Scholie

le critique ne s’est jamais mise d’accord sur les vrais génies de la littérature, sur une liste fixe, close d’écrivains « classiques ». A cela s’ajoute, la transformation au fur et à mesure des textes anciens. Les copistes ont fait des ajouts, des scholies, des commentaires qui au fur et à mesure se sont mélangés avec le texte originel. La philologie s’est donnée comme but de maintenir l’autorité des textes. Elle rétablit les passages qui ont été corrompus et propose une édition critique du texte.

par Athènes… Les critiques concernant le versement du tribut se font d’autant plus vives que des soupçons mettent Athènes dans une position d’escroquerie, où l’hégémon se servirait du trésor des alliés à des fins personnelles. D’après une scholie de Démosthène, les athéniens auraient décidé en 450-449 sur proposition de Périclès d’utiliser ce trésor de 5000 talents de réserve de la ligue pour des constructions. De plus, Plutarque montre les reproches adressés aux athéniens en ces termes

ses têtes de turc. Dans les Oiseaux, le Cinésias de théâtre explique ainsi au héros que son art est celui des nuées : « tout le brillant des hymnes héroïques est dans le vaporeux, le ténébreux, les bleuités lustrées et les bercements d'ailes. » Une scholie à ce passage rapporte même l'expression : « tu es encore moins compréhensible qu'un dithyrambe ». II) UN SPECTACLE CIVIQUE 1) LE PUBLIC L’importance accordée au théâtre dans la Grèce Antique est indéniable. Pour les Grecs anciens, le centre

déclarés vrais ou sur des postulats provisoirement admis. Ces axiomes en constituent les fondements et ne dépendent donc d'aucune autre proposition. Un énoncé mathématique – dénommé généralement, après être validé, théorème, proposition, lemme, fait, scholie ou corollaire – est considéré comme valide lorsque le discours formel qui établit sa vérité respecte une certaine structure rationnelle appelée démonstration, ou raisonnement logico-déductif. Un énoncé présenté comme plausible, mais qui n'a pas encore

Poétique, 1449b. - Kierkegaard, Ou bien…Ou bien. 2- La crainte, passion de l'âme contraire à l'espérance ou l'empêchant d'être. - Descartes, Les Passions de l'âme, §165. - Spinoza, Ethique, III, proposition XVIII, scholie 2. - Malebranche, A la recherche de la vérité, L. V, ch. XII. 3- Sentiment lié à la perception du sacré ou du divin et source en l'homme d'effroi devant ce qui le dépasse infiniment. - Saint Augustin, Confessions, t. 13

entre les lignes du texte, qui sont des commentaires du poème homérique rédigés à des époques diverses e et le Ier s. (principalement entre le III Détail du Venetus A, fol. 15r, montrant avant J.-C. par les philologues de l'école les scholies et le texte d'Alexandrie). * 3. L'alphabet latin L'alphabet latin, qui a donné les alphabets utilisés dans l'écriture de la plupart des langues modernes occidentales, comportait 23 lettres. Les Romains ont emprunté leur alphabet aux Étrusques

Spinoza : l’unité de l’être humain Le corps et l’esprit ne sont-ils pas qu’une seule et même chose, vue sous deux aspects différents … ? Tout état de l’homme sera simultanément mouvement dans le corps et idée dans l’âme. Spinoza Ethique, III, 2, Scholie. Traduction B. Pautrat, Paris, le Seuil, 1988 L’esprit et le corps, c’est une seule et même chose, qui se conçoit sous l’attribut tantôt de la pensée, tantôt de l’étendue. D’où vient que l’ordre ou enchaînement des choses est un, qu’on conçoive la

d’Hippodamos est extrêmement hésitante. Les dates anciennes concernant sa biographie se prêtent à des inépuisables jeux combinatoires bourrés de contradictions qui restituent une chronologie tellement « généreuse » qu’elle dépasse un siècle: tandis qu’une scholie d’Aristophane nous rapporte qu’il traça le plan du Pirée κατὰ τὰ Μηδικά4, donc tantôt au cours des années qui ont suivi les batailles de Salamine (480) et de Platées (479), tantôt à une date antérieure à la paix de Callias (448), Strabon nous apprend

la composition du poème : elle ne figure pas sur les papyri les plus anciens portant le texte de l'Odyssée, remontant au IIIe s. av. J.C. et date probablement de l'époque alexandrine[6]. Les commentaires anciens, c'est-à-dire principalement les scholies à Homère et le commentaire d'Eustathe, indiquent des titres d'épisodes qui ne coïncident pas toujours avec la division en chants, puisqu'ils correspondent souvent à des ensembles plus courts ou au contraire à des groupes d'épisodes. Victor Bérard

mélodie qui résulte de la combinaison des notes 7. Newton de son côté affirme que le temps est une propriété en soi des choses. C’est un absolu, un contenant universel, qui subsisterait par soi, si on faisait abstraction de toutes les choses. Le scholie de la définition VIII est célèbre : “ le temps absolu, vrai et mathématique, de lui-même et par sa propre nature s’écoule tranquillement sans relation à rien d’extérieur, et d’un autre nom est appelé durée. ” A l’encontre de Newton, Kant affirme