Scientificité

familles soudanaises - La famille nigéro-congolaise. - Les langues d’Asie orientale et de Polynésie. - Les langues américaines. Les Néo-grammairiens A la fin du 19ème siècle, une nouvelle sensibilité émerge, elle se fonde sur un souci de scientificité dans l’étude des langues. Influencés par les idées positivistes de l’époque, les néo- grammairiens critiquent les comparatistes sur plusieurs points. Cette nouvelle vague est déclenchée à l’université de Leipzig autour des travaux de G.Curtius

et se reconvertir dans des secteurs sobres en consommation d'énergies. Épistémologie L'économie est-elle une science ? La question du statut scientifique de l'économie est problématique et conduit certains auteurs à remettre en cause la scientificité de l'économie2. La présentation de l'économie orthodoxe montre que les recommandations dépendent toutefois amplement des hypothèses utilisées pour construire le modèle. Et très souvent, il s'agit d'hypothèses fortes : transitivité, continuité

de la crainte ou de la défiance à l'égard de la science, Bloor la prend pour modèle, affichant sa volonté de scientificité. Il ne suffit certes pas d'affirmer que l'on procède scientifiquement pour faire œuvre scientifique et pour mener une étude rationnelle, car à ce compte bon nombre d'astrologues auraient la raison de leur côté. On pourra donc juger que la volonté de scientificité de Bloor est infondée, mais non qu'il a peur de la science — à moins bien sûr que les quatre principes auxquels

matière par des techniques secrètes, en faisant intervenir des esprits, l’influence des planètes. Puis un âge scientifique, rationnel et moderne où philosophes, académiciens, physiciens et les premiers véritables chimistes ont réussi à donner sa scientificité à la chimie notamment en l’enseignant et la vulgarisant grâce à l’imprimerie. la Géométrie- PASCAL/ DESCARTES / ARNAULD / DESARGUES les Probabilités- PASCAL/ LEIBNIZ/ FREMAT/ la Logique - LEIBNIZ / ARNAULD B) de nombreuse découvertes

spirituels et de comportements en société. Les disciplines universitaires, telles que la sociologie, l'anthropologie, la psychologie ou l'histoire, prennent la religion ou les religions pour objet d'étude. Dans la mesure où elles revendiquent une scientificité, elles doivent nécessairement en proposer une définition Les définitions qui ont été proposées reprennent le plus souvent l’idée selon laquelle la religion est un système de croyances. Ces termes sont empruntés à la définition qu'avait posé en

psychologie n’a pas pour « objet » l’âme, la cosmologie n’a pas pour « objet » le monde, et la théologie n’a pas pour objet « Dieu » (voir les antinomies dans la dialectique transcendantale et le cours à la rubrique Kant). La croyance cartésienne en une scientificité de la métaphysique est donc une « illusion transcendantale ». Dieu ou l’être comme « objets de de la métaphysique », n’ayant pas non plus de donné intuitif, sont également des « illusions transcendantales ». Dans tous les cas, c’est le statut «

connaissance de l’homme peut prendre l’homme pour objet ; mais cela suppose aussi que l’objet de cette connaissance soit ce qu’il y a de plus spécifique en l’homme. Pour parler de sciences humaines, il faut que les sciences répondent aux critères de scientificité mais il faut aussi que leur objet soit spécifique. Or, ce qui est spécifique en l’homme c’est qu’il est un sujet : il est doué d’une conscience, d’une faculté de connaître, de sentir, de vouloir, d’agir en fonction des fins qu’il se représente ;

logique. La phénoménologie Husserlienne envisage de faire de la phénoménologie comme une théorie de la science. A travers ce qu'il écrit sur la logique, il interroge ce qui fait qu'une science est une science. Il va faire l'essence même de la scientificité. L'objectif de Husserl c'est celui d'une fondation de la science qui va s'opérer à partir de la logique. Ce qui va s'appeler par la suite : phénoménologie transcendentale. Husserl procédera autrement pour fonder la science (qui est son princnipal

sens qu’il donne à son comportement (l’éthique protestante donne sens à l’accumulation primitive du capital dont le capitalisme a besoin pour démarrer au 16ème siècle cf. Max Weber). - Du coup, la connaissance de l’homme perd en scientificité ce que l’homme semble gagner en liberté. L’historien Paul Veyne le dit très clairement. La science « explique » son objet alors que l’historien « explicite » le jeu des libertés qui sont à l’œuvre dans l’Histoire (prendre un exemple…). Si l’homme

sentiment l’impression l’opinion des gens. Les sondages politiques se trompent très souvent. Pourquoi ces sondages sont aussi omniprésents dans la vie européenne ? Tout d’abord ils ont une certaine force sociale qui repose sur leur apparente scientificité et donc ce n’est pas facilement contestable cela donne le sentiment que le sondage est un moyen de renforcer la démocratie, c’est à dire de mettre au cœur de la vie politique, la volonté des citoyens, c’est à dire aussi d la possibilité aux citoyens