Sanskrit

l'ensemble des enseignements du Bouddha dans la Sangha, la communauté des adeptes sur le chemin de l'Éveil ou du Nirvāna. À l'origine le bouddhisme n'est pas vraiment une philosophie ou une religion, mais une « leçon des choses » : dharma en sanskrit désignant à la fois la réalité ultime, sa loi naturelle, et l'exposé qui en est fait. Le discours fondateur du bouddhisme enseigne quatre « nobles vérités » : la vérité de la souffrance ou de l'insatisfaction inhérente à notre condition actuelle

cheval-vapeur et du cheval fiscal. Étymologie La racine indo-européenne du mot « cheval » est *h₁éḱwos, tous les termes issus de la langue indo-européenne primitive pour désigner le cheval en dérivent148, tel le latin classique equus149 et le sanskrit ásva150. Le terme « cheval » dérive du latin populaire caballus et désigna d'abord un « mauvais cheval », puis un hongre et, populairement, un « cheval de travail »2. Ce mot dont l'usage est attesté au IIe siècle est probablement d'origine gauloise151

du cerveau", en quelque sorte il est le moteur de notre organisme. Cette saveur n’a cessé d'avoir un rôle accrût dans la société. Le mot sucre vient de l’italien zucchero attesté dès le XIIIe siècle. Il est emprunté à l’arabe sukkar, qui vient du sanskrit sárkarā (« sucre »). Les premières cultures de sucre démarrent entre 10 000 et 6 000 av. J.C. en Inde, dans le Pacifique sud sous forme de canne à sucre. Ce sucre fut découvert par Néarque 325 avant J.C. Il le définissait comme : « un roseau donnant

l'existence de grandes familles généalogiques des langues (de vingt à deux cent, leur nombre varie selon les auteurs). Le français est classé dans la branche des langues dites indo-européennes, telles l'italien, l'allemand, le gaélique ou encore le sanskrit. Celles-ci auraient une base commune, une langue mère, appelée l'indo-européen (souvent abrégé en i-e). Certains linguistes, comme Emile Benveniste, ont tenté de la reconstruire grâce aux méthodes de la grammaire comparative, car cette langue n'est

qui sont hindous) -> résiduel, on l’applique encore (en inde on trouve aussi une sorte de common law), on sent la proximité géographique, on le trouve dans les fondements de l’hindouisme et dans lalangue du hindouisme qui est le sanskrit -> dans le sanskrit -> mot de droit n’existe pas -> de façon proche du confucianisme, on n’a pas besoin du droit -> règles sociale -> règles de droit va se trouver dans ces règles de vie/dans la religion, notamment dans les livres sacrés ->

belle n’agit-elle pas comme un vampire ? Bibliographie : histoire des vampires Autopsie d’un mythe, Claude Lecouteux Somadeva, Contes du vampire, traduit du sanskrit par Louis Renou, Connaissance de l'Orient, Gallimard-Unesco, Paris, 1985 Orit Kamir, Every Breath You Take: Stalking Narratives and the Law, University of Michigan Press,‎/ Richard Noll, Vampires, Werewolves and Demons: twentieth century reports

Karamchand Gandhi, leader indépendantiste indien L'indépendance des Indes fut accordée en 1947 par le gouvernement britannique. Elle fut largement préparée par l'action non-violente de Mohandas Karamchand Gandhi. Le « Mahatma » (« Grande âme », du sanskrit mahā, grand et ātman, âme) est l'un des pères fondateurs de l'Inde moderne et un défenseur de la non-violence comme moyen révolutionnaire. Le 15 août 1947 l'Inde est devenue un dominion dans le Commonwealth, sous la direction du premier ministre

puisque Jésus s'affichait comme tel, condamné par les Pharisiens comme un blasphème intolérable et qui menèrent Jésus à être crucifié (mourant comme un païen, la lapidation étant la mort des Juifs), se traduit exactement par le terme d'« avatar » en sanskrit, de « descente ». Les Hindous considèrent que les Chrétiens comprennent Jésus avec le point de vue judaïque (alors que la notion d'incarnation n'existe pas dans le judaïsme : le Messie des Juifs est un prophète, pas un Dieu incarné sur Terre), tandis

L’origine du mot Samarcande est l’expression « lieu de rencontre » ou alors, selon le cas « lieu de conflit » car « samara » signifie à la fois « rencontre » et « conflit » en Sanskrit (langue indo-européenne de la famille indo-iranienne, autrefois parlée dans le sous-continent indien, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Sanskrit ). C’est en tous cas le point de rencontre des cultures turque et perse. 47 C’est aux Archives de Marseille qu’est conservé le registre de minutes du notaire Giraud AMALRIC,

pas de réponse immédiate. Il était tellement évident que la langue servait à communiquer que cette donnée n’était pas considérée comme problématique. Linguistique n’existe que depuis le 19ème siècle, depuis la démonstration faite par BOPP que le sanskrit, le grec, le latin et l’islandais remontent tous à une langue ancestrale commune : l’indo-européen. La démarche de la grammaire est essentiellement normative et peut être dangereuse. Quand certains humanistes du 16ème siècle poussèrent la grammaire