensemble de croyances et de dogmes a depuis toujours eu un impact sur les sociétés. Ces croyances divines existe depuis l'an

conseil suprême de la cité: elle est composé de chefs de grandes familles aristocratiques). Elle détient un pouvoir particulier, Auctaritas détient l'autorité sur tout ce que fait le Sénat qui est inspirée par les Dieux c'est une autorité morale et sacré). Au début de la République, seuls les Patrès faisaient partie du Sénat, mais a la fin du 4è S, le Sénat s'ouvre aux Pébléiens et a pour conséquence, l'apparition d'une noblesse Pébléienne, ils (les Patrès) entrent au Sénat. Les Magistrats de la

 COMMENTAIRE DE TEXTE : PIGANIOL DE LA FORCE, Nouvelle description de la France…, Paris, édition de 1718 [B.N 8° L15 17], p. 55-61. Le sacre de Louis XIV le 7 juin 1654 Louis XIV, trop jeune pour être sacré roi de France, il doit attendre d’avoir seize ans pour occuper le trône. C’est sa mère, Anne d’Autriche, qui obtient le rôle de Régente, accompagnée du Cardinal Mazarin. Le 7 juin 1654, le jeune monarque peut enfin accéder à ses pouvoirs, et une cérémonie

pouvoir sur le divin. Fonction à la fois religieuse et politique : titre de grand pontife (chef des religieux) et il dispose de l’imperium (permet de gouverner sur tout l’Empire). « Monopole impériale de la monnaie d’or » Une remise en cause de la religion romaine et la question de la désignation de l’Empereur : un affaiblissement du Royaume (élu par le Sénat, mais pression militaire). Certains Empereurs voulaient mettre leurs héritiers. Code romain : code machiste, la femme n’a donc pas de place

pouvoir sur le divin. Fonction à la fois religieuse et politique : titre de grand pontife (chef des religieux) et il dispose de l’imperium (permet de gouverner sur tout l’Empire). « Monopole impériale de la monnaie d’or » Une remise en cause de la religion romaine et la question de la désignation de l’Empereur : un affaiblissement du Royaume (élu par le Sénat, mais pression militaire). Certains Empereurs voulaient mettre leurs héritiers. Code romain : code machiste, la femme n’a donc pas de place dans

autoritaire, despotique, une monarchie sans limites. Cette idée développée par les historiens du XIXe siècle est pour le moins contestable. Ainsi, en 1519, Claude de Seyssel rédige son ouvrage La grand’monarchie de France qu’il dédie à François Ier, sacré roi de France en 1515 et considéré comme le premier grand souverain absolutiste. La rédaction de La grand’monarchie de France se traduit par de multiples ordonnances et réformes, mais aussi par la prise de pouvoir du roi sur l’Église puisque celui-ci