Salaire

Commençons par traiter le risque de troubles sociaux. Le manque de textes qui encadrent les salaires laisse le champ libre aux entreprises pour fixer les salaires des employés. Ce qui signifie que l’employé n’est pas protégé contre tout abus de l’employeur et court le risque de percevoir des salaires trop bas. De plus, ce manque de politique salariale risque d’entraîner une trop grande disparité entre les salaires des ouvriers et celui des cadres puisque l’Etat ne joue pas son rôle de régulateur. Ceci

frais de formation et du salaire. La prise en charge dépend du montant du salaire et des frais de formation. L’employeur qui accepte le CIF, il continue à verser l’intégralité du salaire de sa salariée et avance les frais de formation. Mlle Caton touche un salaire brut mensuel de 1500€, l’Opacif prend en charge la totalité de son salaire Durand le temps de la formation car son salaire est inférieur à deux fois le SMIC. Ensuite l’Opacif rembourse à l’employeur le salaire versé ainsi que les frais

l’agence d’intérimaires et 1/3 par l’entreprise dans laquelle sont survenus les accidents. Les indemnités compensatrices : Elles sont équivalentes à 40 % du salaire de l’accidenté. Le coût de remplacement : C’est le remplacement de l’accidenté durant son arrêt de travail. Remarque : A tous ces coûts il faut cependant enlever le salaire de l’accidenté, non versé pendant la durée de l’arrêt de travail. La ou les visites de reprise : La visite de reprise est obligatoire pour un arrêt de travail

le niveau e e du salaire r´el, chaque travailleur ´tant suppos´ faire un choix entre son embauche et les satisfactions e e e qu’il pourra retirer du salaire qui lui sera vers´. Plus le salaire r´el est ´lev´, plus l’offre de travail sera e e e e grande. Ainsi, l’offre de travail est une fonction croissante du taux de salaire r´el. e La demande de travail ´manant des chefs d’entreprise r´sulte d’un calcul ´conomique mettant en e e e rapport le coˆt du travail, c’est-`-dire le salaire pay´, et le produit

197 dollars. Une partie de ce salaire plus élevé provient d’une efficacité accrue au travail. « Lorsque j’ai commencé au tout début, je n’étais pas aussi rapide ». dit-il. Mais une bonne partie correspond à une augmentation du salaire de M. Zhang, à savoir 1.45 cents pour chaque selle de bicyclette au lieu de 1.32 cents. Cela représente une petite différence qui implique un changement majeur. Les salaires chinois augmentent. Il n’existe aucun chiffre fiable de salaire moyen. Les dernières données

/ ! 1 :~' .:....r -- COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE DU CHARBON ET DE L'ACIER HAUTE AUTORITÉ COLLECTION D'ÉCONOMIE DU TRAVAIL , ~~\ ·~ ~ w:>~t l':.~;._~~ I LES SYSTÈMES DE LIAISON DES SALAIRES i la production, au rendement et à la productivité dans les industries de la communautè .. :( b 0 ù • LUXEMBOURG - MARS 1962 En vente chez les principaux libraires LES SYSTÈMES DE LIAISON DES SALAIRIS à la production, au rendement et à la productivité

à gagner à travailler, c’est tout de suite penser au salaire, c’est-à-dire à la rétribution échangée contre l’effort que le travailleur consent à effectuer. Pourtant, envisager les choses sous cet angle, c’est réduire au moins deux fois le travail. D’une part parce que même si la soi disant sagesse populaire affirme volontiers que tout travail mérite salaire, on sait bien qu’il existe un travail non salarié. D’autre part parce que si le salaire vient compenser l’effort produit par le travailleur,

marché du travail fonctionne pareillement que les autres marchés c’est‐à‐ dire grâce à la confrontation des comportements et des calculs de tous les participants. Le prix de marché qui découle de ce jeu de l’offre et de la demande est le taux de salaire associé à telle ou telle catégorie de travail. La confrontation de l’offre et de la demande conduit à des situations d’équilibre (ou de déséquilibre) du marché du travail. L’équilibre dont il est question dans le modèle de base est caractérisé par

Productivité (tonnes par travailleur) 1 10 10 Emploi 100 200 2 2. Un partage des gains de productivité favorable à l’emploi (voir document 2 poly ou livre page 103 document 3) PT Gdp - prix + demande globale +PIB + emploi + salaires + profits a. La baisse des prix. Du progrès technique à la baisse des prix. Le progrès technique permet d’accroître la productivité. Produire coûte donc moins cher. Cette baisse des coûts de production peut se traduire

productive II Toutefois la flexibilité en particulier salariale présente un certain nombre de dangers A La baisse des salaires et la précarisation suscite la résistance des salariés ce qui augmente les risques de conflits social B Elle démotive les salariés (théorie du salaire d’efficience. + rupture du « contrat implicite » modération salariale / sécurisation des revenus C ↑salaires au niveau macroéconomique ⇒↓de la demande effective ⇒récession voire dépression (cf. J.M Keynes) 6.Dans quelle mesure