Serment Du Sacre

septembre par le suicide du maréchal Amer SA MORT Nasser meurrt d’une crise cardiaque, Ses funérailles ont eu lieu le 1er Octobre, devant près de cinq millions de personnes. Un serment est prononcé sur son tombeau :« Serment par Gamal, le plus chéri des hommes, le libérateur des travailleurs, le chef de la lutte ! Serment sacré, inébranlable. Par Dieu et par la patrie, nous jurons que la voie de ta lutte sera notre voie (...) Nous jurons de travailler à la puissance et à l'unité de la nation arabe

justices concurrentes (B) A- l'affirmation royale tenant du fondement théologique Il apparaît durant l'Ancien Régime que le Roi est au centre de tous les pouvoirs et que tout pouvoir émane de lui. On peut constater que le sacre envisage le Roi comme une personne sacrée, sinon plus qu'un simple laïque, qui le maintien au-dessus de la masse catholique. Il représente, sous l'Ancien Régime, une sorte de passerelle religieuse permettant au Roi d'être le dépositaire de la voix divine sur terre et à

expressifs; Atala est à bout de force et de souffle et pourtant elle s'apprête à parler. On s'attend donc à des propos solennels et définitifs, ensuite, le don de la croix est doublement symbolique : c'est d'abord un geste de chrétienne fidèle à son serment, mais aussi un échange amoureux : "elle me pria à le dénouer moi-même ", le discours qui suit va montrer qu'il s'agit d'une sorte de preuve d'amour. Malgré son état de faiblesse, Atala prononce un discours très composé avec : -un rappel du passé

Chauve a été d’une grande discrétion, le roi de France a peur de ses hommes du Nord et il ne défend pas les populations, il est dans l’incapacité de les défendre, il préfère transiger avec eux, il offre aussi des concessions. Or le roi a prêté serment, il a été sacré, il a juré d’assurer la paix et la justice dans le royaume, mais en transigeant avec les barbares, il n’a pas respecté ses engagements, il est incapable de résister aux barbares. Le roi faible va voir que plusieurs de ses Grands s’opposent

Analyse d’images Date de création de l’œuvre Sacre de Napoléon, p. 91 Peinte entre 1805 et 1807, elle se trouve actuellement au musée du Louvre à Paris, c’est une toile immense6.2 mètres sur 9.2 m. Elle a été peinte par Jacques-Louis David qui s’est très tôt rallié à la Révolution. C’est lui qui a peint les esquisses du « Serment du jeu de paume » « Tres de Mayo » p. 105. Créée en 1814, Elle se trouve aujourd’hui au musée du Prado à Madrid, elle mesure 2.66 x 3.45 m. Francisco Goya (1746/1828)

l'appui du père Zachariel et du peuple, il détrône Childéric III, et se fait couronner roi en 751 : acte fondateur de la dynastie carolingienne. Pour légitimer son usurpation de pouvoir, il a recours à un phénomène important : le sacre. Il est le premier roi à être sacré. * Par la suite, les rois carolingiens tentent d'unifier et réorganiser le royaume encore fragile ; cet effort trouve son apogée sous le règne de Charlemagne qui a régné de 768 à 814. Ce règne est l'époque

lundi matin. Le jeudi, vendredi et samedi rappellent la cène, la passion et la résurrection. Est aussi interdite durant certaines périodes=l’Avent et le Carême, Noël, Pâques. Pour assurer ces mesures, l’église exige des seigneurs qu’ils prennent serment et les récalcitrants sont frappés de sanction ecclésiastique comme l’excommunication. Mais malgré tout ça, ces prescriptions ne restent pas respectées donc au 12e et 13e apparaissent des associations de paix qui vont s’efforcer d’imposer les décisions

salique des Francs qui disait que les femmes ne succèdent pas à la terre, ils ont donc détourné une loi de droit privé pour en faire une règle de la succession au trône de France. Autre motif : a été considéré que depuis le baptême de Clovis et le sacre des rois, l’office royal est d’ordre ecclésiastique et de même que l’ordination est réservée aux hommes, la fonction royale est réservé aux hommes : « Les lys ne filent point ».   * Le troisième principe est celui de l’inaliénabilité de la couronne

palatin présent dans chaque duché. Le deuxième point qui rappelle les traditions carolingiennes, est la reconnaissance obligatoire du pouvoir royal. Comme Charlemagne qui fait exiger de tous les hommes libres de plus de douze ans de son royaume un serment de fidélité au souverain, Otton Ier reçoit le couronnement officiel pour être reconnu aux yeux de tous (l.7 « lui promettant la fidélité »). Hormis le fait qu'Otton se passe peu à peu des ducs pour gouverner, s'appuyant davantage sur l'Église, la

révoltes sérieuses suivirent la mort de Charles Martel. Une fois de plus, les provinces montraient leur insatisfaction : ce fut le cas du duc d’Aquitaine Hunoald ; du duc de Bavière Odilon ; du duc des Alamans Théobald. Ces derniers refusaient de prêter serment de fidélité. Pépin et Carloman eurent la sagesse d’unir leurs forces contre les vassaux rebelles. Ils écrasèrent d’abord Odilon et Théobald, puis il marchèrent contre Hunoald, qui avait franchi la Loire et incendié Chartres. Il accusa de sévères pertes