Saynète Comique

caractères ou les mœurs de ce siècle « De la ville » en 1688 et qui dénonce avec distance et humour les excès et les injustices de la société à laquelle il appartient. Le second est un extrait d’Henri Bergson, Le rire .Essai sur la signification du comique en 1899 Il s’agit de donner à la personne une impression pénible et par conséquent le rire ne peut être empreint d’aucune bonté à l’égard de sa victime. Le troisième d’Axel Khan, L’homme ce roseau pensant en 2007 nous montre que certaines personnes

Commentaire composé Ce texte est un monologue extrait de l’avare écrit en 1668 par Jean Baptiste Poquelin (dit Molière 1622-1673). Molière est l’un des premiers écrivains de pièce de théâtre ayant réussit à allier le tragique au comique. Nombre de ses pièces sont devenues célèbres : Dom juan Tartuffe, Les femmes savantes, l’école des femmes. Chef de troupe, écrivain et grand comédien, Molière est mort sur les planches en interprétant le malade imaginaire. Molière a été rendu célèbre par son incroyable

propre société. Outre le fait qu'il évite la censure aux auteurs, le détour par l'Autre permet une argumentation plus efficace car le lecteur suit une histoire dans un cadre fictif, et en même temps d'imaginer, rêver, rigoler si un registre comique ou ironique de la part de l'auteur s'installe, le lecteur peut faire place à des réflexions comme dans Zadig de Voltaire où nous suivons le voyage et les mésaventures de Zadig dans le monde de l'Orient. Ainsi le lecteur est prit par les sentiments

la tragédie, elle nous vient de l'antiquité. Elle est utilisée pour dénoncer le pouvoir de l'argent utilisé à des fins égoïstes. Les grandes périodes comique concordent avec les périodes tragiques. A l'époque de Sofocle, œuvrait Aristofane pour la tragédie. A l'époque de Racine, œuvrait Molière pour la comédie. Si il n'y a pas de tragique sans comique c'est qu'il n'y a qu'un pas à franchir de l'un à l'autre, des pleurs aux rires. De ce fait la comédie peut-elle être supérieure à la tragédie ou vice

Tout d’abord, on peut affirmer que cette scène est de registre comique car les personnages présents sont des personnages typiques de la comédie : Figaro est un domestique, Marceline aussi, elle est  femme de charge chez le Comte Almaviva qui lui est magistrat, Bartholo est un médecin et enfin on retrouve un personnage bouffon des comédies : le ridicule et stupide juge Brid’oison. Son nom à lui seul évoque le registre comique : on donne ce nom à quelqu’un « aussi bête que les oies. » Or dans cet extrait

exclamations « ha, ha! ». Le comique apparaît dans son langage familier « filou », « pendard », « coquin ». Cette scène par sa tonalité, par le langage des personnages, pour les jeux de scène, par la situation même de conflit et surtout par le caractère d’Harpagon est bien une scène comique dans laquelle le valet ose déstabiliser son maître. Cette scène permet de présenter le personnage principal et de montrer son caractère hyperbolique. En utilisant le registre comique, Molière a non seulement voulu

est le plus important dans une pièce, c’est-ce qui va captiver le lecteur/spectateur. Dans Les fourberies de Scapin , l’auteur appuie sur le registre comique grâce à l’intrigue où Silvestre n’est pas d’accord sur le mariage de son valet Octave. Silvestre est exténué et énervé par son valet, il devient violent avec lui alors on peut parler de comique de situation. Ensuite, dans la pièce de Britannicus , on peut comprendre que c’est un registre tragique avec le champ lexical de la souffrance ( la ponctuation

réflexions profondes un comique populaire. Cet extrait en témoigne puise Gargantua est tenté de se réjouir de la naissance de son fils mais également forcé de se lamenter sur la mort de sa femme. Face à cette position intenable , le géant puise dans ses souvenirs scolaires et se livre à une réflexion calquée sur un exercice de dissertation. Il s'agira de montrer comment l puissant élan vital de Gargantua déborde du cadre de la réflexion méthodique. Ainsi, pour faire ressortir le comique de ce passage, nous

de la pièce ''Qu'est-ce que c'est mon gros ? C'est pour la bagatelle ? ''. Ces deux personnages ne sont alors pas pris au sérieux et malgré leur condition physique, on se permet de rire à leur malheur. Mais si on se permet de trouver ces scènes comiques c'est surtout parce que les personnages eux-mêmes ne se prennent pas au sérieux. On retrouve en Nell, la résignation et l'acceptation de sa condition ''Ah hier ! '' ( qu'elle répète plusieurs fois ) et, bien que lucide de celle-ci, elle ne peut s'empêcher

critique satirique de celui-ci sans craindre d’être inquiété par la Censure en vigueur à cette époque, 1767. Il y critique particulièrement la hiérarchie sociale en place à Versailles en mettant son personnage dans une situation rendue absurde par le comique de répétition. Ainsi, Voltaire, amuse le lecteur, tout le sensibilisant à un problème réel de la société Française contemporaine. Ce procédé permet de tourner en ridicule la Cour française de manière implicite. De plus le fait que le personnage