Sécularisation

valeurs humanistes. Les valeurs que l’Europe fait sienne comme la solidarité n’ont pas à être marquées du sceau indélébile de la religion, ce sont les valeurs de tous les européens, elles ne peuvent avoir de référent religieux. Les Lumières, la sécularisation des sociétés, et le fait que l’Église n’a pas à avoir le monopole des valeurs européennes, font que le christianisme ne peut être au cœur d’une identité européenne, ce que la commission européenne a d’ailleurs reconnu en refusant de retenir les

discuter avec les dieux. Par exemple, lorsque l'islam était encore à imposer, Mahomet a essayé d'effacer les 350 djinns. Il échoua la première fois mais réussi au second coup. Ainsi, ces religions se sont imposés. Ainsi, en procédant à la sécularisation, le christianisme va nier sa place dans la sphère publique pour entrer dans le privé et entrer en concurrence avec les loisirs, l'art, la famille etc. Dès lors, on peut s'interroger si le christianisme n'est-il pas la religion qui permet de sortir

est celui qui dit oui à la vie. Or avec la morale cette volonté de puissance est niée à travers l’héritage judéo chrétien. IL propose avec son « marteau » philosophique d’aller briser la moralité émanent des vieux préceptes religieux. 4ième : sécularisation : la morale est emprunte de réligiosité. (La morale commande alors que l’éthique recommande : c’est une déconstruction de la morale, sorte de pensée relationnelle et rationnelle). Ethique appliquée aux professions est la déontologie. Aujourd’hui

antérieure sans y ajouter au fond. Morale (conception classique) : Morale de tradition judéo-gréco-chrétienne, ayant produit une réflexion sur les vertus, définissant la norme d’une société. Morale (conception hédoniste) : Morale apparue avec la sécularisation de la société : est bon ce qui conduit au plaisir. Non-rétroactivité de la loi nouvelle : La loi nouvelle ne peut pas remettre en cause les effets déjà accomplis d’une situation en cours ni, à plus forte raison, une situation passée. C’est

Par « sécurisation », Hannah Arendt entend, dans un premier temps, la séparation entre la religion et la politique. Puis, elle l’exprime comme un événement qui peut être daté dans le temps historique, que comme un changement d’idée. Avec la sécularisation, car étant le fait d’hommes qui ne remettaient pas en cause la doctrine religieuse traditionnelle, il ne s’agissait pas de nier l’existence de Dieu, mais plutôt de découvrir dans l’espace séculier une signification indépendante que Dieu lui-même

traitant de la diminution des vocations lui attribuent les causes suivantes : a) Confrontation des jeunes avec un monde traversé par le doute, volontiers critique à l’égard de la foi chrétienne. L’esprit de ces jeunes est pénétré des idées de sécularisation et des prétentions des sciences positives et techniques. b) Défiance des jeunes à l’égard du passé et également à l’égard de l’ordre actuel de la société. Leur opposition aux structures d’un monde qui ne leur ouvre pas de perspectives d’avenir

aux Pays-Bas et en Italie notamment. Ce faisant, il entendait aussi développer les idéaux de la Révolution Française, la liberté, l'égalité civile et la propriété privé. Appliquer le Code Civil signifiait alors l'abolition des droits féodaux, la sécularisation du mariage et légitimation du divorce. Au delà des facteurs historiques, l'influence du Code Civil tend à sa profonde modernité. En rendant tout les citoyens égaux devant la Loi, il constitue une étape fondamentale de l'histoire juridique dans

bonheur. La croyance en la voyance. Donc : recul du christianisme qui peut être nuancé, générationnel, mais chez les jeunes : apparition de croyance parallèle. 2)Les effets ambivalents de la modernité. Il n’est pas seulement en œuvre une sécularisation des sociétés contemporaine. La religiosité n’a pas disparu elle connait même un certain regain chez les jeunes générations seulement ce regain se manifeste sous des formes différents : nouvelle forme de religiosité. Explication peut être

les autres dont s’enivre la jeunesse, la renommée que l’opinion dispense au champion, bref, l’immense dépense d’énergie et d’orgueil consentie par notre siècle en faveur de l’effort physique et de la compétition ». Elle résume le phénomène de sécularisation (en son siècle) du sport, c’est une pratique dont le la dimension spéculaire (reflet de son temps). Le 2ème élément, le domaine des valeurs du sport, elles permettent de développer un principe d’exemplarité, et aussi, une notion d’utilitarité

masses de produits considérables vont être fabriquées par de nombreuses personnes. Cela nécessite une organisation beaucoup plus forte (fordisme). L’Etat apparaît quand l’économie politique remplace l’économie domestique. - la sécularisation ou laïcisation : la société politique et son pouvoir ne sont plus des émanations de la vérité ou des traditions religieuses. Il s’agit de distinguer le spirituel du temporel, mais plus encore de séparer le religieux du politique. Ça démarre avec