Sartre Liberté

destin, tout est prédéterminé, écrit d'avance, soit on naît libre et notre liberté se réalise d'elle même au fil de notre existence, ou on a à devenir libre c'est-à-dire à conquérir nôtre liberté. Mais dans ce cas comment devenir libre, si cette qualité ne préexiste pas chez l'homme, même si de par les obstacles que nous rencontrons dans l'existence, nous avons toujours à nous faire libre c'est-à-dire agir afin que la liberté comme qualité motive ne reste pas à l'état de simple possibilité mais soit

La philo. Comporte plusieurs zspect Être maître de soi est une condition nécessaire a la liberté d'un individu. Or, comme le prétend la thèse de Descartes la conscience ainsi que la volonté fonde la liberté car le sujet est libre dans la mesure où il se sent libre lorsqu'il choisit: il est indépendant. Un être dépourvu de conscience de soi ne serai alors pas libre car incapable de faire des choix réfléchis. Être conscient de soi est donc une condition pour être maître de soi. Mais est elle suffisante

avoir comme finalité un intérêt commun, bien évidemment ne provoquant pas le bonheur (ne délivrant pas des troubles de l’esprit, et donc ne provoquant pas l’Ataraxie d’Épicure) avec par exemple une volonté de justice, ou de maintien du respect des libertés fondamentales. Il se pose alors un problème de conflit entre les valeurs (par exemple, conflit entre le bien et la vérité). Quelle est la valeur la plus haute? Dois-je toujours agir pour le bien?Il est finalement posé comme postulat que la vérité

Philosophie de Sartre Le mot clé de la philosophie de Sartre est « l’existence précède l’essence ». l’existence : l’essence : La nature d’une chose - les actes Son être profond - la conscience d’agir, d’être Le fondement L’être humain (lien avec la conscience) existe ≠ les choses sont Rien ne me prédéfinit (a priori) Ce sont mes actes, tout au long de ma vie, qui vont me définir mon essence/ma nature L’être humain se crée librement par ses actes, il n’y a pas de destin prédéterminé

apparaît comme la socle de la philosophie cartésienne. Avec DESCARTES, le doute apparaît comme un outil philosophique de qualité, c’est d’ailleurs le pris à payer de la conscience réfléchie. 2. Conscience de soi et conscience du monde, SARTRE. L’analyse de la conscience de soi ne peut être dissociée de la conscience du monde. C’est dans le même mouvement que je perds conscience de moi-même et de ce qui m’entoure : lorsque je m’endors. Reprendre conscience, c’est revenir simultanément

éthique, bien observé et analysé la situation (technique). Interdit Loi universelle IL (Valeurs) Liberté (JE) TU (reconnaissance)  L’éthique c’est une réflexion personnelle L’éthique se fait d’abord au niveau du « je ». Jamais « on ». « Je »  responsable de l’action. Je prouve ma liberté à travers des actions. Sartre : avoir, faire, être. La liberté on la voit à travers du « faire » et non du « être ». Ethique toujours par rapport à un cas concret. Pas d’éthique

Thèse de Hegel : la conscience ne peut se construire qu’en s’opposant à d’autres consciences. Autrui est nécessaire à la constitution même de la conscience de soi. L’autre est le médiateur, celui qui me permet d’accéder à ma propre conscience. Sartre : « L’intuition géniale de Hegel est ici de me faire dépendre de l’autre en mon être. Je suis, dit-il, un être pour soi que par un autre ». Qu’entendre par conscience de soi ? Une pure identité de soi à soi. La connaissance qu’un sujet

,, En effet, la liberté suppose le refus de toute contrainte. Rappelons le sens étymologique (Liberare, liber, libra) qui signifie un choix à faire et réalisé sans contraintes. Que serait un obstacle pour l'Homme ? Ce serait avoir une difficulté à atteindre le but visé, ici la liberté. Dans ce cas, on se retrouve face à deux contradictions : la liberté et la contrainte. On peut se demander cependant si être libre, est-ce réellement ne rencontrer aucun obstacles, la liberté n'a-t-elle pas de limites 

soi, débouchant sur un sentiment d’identité et de personnalité. Il existe aussi pour soi. Cette conscience est la ligne de démarcation entre l’homme et l’animal ET c’est d’elle que découle toutes les caractéristiques de l’homme : - Sartre fait découler la liberté de la conscience, comme capacité de néantiser ce qui est pour être ce qu’elle n’est pas. - l’homme est un animal conscient, capable de s’opposer au monde, de le nier ; c’est-à-dire de le penser et en tant qu’esprit prendre le contrôle

L’esprit est aussi libre de contraintes. La pensée peut s’exercer librement. Idéalisme : les idées et l’esprit sont la seule réalité. Ce n’est qu’en tant que les choses sont perçues par une conscience (raison) et par un sujet (je) qu’elles existent. Liberté   Par la seule raison, nous avons le pouvoir de distinguer le vrai du faux. C’est ce qui nous permet de faire des choix. Libre arbitre: Faculté de se déterminer sans autre cause que la volonté, hors de toute sollicitation ou contrainte extérieure