Serments Vassaliques Prêtés Au Nouveau Comte De Flandre Guillaume

suivre) Suite du roi guerriers, compagnons (comes/ cumeo), domestiques. * LEUDESAMIUM (Leute (allemand) Leude (français) les gens) Serment de fidélité prêté au roi par tous les sujets. Res francorum = roi des francs. Chacun de ses compagnons sont au service du roi. Il n’y a pas d’unité politique, le roi et le roi de ce qui le servent, qui le suivent, qui lui on prêter fidélité. Le roi n’est pas le roi de France. Clovis est un rex francorum (roi des francs, roi du peuple qui reconnait son autorité)

lois générales en forme de chapitres qui s’adressent à tout l’Empire. Le cœur historique est divisé en comtés avec un comte nommé par le Roi des francs. Restent la base de l’empire mérovingien. La création de comtés dans les autres territoires (Austrasie, Neustrie, Burgondie, Aquitaine). Il y a environ 600 à 700 comtés. Les adjoints des comtes sont les vicomtes. Entre le comte et l’empire des entités territoriales sont créées : - cœur historique est divisé en zones d’inspection, - territoires

Bas-Empire romain. En effet, des grands propriétaires rassemblent des clientèles ; hommes libres ou non ; sans obéir à l’Etat. Sous les Mérovingiens, l’antitrustionat désigne des groupes d’hommes liés par serment à un chef, qu’ils s’engagent à servir au besoin les armes à la main. Ceux qui prêtaient un serment particulier au roi ; les antrustions ; formaient sa garde royale, la truste. Ce lien de dépendance était plus fort que celui des sujets. La truste désigne l’un de ses groupes, et le mot évoque une

Bas-Empire romain. En effet, des grands propriétaires rassemblent des clientèles ; hommes libres ou non ; sans obéir à l’Etat. Sous les Mérovingiens, l’antitrustionat désigne des groupes d’hommes liés par serment à un chef, qu’ils s’engagent à servir au besoin les armes à la main. Ceux qui prêtaient un serment particulier au roi ; les antrustions ; formaient sa garde royale, la truste. Ce lien de dépendance était plus fort que celui des sujets. La truste désigne l’un de ses groupes, et le mot évoque une

PARTIE DEUX : UN MONDE EN MUTATIONS 41 (Xème – XIVème siècles). 41 CHAPITRE 1 : LA MEDIATISATION ET LA REAFFIRMATION DU POUVOIR ROYAL. 41 SECTION 1 : LE FRACTIONNEMENT DU TERRITOIRE ET LES RELATIONS FEODOVASSALIQUES. 41 I. Le lien vassalique. 41 II. Le lien féodal. 42 III. Comment fonctionne la justice féodale. 43 SECTION 2 : DE LA SUZERAINETE A LA SOUVERAINETE ROYALE (LE ROI EMPEREUR EN SON ROYAUME). 46 I. L’utilisation des règles féodales par le Roi. 46

PARTIE DEUX : UN MONDE EN MUTATIONS 22 (Xème – XIVème siècles). 22 CHAPITRE 1 : LA MEDIATISATION ET LA REAFFIRMATION DU POUVOIR ROYAL. 22 SECTION 1 : LE FRACTIONNEMENT DU TERRITOIRE ET LES RELATIONS FEODOVASSALIQUES. 22 I. Le lien vassalique. 22 II. Le lien féodal. 23 III. Comment fonctionne la justice féodale. 23 SECTION 2 : DE LA SUZERAINETE A LA SOUVERAINETE ROYALE (LE ROI EMPEREUR EN SON ROYAUME). 25 I. L’utilisation des règles féodales par le Roi. 25

les principes réglant la vie des hommes sont des ordres sacrés. C’est un droit primitif, plutôt coutumier. C’est un droit qui fonctionne essentiellement dans une société rural, agricole, qui règle des problèmes foncier, des problèmes de propriété, de prêt (consommation denrée de semence). En fait-il s’agit du droit de la cité former de grande famille La cité romaine va s’agrandir, et le droit doit s’adapter a cette évolution. Le premier droit romain est détenu par les pontifes, lorsqu’il y’a un conflit

régime domanial C’est le résultat d’une triple crise : Le fractionnement du grand domaine L’ancien grand domaine s’est souvent démembré entre plusieurs seigneurs. La tendance au fractionnement s’opère au Moyen-âge par le biais du contrat vassalique c.à.d. que les seigneurs donnent en fiefs des bouts de domaines. Et à l’intérieur de ce qui fut le grand domaine, apparaissent souvent des seigneuries distinctes. Du fait des héritages, des transactions diverses, un même seigneur possède des fractions

à mettre en forme la paix. Mais ces formes de paix sont fragiles car elles dépendent du roi et donc meurent en même temps que lui. Les germains donnent un nom à cette sorte d’autorité : le Bannum (=le ban, le droit de commandement. Dans ce monde nouveau, les germains qui ne savent pas lire demandent aux évêques de constitutionnaliser leur personnel politique et ces derniers latinisent des mots germains.)
 Le ban veut dire à la fois l’autorité du roi et aussi le territoire sur lequel cette autorité

fonction le commandement de l’armée. Il est choisi d’après ses vertus personnelles. Le comitatus était une institution de compagnonnage militaire, un groupe libre & solidaire associait un guerrier expérimenté & des jeunes guerriers -> serment de fidélité & de dévouement absolu. 2) L’organisation politique & la soumission au roi La majorité des tribus avait un roi, qui avait un rôle secondaire. Il exerçait le mundium : l’exercice d’une autorité toujours liée à la protection