Salpêtrière

psychiatrie en 1883. 1884 : Mariage avec Martha Bernays avec qui il aura plusieurs enfants dont Anna qui deviendra psychanalyste, Octobre 1885 - février 1886 : Bénéficiaire d'une bourse, il se voit offrir la possibilité de partir en stage à la Salpêtrière à Paris auprès du neurologue Joseph CHARCOT. Il approfondit alors sa connaissance de l'hystérie et de l'hypnose. 1895 : la collaboration avec Joseph BREUR amène à la parution d' « Études sur l'hystérie » où le cas d'Anna O. y est largement étudié

croire alors que puisque les sujets atteints étaient en majorité des femmes, l’origine devait être organique et plus particulièrement utérine. Charcot lui-même prônait ce point de vue à l’origine, mais avec Pierre Janet, l’un de ses étudiants à la Salpêtrière qui défendait le point de vue qu’il puisse s’agir d’une origine mentale, ils développèrent des travaux sur l’hystérie qui leur valurent une grande renommée. Leur technique d’hypnose inspirera Freud lors d’un passage à Paris. La Grande hystérie

de la pratique à l’hôpital et de la théorie en école débouchant que un diplôme, avec l’action du Dr Désiré Magloire Bourneville afin de remplacer les religieuses et d’augmenter le recrutement du personnel laïc, d’où l’ouverture des écoles de la Salpétrière et de Bicêtre favorisant « un personnel instruit et respectueux de la liberté de conscience ». A ce jour, la pratique infirmière dépend des employeurs et des médecins. Saint Vincent de Paul et le Dr Bourneville décident donc de former des servantes

de la société et de l’hôpital. L’engagement d’infirmières pionnières. 1870-1914 : les prémisses d’une nouvelle profession. Mouvement de laïcisation Loi de 1867 faisant obligation de scolariser les filles. 1878 : création d’écoles d’infirmières : Salpetrière, Bicêtre, Lariboisière sous influence du Dr Bourneville. Il faut des connaissances pour assister le médecin = enseignement théorique. Comportement exigés, conduites à tenir et savoir-faire = enseignement pratique. Loi de 1893 instituant l’assistance

d’Epsom. Le thème du cheval, est un sujet central de son œuvre du début et surtout vers la fin de sa vie. En décembre 1821, le peintre revient à Paris. Il commencera dès lors une série de peintures sur le thème de la folie. Son ami médecin-chef de la Salpêtrière et pionnier en études psychiatriques, Étienne-Jean Georget, lui propose de peindre les portraits de dix malades, Plusieurs œuvres seront ainsi produites dont L'aliéné avec monomanie du commandement militaire qui montre un homme ancien soldat de

personnages types mais pas seulement (+ des adjuvants et opposants) ; le message à faire passer au spectateur ; le grand nombre de décors (la maison familiale, l’appartement à Paris, celui de Chaillot, les prisons de St-Lazare et du Châtelet, La Salpêtrière, l’Amérique, les différents et nombreux lieux de voyages durant les transports/changements de villégiatures, etc) … c’est une véritable peinture de la réalité que nous offre l‘abbé Prévost à travers ce récit: l‘auteur semble alors essayer d’ « instruire

qui portent sur le pathologique : psychose, névrose, folie, dégénérescence. Germinie Lacerteux, des frères Goncourt, est le premier exemple d’étude de la femme hystérique. Guy de Maupassant suit les cours de Charcot[1] sur la neurasthénie à la Salpetrière de 1884 à 1886. Il s’en inspire pour écrire toutes ses nouvelles sur l’aliénation, dont Le Horla (1887). La genèse du naturalisme Le mouvement naturaliste prend son élan en 1865 avec trois événements : la parution de L’Introduction à la médecine

plus scientifique et explicative pour parler du langage. Il s’intéresse à l’œuvre de Ferdinand de Saussure mais les explications de ce dernier sont trop théoriques. Olivier Sabouraud est un neurologue ayant étudié les patients aphasiques à la Salpêtrière. Pour lui les classifications des aphasies étaient d’ordre neurologique (aphasie motrice, aphasie sensorielle) en relation avec des fonctions cérébrales particulières. Mais en expliquant comment marche le cerveau on n’explique pas comment fonctionne

thème du double, présent dans la littérature fantastique depuis Hoffmann, en se servant des dernières réflexions scientifiques et médicales à la mode, notamment l’hypnose et les travaux sur l’hystérie de Charcot dont il suivait les séances à la Salpêtrière.[réf. nécessaire] La domination du Horla sur le narrateur[modifier | modifier le code] Au début de l’histoire on se demande s'il est possible de maîtriser le Horla. Le narrateur ne sait même pas s’il existe (emploi du pronom « on » pour le désigner)

voie à des études sur les troubles fonctionnels indépendants de l’état de l’organisme. Il a fait des travaux sur l’hystérie et crée un labo pour Pierre Janet. Pierre Janet : pionnier de la psychologie clinique Il occupe le laboratoire de la Salpétrière, il est le promoteur des études sur des conduites. Il propose un mode de fonctionnement du psychisme reposant sur 2 types d’activités : -automatisme psychologique : si elle domine elle provoque des états somnambuliques et hypnotiques ; conscience