Satire Limites

footballeur des années 80 devenu célèbre avec son « Je voudrais bien un cacolac » et de nos jours « Carla Bruni-Sarkozy » dont le consensualisme moue est charrié à chacune de ses apparitions. C. Le détournement Le détournement est une forme de satire qui permet de s’attaquer aux marques et aux institutions. La dernière en date consistant à relater le tour du monde en 80 jours de Phileas Phog qui arrivait en France au bout de 76 jours à eu le tort de prendre les chemins de fer français pour rentrer

certaines de ses pièces sont grinçantes et que, comme le disait Musset à la sortie du Misanthrope : «  quelle mâle gaieté, si triste et si profonde que  lorsqu’on vient d’en rire on devrait en pleurer. »     De fait certaines pièces de Molière sont à la limite du tragique. Son humour est satirique et lui inspire des couplets amers contre les mœurs de son siècle. Il dit toute sa colère contre les hypocrites, contre les misanthropes, les pédants…     La gravité de son théâtre tient surtout à son réalisme :

l’Académie »/groupe nominale : Fontenelle, grand ennemi de Voltaire « rien inventé », « petite taille » /adjectif : il se moque de lui par la grandeur. c) Le conte -« le procès dura 220 ans », « un ado de 450 ans » : lieu et temps en dehors des limites humaines -« 8 lieues de haut »/hyperbole : personnage hors du commun -« voyage d’un habitant du monde »/merveilleux : extra-terrestre -« dans une de ces planètes qui tournent »/formule introductrice (imparfait) : topos du conte = récit merveilleux

médiévaux par la tradition ancienne. Au moyen âge, les mystères (avec souvent des scènes réalistes et comiques), les miracles (édifiants et religieux), la moralité (édifiante et satirique), monologue comique (sermon joyeux plein de verve), la sotie (satire et fantaisie bouffonne), la farce surtout. Ces genres déclinent au XVIème s. souvent condamnés pour leur grossièreté. Les Humanistes méprisent ces vieux genres, Du Bellay préconise le retour à la tragédie ou à la comédie antiques. Les auteurs

certaines de ses pièces sont grinçantes et que, comme le disait Musset à la sortie du Misanthrope : « quelle mâle gaieté, si triste et si profonde que lorsqu’on vient d’en rire on devrait en pleurer. » De fait certaines pièces de Molière sont à la limite du tragique. Son humour est satirique et lui inspire des couplets amers contre les mœurs de son siècle. Il dit toute sa colère contre les hypocrites, contre les misanthropes, les pédants… La gravité de son théâtre tient surtout à son réalisme

Chérubin et le travesti______________________________________________________ 12 Une pièce révolutionnaire ? _________________________________________________ 15 Le Comte, un tyran ridiculisé ? _____________________________________________ 16 La Satire et la Parodie ____________________________________________________ 17 Figaro _________________________________________________________________ 21 Conclusion _______________________________________________________________ 23 Bibliographie _____

images dont je dois faire ici l’histoire, on employait et on emploie encore les termes de caricature, de dessin d’humour, gai ou drôle, de dessin de mœurs, de charge ou de portrait-charge, de gravures comiques, de dessin satirique ou politique, de satire ou d’humour graphique. Certains de ces termes renvoient selon les auteurs à des réalités très différentes, et valent parfois chez d’autres comme synonymes. Le sens de ces mots évolue au fil du temps, des expressions nouvelles apparaissent tandis que

partie que le rire a tout de même ses limites. Le rire est une chose inné cher l'homme. Depuis son plus jeune age l'homme, ou plutôt le bébé rit . De tout temps le rire fut utilisé, au moyen age il y avais les bouffons qui divertissait le roi, au 17e il y a eu Molière qui diverti les foule avec ses comédies ( les fourberies de Scapin, Le médecin malgré lui … ) . Le rire peut exprimer plein de choses. Il y a le rire spontané, le rire jaune, le rire moqueur, la satire, la comédie et j'en passe. L'homme

donc, par un côté, se situer à la limite du tragique. Mais, ce qui étonna les contemporains, ce qui fit l’immense succès des « Précieuses Ridicules », ce fut sa signification satirique. Les petites comédies antérieures à 1659 n’avaient pas coutume de porter à la scène un sujet d’actualité. Elles n’avaient pas d’autre ambition que de faire rire. Molière est le premier qui ait consacré une pièce de théâtre à faire la satire d’une mode, et pire encore, une satire personnelle, et qui atteignait des

jardinier à toute sorte d’insolence : « On jette toute sorte de choses…. ». Dans cet exemple le pronom personnel « On » concerne tout le monde, y compris le comte et la comtesse. Ilne fait pas du tout de différence entre lui et le comte et n’a aucunes limites. Ainsi, Antonio se permet de donner des ordres à son propre « supérieur » : « Faite… », ilen profite même pour lui rappeler qu’il a des devoirs envers lui : « Je suis votre domestique » (aucun signe de soumission). Enfin, il fait des reproches à tout