Saint-Tite

construit par Romulus à l’emplacement du Mont Palatin sur le Tibre le 23 avril -753 av. J.-C. c’est a partir de cette date un peu inventée que les Romains comptèrent les années. Deux façons de décrire la légende sont connues : Selon la légende reportée pas Tite-Live, Procas, le roi d’Albe la Longue, avait deux fils : Numitor et Amulius. A la mort de leur père, l’héritage fut partagé a parts égales : L’aîné Numitor obtint le trône, alors qu’Amulius, le plus jeune, récupérera les richesses et l’argent paternel

protection des dieux), et sont découverts sous un figuier sauvage (le Ficus Ruminalis) situé devant l'entrée de la grotte du Lupercale, au pied du Palatin, par une louve qui les allaita[8],[9]. Un pivert, l'oiseau de Mars[10],[11], veillait sur eux. Tite-Live[12] et Plutarque[13] rapportent une autre explication de la légende : les jumeaux auraient été découverts dans la grotte du Lupercale par le berger Faustulus, gardien des troupeaux d'Amulius. Celui-ci les aurait confiés aux bons soins de sa femme

Porsenna dans l’Énéide qui correspond à une des scènes qui évoquent l'instauration de la République avec ses héros, ses personnages et ses événements. Mais l’épisode que conte Virgile appartient à une longue traditon de récit, au même titre que ceux de Tite-Live, Plutarque ou encore Aurélius Victor sur cette période de 509-474 (date qui correspond à la bataille de Cumes), dont la question majeur et énigmatique reste celle du changement de régime : le passage de la royauté sacrée à un régime dans lequel

les principales données chronologiques et nombre de précisions biographiques. Pour relater le passage précis de la mort de Cicéron, Zweig s’est en outre référé au fragment de l’Histoire de Rome de Tite-Live (Ab Vrbe Condita, CXX), qui nous a été transmis par  Sénèque le Rhéteur (Suasoriae, VI, 17). Tite-Live propose en effet une description très précise des derniers instants vécus par l’orateur, et Zweig le suit de près en indiquant notamment les dernières paroles que Cicéron adressa à ses esclaves

séparément des vers sur les amours de Bérénice. Malheureusement pour Corneille, la Princesse Henriette d'Angleterre préféra la tragédie de Racine intitulé « Bérénice » à la sienne, « Tite et Bérénice ». Malgré le grand succès de « Bérénice », composé par Racine, Molière, bon ami de Corneille, décida d'interpréter « Tite et Bérénice ». La notoriété et le succès de Racine augmentent de plus en plus, ce qui commence à faire de l'ombre à Corneille. A la fin de cette même année, Molière ayant reçu la responsabilité

qu’ont importé les romains par leurs croyances et les différentes influences des civilisations extérieurs. Nous avons ici un texte de l’ouvrage de l’histoire romaine écrit par Tite-Live et qui a été traduit par plusieurs auteurs dont J.Bayet, G.Baillet et R.Bloch dans les belles lettres, dans la collection CUF en 1940. Tite Live est un historien de la Rome Antique né en 59 av. J.-C. et décédé en 17 ap. J.-C. dans sa ville natale de Padoue (Paduvium en latin). Auteur de œuvre de l'Histoire romaine

Tite-Live est né en 59 avant J-C, à Padoue .Il est décédé en 17 après J-C. C’est un historien de la Rome antique. C’est le fils d’une riche famille. Il fait tout d'abord des études de rhétorique qui l'amènent à Rome. Il se consacre finalement aux lettres. Malgré ses convictions républicaines, il est très proche d'Auguste qu'il va d'ailleurs aider dans son entreprise de réhabilitation de la grandeur de Rome. Dans ses cent quarante-deux livres que composent son Histoire de Rome, dont seuls des fragments

Machiavel y commence son Discours sur la première décade de Tite-Live, où, parlant de l’Antiquité, il dresse en fait une critique de la situation politique italienne de son époque. L’année suivante, il interrompt la rédaction des Discours… pour écrire, en 1513, son ouvrage le plus célèbre, Le Prince (en italien : Il Principe), qui, pour ne pas être mal interprété, doit être lu en parallèle avec ses Discours sur la première décade de Tite-Live, ouvrage explorant à la lumière de l'exemple de Rome

survivent (par la probable protection des dieux), et sont découverts sous un figuier sauvage (le Ficus Ruminalis) situé devant l'entrée de la grotte du Lupercale, au pied du Palatin, par une louve qui les allaita et par un pivert, l'oiseau de Mars. Tite-Live et Plutarque rapportent une autre explication de la légende : les jumeaux auraient été découverts dans la grotte du Lupercale, par le berger Faustulus, gardien des troupeaux d'Amulius. Celui-ci les aurait confiés aux bons soins de sa femme Larentia

Ce document relate les édits du sénat du 7 octobre 186 avant notre ère, concernant la pratique du culte des Bacchanales, le culte de Dionysos-Bacchus, dieu de la démesure orgiastique[1]. Nous connaissons aussi les évènements grâce au récit de Tite-Live, historien romain ayant vécu en l'an ~59 env.-17, qui les rapporta dans son livre Histoire de Rome, aussi connu sous le titre original de Ab urbe condita libri[2]. Avant toute chose, il est important de situer le contexte socio-historique