Science de la nature

Dossier > Les plantes parasites Futura-Sciences 22/10/2004 - Par Georges Sallé, Biologie Végétale Les plantes parasites Les plantes parasites représentent un véritable danger pour de nombreuses cultures vivrières et essences ligneuses des zones tempérées et tropicales. Leur mode de vie parasitaire provoque des pertes de rendement souvent considérables. Chapitre 1/8 - Les plantes parasites Les plantes parasites représentent un véritable danger pour

industrialisé, comme si croire en Dieu n’était plus obligé de nos jours. Ainsi, il semble aujourd'hui que les sciences permettent d’une part une compréhension plus précise de la nature (nous disposons par exemple d'hypothèses sur l'origine de l'univers), mais qu’elles accroissent également le niveau de bien-être, la santé, etc... :le besoin de croire en Dieu a irrémédiablement chuté quand les sciences ont proposées des réponses fortes aux questions religieuses majeures, à tel point qu'il parait aujourd'hui

Michel Foucault disait des sciences humaines qu’elles avaient signé la « mort de l’homme », en expliquant l’homme comme un objet soumis à des déterminismes de toutes sortes, les sciences ont ramené l’homme au niveau de tout objet de la nature et ont tué l’idée de l’homme surnaturel. l’idée que l’homme a une nature implique qu’il agit, existe, se comporte, conformément à cette nature. C’est pourquoi ramener l’homme à un objet de science, c'est-à-dire à un objet naturel, c’est lui ôter sa transcendance

confronter la science et le bouddhisme puisse avoir un sens. Je connaissais surtout l’aspect pratique du bouddhisme qui aide à acquérir la connaissance de soi, à progresser spirituellement, et à devenir un être humain meilleur. Pour moi, le bouddhisme était avant tout une voie menant à l’Eveil, une voie contemplative au regard principalement tourné vers l’intérieur. De plus, la science et le bouddhisme utilisent des méthodes d’investigation du réel totalement différentes. En science, ce sont l’intellect

(-384, -322) et le juste milieu. Livre : La politique. Aristote. • • • • L'homme est un animal civique, politique. Il justifie l'esclavage par la nature. Vision organiciste, analogie du corps humain. Le pluralisme de toute communauté politique s'oppose au monisme de Platon. • «Aristote l'un des premiers enquêteurs empiriques.» C. Le social comme nature ou comme convention. Avant Aristote; Hérodote (5ème siècle AVJC), distinction entre lois naturelles et lois conventionnelles (ou normatives) 1

nous" – de nature intégralement corporelle ou matérielle. Idéalisme et matérialisme | Parce que la matière perçue est mouvante et périssable, un fort courant idéaliste privilégie dans la philosophie, depuis Platon, la connaissance de ce qui lui est étranger : l’univers abstrait des idées. Il se trouve historiquement renforcé par le spiritualisme d’origine chrétienne, pour lequel tout ce qui, comme le corps, participe de la matière, est par définition inférieur à ce qui est de nature spirituelle

il désigne la technique elle-même. ｻ Selon cet ouvrage, on distingue aussi technique ancienne et technologie moderne et contemporaine, en soulignant que la technique contemporaine postule une liaison nécessaire et complexe (interactive) avec la science théorique, les progrès de l'une conditionnant ceux de l'autre. Dès la fin du dix-huitième siècle et avec la révolution industrielle, la technologie comprend l'étude des diverses techniques permettant d'en accroître les performances et la diffusion

réduire. Au niveau qui est le nôtre, la philosophie et la science cartésienne sont indissociables en ce qu'elles apportent conjointement une conception et une connaissance nouvelles de la Nature. Le problème est alors celui de la relation entre une connaissance de la Nature fondée sur une physique idéalement géométrique et la recherche d'un art ou d'une technique capable de ramener à l'usage des hommes les effets produits par la nature sans considération de fins. La technique est de ce point de

La vérité Introduction La philosophie comme la science est une recherche de la vérité. Il faut donc définir ce que l’on appelle vérité, mettre à jour les manières de l’identifier, comprendre et analyser les différents moyens de connaissance dont dispose l’homme. On verra aussi les différents obstacles à cette recherche de la vérité. I. Les différentes définitions de la vérité 1. Première définition de la vérité a. Identité de la vérité et de la réalité Une première approche consiste à

raison et chercher la vérité dans les sciences » ; Edgar Morin, en entreprenant la rédaction de cette monumentale Méthode (5 tomes), n’avait pas d’autre ambition. Sauf que la vérité que poursuit Morin ne se cantonne pas dans les « idées claires et distinctes ». La Méthode qu’il élabore ici ne craint pas, en effet, d’appréhender la complexité du réel: le fait que : * l’homme est tout à la fois un individu biologique et un acteur social; * dans la nature, l’ordre peut naître du désordre, et