Schéma Narratif Les Misérables

 (ou : Comment Voltaire parodie‐t‐il les codes de l’incipit du conte pour proposer une satire  philosophique et sociale ?)  I – Les Eléments du conte traditionnel (= le conte de fée)  Ces  premiers  lignes  correspondent  à  la  situation  initiale  du  schéma  narratif  d’un  conte :  le  lieu  (un  château),  l’époque  (indéterminée),  une  formule  initiale  propre  au  commencement  d’un  récit  merveilleux  (« il y avait en Wesphalie »)    1) La caractérisation, Le schématisme des personnages  Recours au nom‐portrait 

II) -II -I) - II) 2) -I) -I)1) -I) II)1) | I/ La présentation générale des deux frères. Égalité Différences II/ Jalousie fraternelle La jalousie La cause Plan idéal : Choix narratif 1)Énonciation 2) Retour en arrière Les deux frères 1)État civil 2) Mais encore unis 3)La jalousie Un conflit latent (qui demeure caché, mais qui successible de le faire à tout moment) 1) Le problème père/fils 2) Effet

personnages, une narration omnisciente et une intrigue. Pourtant les protagonistes de cette histoire ne sont pas des humains, mais des animaux, que l'écrivain imagine pourvus non seulement du don de la parole, mais de la personnalité. On y retrouve le schéma narratif avec la situation initial, l'élément perturbateur par le changement des habitudes des cochons la convocation de Sage l'Ancien suivit par les péripéties, l'élément de résolution puis la situation finale ou Douce et Benjamin l'âne découvre les changements

LumièresPhilosophe, satirique XIXe Denis Diderot, Jacques le Fataliste et son maître Le personnage préromantique Sensible, lyrique, Jean-Jacques Rousseau, La passionné nouvelle Héloïse Le personnage romantique Symbolique, épique, idéalisé Victor Hugo, Les Misérables Le personnage réaliste XXe Reflet de la réalité, « type humain » Le personnage naturaliste Expérimental, influencé par son milieu, représentant une réalité générale Le personnage des Complexe, subtil, romans psychologiques « éparpillé » Le personnage

tels ceux d’Agatha Christie ou Sherlock Holmes, les polars ou les romans sentimentaux peuvent servir de passe-temps. Les rebondissements surprenants, la mise en attente du lecteur et le dénouement finement mené de ces romans font partie d’un schéma narratif simple mais très agréable à lire. S’évader dans les romans fantastiques est aussi un échappatoire commun à beaucoup de lecteurs. Harry Potter est un exemple typique de ce genre de livre captivant qui laisse libre cours à l’imagination du lecteur

diverses : nous relevons 1 dans la deuxième phrase le nom complet du personnage principal, nous pensons donc à un nom. Revue Romane, Bind 31 (1996) 2 Les Misérables de Victor Hugo ou le pouvoir de la parole par Quant à leur discours, ils parlent très bien... (Flaubert sur les paroles des personnages dans Les Misérables) II est faux de penser que l'usage du langage humain se caractérise par la volonté ou le fait d'apporter de l'information. (Noam Chomsky) Brit Lyngstad On parle beaucoup

propos dilatoires, il évite de répondre au Loup puis finit par s’y résoudre et avoue que c’est la marque de son collier, aveu souligné par un contre rejet. Enfin, le récit proposé fait place à de nombreux rebondissements, respectant ainsi le schéma narratif. De la sorte, les deux premiers vers constituent la situation initiale, à savoir l’état physique du Loup et des Chiens : le premier est « affamé » tandis que les seconds « faisaient bonne garde ». On assiste ensuite à la rencontre entre ce Loup

qu’un essai abstrait. * 2e atout : la fable propose un exemple concret. La démarche est inductive ( par induction : particulier -> général ) et plus facile à assimiler. * 3e atout : elle est simple, l’action n’est pas complexe. On a un schéma narratif bien visible : Situation Initiale, Péripéties, élément de résolution, Situation Finale. * 4e atout : L’univers présenté est de registre merveilleux. Les animaux parlent, ils sont personnifiés. Donc un monde imaginaire, irréel. Cela a un aspect

et se sent proche de lui. – Il y a un nombre important de points d’exclamation et de points d’interrogation. Cette ponctuation permet de mettre en valeur la stupeur et l’incompréhension et la colère du condamné face à ce qui lui arrive. Le schéma narratif du récit: Situation initiale: Le personnage-narrateur menait une vie heureuse avec sa famille, sa fille Marie, sa femme et sa mère jusqu’au jour du crime qui a bouleversé sa vie. Elément perturbateur: Le meurtre commis par le narrateur-personnage

faussés des courtisans III. Une ironie satirique a) L’hypocrisie du lion b) La loi du plus fort dialogue : lion, renard, âne → discours direct loup → discours indirect Chaque personnage représente un groupe de la société de l’époque. Schéma narratif : 1) vers 1 à 14 : tableau tragique, épidémie de la Peste 2) vers 15 à 33 : discours du lion 3) vers 34 à 42 : discours du renard du plus important au moins important 4) vers 43 à 48 : la cour 5) vers 49 à 54 : discours de l’âne 6) vers