Serment Prêté Par Le Chancelier Au Roi

chrétiens refusèrent de prendre part à la vie politique. En effet, les chrétiens refusèrent d’exercer des fonctions de juge ou des charges municipales ou encore d’exercer le métier de soldat. Cela parce que ces fonctions impliquaient alors de prêter un serment de fidélité à l’Empereur et aux Dieux protecteurs de Rome. Ils refusaient de s’associer à ces croyances païennes, celles de croire en divers Dieux important à l’Etat la puissance. Les chrétiens furent alors députés dangereux et menaçants pour l’Etat

dynastique, en Europe suite à la chute de Napoléon. Pourquoi à Vienne ? C’est la capitale de l’Empire d’Autriche, elle fait partie du camp des vainqueurs de Napoléon et c’est une puissance pivot au centre de l’Europe. Les personnalités présentes : Le chancelier Metternish d’Autriche mène le Congrès. <on retrouve les autres vainqueurs de Napoléon : Pitt le second est le premier ministre anglais, l’empereur de Prusse Frédéric Guillaume II et le Tsar Alexandre 1er. La France est représentée par le Prince

La religion est entretenue par des druides. On pratique parfois le sacrifice humain. L'évolution en matière politique, c'est le grand vide. Sur le plan politique, on est en présence d'une simple coexistence d'une mosaïque de tribus. Il n'y a pas un roi des gaulois, mais à peu près 60 tribus. Ces tribus sont menées par un chef de guerre, elles sont indépendantes les unes des autres, désunies. Sur le plan militaire, la puissance est défaillante. Cette puissance militaire met les gaulois à la merci des

ambassadeur de l’Autriche (Berlin, Paris), il devient le ministre des affaires étrangères de l’Autriche en 1809. Il est la figure politique majeure en 1814/1815, chef de la diplomatie lors du Congrès de Vienne dont il inspire l’Acte final. Puis Chancelier autrichien de 1821 à 1848. B. LE CONGRES DE VIENNE (SEPTEMBRE 1814 / JUIN 1815) * Après l’abdication de Napoléon en avril 1814, les monarchies européennes se réunissent dans la capitale autrichienne pour décider de ce que deviendra l’ancien

administratives. Cependant, avec la décadence incessante de l'Empire, ces peuples fédérés veulent se conduire en maitre plutôt qu'en invités et certain réclament leur indépendance. La coexistence est alors de plus en plus délicate. Ex : En 410, le Roi de Wisigoths, Alaric estime que le traité signé entre son peuple et les romains est injuste et décide de ne plus respecter ce traité. Pour montrer sa désapprobation, il décide piller Rome de sorte que l'on commence a voir cette animosité entre barbares

vient du passé, de théories plus anciennes héritées de l’antiquité (RES PUBLICA). Les juristes médiévaux parviennent à lui donner une signification originale (à partir du 12ème siècle) en commençant par fixer des règles qui s’appliquent à tous même au roi : sorte de Constitution coutumière. Elle se construit en même temps que s’affirme l’Etat (à partir du 12ème siècle). Seul le legs juridique, institutionnel et politique de l’ancien régime explique pourquoi l’Etat français est unitaire et centralisé

Metternich devient chancelier et ministre affaire étrangère empire autrichien· 1848 : chute politique Metternich· 26 septembre 1815 : création sainte alliance· 20 novembre 1815 : La Quadruple alliance · du 4 juin 1814 : Charte (=constitution) sous Louis XVIII· 1814-1815 : mise au pouvoir Louis XVIII· 1820 : arrivé ultra au pouvoir · avril 1825 : loi du sacrilège et loi du milliard des émigrés· 1825 : sacre Charles X à Reims roi de droit divin· 1830 : ordonnances de Polignac · 16 mai 1830 : roi dissout la

public. Le pouvoir c’est le roi. Le mot « publicus » sert désormais à désigner ce qui appartient au roi. À cette époque, il n’y a pas d’ordre, de justice publique, il n’y a pas non plus de finances publiques. À la place on a la paix du roi (ordre publique), au lieu de la justice publique et des finances publiques on a la justice et les finances du roi. Le roi mérovingien n’est pas un chef d’état: c’est un chef militaire. Il a le titre de « Rex francorum » c’est-à-dire le roi des francs, c’est-à-dire

d’organisation de ces peuples mais cela révèle aussi l’importance des liens familiaux. B. Les liens personnels d’adhésion volontaire Ils étaient créés par des actes volontaires déclarés. Les germains choisissaient & obéissaient à leur roi ou à leur chef militaire sur un fondement personnel. 1) L’organisation militaire & la soumission au dux L’autorité militaire était confiée à un dux choisi par l’assemblée des guerriers de la tribu. Dux = nom donné au chef germanique

Introduction : Quelques ouvrages, sur le prix social et économique : grande politique extérieure de la France . Pierre Goubert : Louis XIV et 20 millions de Français sur la crise agricole Marcel Lachiver : Les années de misère : la famine au temps du Grand Roi sur l'économie et les erreurs de Louis XIV décrochages des réalités économiques de l'époque, Robert Mandrou. Jean-Christian Petitfils, vision positif du règne O. Chaline sur la politique étrangère D'un côté Versailles, le siècle Classique