Scholie

in greek genealogy. Chap. IV : « Classical Athenian family law », Brill, Leiden, 1968 , 353 p. 01 A, 12 famille, filiation. Veut reconstituer le texte des lois athéniennes sur la famille en comparant des textes antiques variés, notamment des scholies. L'étude comporte un commentaire détaillé de chacune des clauses. Travail touffu, peu conforme aux normes habituelles des ouvrages scientifiques, mais où l'on peut trouver des informations intéressantes. [ 389 CATALOGUE AUTEURS 31 BROEGE (Valerie)

font la guerre parmi nous, alors vous copierez L’Éthique d'un bout à l'autre, car c'est par là qu'il faut commencer si l'on veut éprouver cette beauté biblique, type de toute grandeur. Après cela, les très sages Propositions et les très prudents Scholies de L'Éthique vous sembleront de grands et beaux versets de la nouvelle religion. Et dites-vous bien que la Grande Réconciliation se fera ainsi, et non autrement ; par le culte de Alain (Émile Chartier) (1946), Spinoza 8 l'Humanité retrouvée

biri i Dyrrahut. Ai është vrarë aksidentalisht nga Herkuli. Kufoma e tij është hedhur në detin Jon që mban emrin e tij. (Appien, Bell, Civ. II, 39) Joni, emri i detit Jon, është biri i një mbreti ilir, Adrit, emrin e të cilit mban deti Adriatik (Scholie a Apollonios de Rhodo, Argonautiques, IV, 308). Pra në antikitet, por edhe gjatë periudhës kur Roma u shndërrua, nga një qytet dardan në një perandori të dytë me rrënjë dardane, elementi ilir, ishte mbizotërues ose e thënë më qartë romakët apo vet

lues Pour voir ça, Dieu le leur pardonne Les enfants de choeur au milieu Du Saint Sacrifice abandonnent Le Saint Lieu Les gendarmes, même les gendarmes Qui sont par nature si ballots Se laissaient toucher par les charmes Du joli tableau (middelbare scholier) (koster; kolenhandelaar) (vierkant, zonder aarzelen) Mais les autr's femmes de la commune Privées d'leurs époux, d'leurs galants Accumulèrent la rancune Patiemment Puis un jour, ivres de colère Elles s'armèrent de bâtons Et farouches elles immolèrent

la phénoménologie du langage), parler n’est pas seulement le moyen d’une expression, un outil de la communication, mais « parole partout parlante, tendue comme un fil d’or entre la douleur et l’apaisement » (Jean-Michel Maulpoix, Du Lyrisme, Scholies). Communiquer nous placerait en effet au mieux devant la parole comme devant un objet d’appropriation, d’usurpation, une technique, un système de signes conventionnel, un pur outil de transmission dont les capacités manipulatrices et les chaînes

Platon avec un résumé de la doctrine qui était mis autrefois au compte d'un prétendu Alcinoüs. Enfin des travaux comme le Lexique d'un certain Timée (vraisemblablement du IVe siècle) sur quelques expressions rares ou obscures de Platon; comme ces scholies, ou notes explicatives, qu'un recueil byzantin (fin du IXe siècle ou Xe) nous a conservées et qui sont le résidu des éditions annotées et des lexiques publiés dans les 35 siècles précédents, — tout cela atteste l'intérêt qui s'attachait dans

l’avons définie tout à l’heure, nous reconnaîtrons : 1° qu’elle est universelle, c’est-à-dire commune à tous les hommes ; nous l’avons déduite en effet de la nature humaine prise dans sa généralité ; 6 Voyez Éthique, part. 5, Propos. 36 et son Scholie. 43 T R A I T E T H E O L O G I C O - P O L I T I Q U E 2° qu’elle n’a pas besoin de s’appuyer sur la foi des récits historiques, quels que soient d’ailleurs ces récits. Car comme cette loi divine naturelle se tire de la seule considération

l’avons définie tout à l’heure, nous reconnaîtrons : 1° qu’elle est universelle, c’est-à-dire commune à tous les hommes ; nous l’avons déduite en effet de la nature humaine prise dans sa généralité ; 6 Voyez Éthique, part. 5, Propos. 36 et son Scholie. 43 T R A I T E T H E O L O G I C O - P O L I T I Q U E 2° qu’elle n’a pas besoin de s’appuyer sur la foi des récits historiques, quels que soient d’ailleurs ces récits. Car comme cette loi divine naturelle se tire de la seule considération

et discret, il consacrait le plus clair de son temps à l’étude et à la méditation. Au bout de dix années (1516), il fut envoyé en Russie, sur l’invitation du grand-prince Basile Ivanovitch, avec la mission de traduire en slavon des commentaires (scholies) des saints Pères sur le Psautier pour fournir des arguments contre les hérétiques judaïsants. Malgré l’opposition de certains, il mena son œuvre à si bonne fin qu’une fois terminée, on l’obligea à rester en Russie pour corriger les traductions très

cf., par exemple, de Motu anim., 6, 700b 9), c'est-àdire la Philosophie περι τα πρωτη, θεια ακινητα, αχωριστα (Ind. arist., 653a 23). Le titre μετα τα φυσικα, qu'on trouve pour la première fois dans Nicolas de Damas (époque d'Auguste), d'après une scholie de la Métaphysique de Théophraste (12a 4, 323, 18 Br., 38 Ross), ne remonterait pas au delà d'Andronicos, le premier éditeur connu d'Ar. (1er siècle avant J.-C.). Jaeger (Studien..., p.  178-180) croit cependant que ce titre a été choisi par un éditeur